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Ce livre est très bien car l’intrigue est bien menée, le personnage principal est intéressant! C’est bien écrit , j’aime bien toutes les scènes!!

(2 avis en un )
Pour ma part j’ai beaucoup apprécié le style d’écriture de ce livre , cette présentation avec de très courts chapitres est étonnante mais très intéressante. L’histoire est également intéressante et bien menée , en bref que de commentaires positifs vis a vis de cette courte fiction .

j’ai trouvé ce livre interessant avec des renseignement sur l’Algérie, même si j’ai trouvé l’histoire longue par moment j’ai quand même trouvé beaucoup d’émotion dans ce livre

J’ai trouvé ce livre très intéressant, L’histoire et captivante. Je trouve que l’auteur du livre nous met bien dans le contexte historique cependant j’ai trouvé l’histoire un peu longue malgré ma captivation pour celle-ci.

C’est un livre très riche en sentiments et en renseignements sur l’Algérie.
Une écriture à la hauteur de mes espérances, ayant déjà entendu beaucoup de bien sur l’auteur, des réflexions très profondes sur le sens de la vie….
Petit bémol, parfois un peu trop long. Des passages dont on se serait bien passé, mais qui, toutefois rajoute un petit “truc” à ce livre riche en émotions.

C’est le premier roman de Yasmina Khadra que je lis  et ce serait mentir de dire qu’il était ennuyant. C’est un roman sur la douleur d’un peuple, sur ses valeurs et ses idéaux, ces étrangers qui n’en sont pas toujours, son histoire, son honneur, sa fierté, ses drames et ses espérances.
Un très beau livre, nostalgique – “nostalgérique” comme le dit si bien l’auteur. Une très belle histoire d’amitié surtout, plus forte, que les préjugés et les différences.

Younes pour les Arabes, Jonas pour les Français, deux prénoms pour les deux côtés de cette Algérie coloniale que l’on découvre , avec ce petit garçon qui grandit au milieu de deux peuples bien différents.

Ce que le jour doit à la nuit commence durement, avec la ruine du père qui a perdu ses terre. Il va tout essayer pour sauver sa famille mais va finir par se résoudre à l’inévitable: confier son fils unique à son frère, afin de lui offrir un vie meilleure, une vie qu’il est incapable de lui donner, ce qui lui crève le cœur et le mènera, par honte et par colère, à sa perte.

Son oncle, Mahi, Algérien, et sa tante, Germaine, Française, couple témoin du mélange des cultures, lui offriront une vie aisée et une enfance protégée, d’abord à Oran puis à Rio Salado, parmi la jeunesse coloniale qui accueillera à bras ouverts cet enfant à qui toutes les portes lui seront ouvertes.
Mais Younes ne perdra pas son cœur ni son âme dans cette nouvelle existence. Il restera fidèle à lui-même, à ses valeurs et à sa parole donnée. Quitte à perdre l’amour de sa vie, cette Emilie qui surgit tel un ange au milieu de Rio et menace de diviser le clan formé par Younes et ses amis.

Puis viendra la guerre 40-45, et surtout, ensuite, la lutte pour l’indépendance et l’incompréhension des colons, si éloignés souvent des conflits politiques.
Le courage dont fait preuve Younes-Jonas est assez incroyable il ne veut pas perdre ces racines pour sa nouvelle vie, il n’oublie rien de tout ça.

Beauté des phrases, justesse des idées, Khadra nous régale et nous fait aimer cette Algérie peu connue.
Cette une magnifique histoire qui mérite d’être lue.

Ce livre est magnifiquement écrit et retrace l’amitié de jeunes algériens sur une période de 70 ans. L’histoire est captivante mais personnellement l’auteur y a évoqué beaucoup d’événements historiques et politiques, ce qui donne une certaine lourdeur au récit. Les passionnés de l’Algérie aimeront beaucoup mais pas forcément tout le monde. Khadra joue encore ici sur les bons sentiments et l’amour entre les êtres humains. Cependant, le récit est peut-être un peu monotone. C’est un peu dommage. Néanmoins, ce livre est une merveille et les amateurs de Khadra s’y retrouveront.

Un livre bouleversant et passionnant tout le long. Un amour impossible sur fond de guerre d’Algérie. De 1936 à 1962, on suit pas à pas la vie du narrateur. On tremble pour lui, on aime Emilie avec lui. On a envie de le pousser dans les bras de cette jeune fille , pleine de caractère.. On pleurera aussi sur les drames familiaux, les morts et Emilie qui s’ éloigne…

Je n’ai pas compris l’histoire. Je n’ai pas réussi à me plonger dans cette histoire. C’est dommage car le sujet avait l’air intéressant.

En 2004, les haïtiens ont décidés de ne pas fêter le bicentenaire de leur indépendance. Le pays souffre de la pauvreté (80%de la population haïtienne vit en dessous du seuil de pauvreté) d’un climat horrible (cyclones, tsunamis, tremblements de terre, inondations).

Ce qui aurait dû être une grande fête, pour commémorer la seule révolte d’esclaves aboutie de l’Humanité, après la mise en déroute des troupes de Napoléon, se déroulera en demi-teinte dans ce bout d’île des Caraïbes qui n’en finit pas de courir après la démocratie et est confronté à un chaos économique et sanitaire.

Elle pourrait aussi virer au cauchemar pour son président Jean Bertrand Aristide (président contesté élu avec 93% des voix mais avec 5% de participation), contesté par une large coalition de la société civile, qui dénonce son despotisme et entend faire entendre sa voix jeudi encore.

Haïti se retrouve au ban des organisations de défense des droits de l’Homme, qui dénoncent la corruption, les assassinats politiques, les pressions sur la presse et les opposants, l’incapacité à mettre en place une police indépendante et un système judiciaire digne de ce nom.

La communauté internationale, Etats-Unis en tête, qui a gelé ses aides au gouvernement, presse l’Etat d’organiser des élections parlementaires. Ce qui n’a pu se faire, faute de conditions de sécurité adéquates et l’opposition exigeant en préalable la démission d’Aristide.

Car le président est confronté depuis plusieurs mois à une opposition de plus en plus forte, incarnée par les “184”, alliance de 184 organisations de chefs d’entreprises, médecins, féministes, syndicalistes paysans, intellectuels… qui a pris le relais d’une opposition politique en retrait.

Le groupe demande son départ, dans des manifestations à répétition, qui ont parfois dégénéré, avec morts et blessés, du fait de l’intervention de la police et de bandes armées liées au régime. Mardi encore, deux personnes ont été légèrement blessées par balles.

Jeudi, les 184 comptent de nouveau défiler et déposer une gerbe sur la place des Héros, explique André Apaid, leur coordonnateur.

Pour lui, Aristide a confisqué la fête : “Il a voulu en faire un tremplin, mais qu’il politise quelque chose comme ça dérange les gens… De toute façon, je crois qu’il a perdu l’enthousiasme du peuple, il a de gros problèmes”.

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