Kodak, l’un des précurseurs dans la photographie depuis 135 ans, a perdu le monopole depuis l’apparition du numérique. En effet, les recettes de groupe américain depuis leur ratage de la marche du numérique ne cessent de diminuer considérablement.
L’entreprise ne pèse plus que 300 millions de dollars, soit cent fois moins qu’en 1995. Pour redresser la balance, Kodak vend des milliers de brevets, qui dorment dans ses coffres. Est ce que cela sera suffisant pour sauver l’entreprise ? On assiste donc à un phénomène de destruction créatrice, comparable à l’apparition du DVD qui a fait disparait la cassette VHS.
lien: http://lauer.blog.lemonde.fr/2011/11/04/photo-finish-pour-kodak/
Si l’on assiste à un phénomène de destruction créatrice, il faudrait que l’industrie Kodak relance son entreprise en innovant, voire même en inventant un nouveau produit, ce qui lui permettrait de regagner du monopole ainsi que des bénéfices et donc de pouvoir sauver son entreprise de la faillite.