Un cas de mort au Texas par Ebola

Selon LeMonde.fr, un homme de 42 ans, Thomas Eric Duncan, de nationalité Libérienne, s’est vu attraper le virus Ebola après un voyage dans son pays d’origine. Il s’est présenté à l’hôpital “Texas Health Presbyterian Hospital” où il n’a pas tout de suite était pris en charge. Et c’est seulement quatre jours après qu’il a été placé en isolement, il a donc pu infecter toute les personnes avec qui il a eu un contact dans l’hôpital dans ce laps de temps.

Il a tout de même bénéficié d’un traitement expérimental, mais malheureusement ayant été pris en charge trop tard, il n’a pas survécu au virus Ebola. Il est mort le mercredi 8 octobre à Dallas. Ce cas fait douter les populations sur le fait qu’elles soient bien prises en charge.

Charlotte et Marion

 

5 thoughts on “Un cas de mort au Texas par Ebola

  1. Autre info: d’après Le Monde, la France pourrait être touchée jusqu’à 25% par ce virus à condition que les vols provenant de cette région soit restreint à 80% sinon le risque est beaucoup plus élevé.

  2. D’après Libération, Ebola aurait fait plus d’un mort dans le monde. L’OMS ( l’Organisation National de la Santé )a tout d’abord fait un premier bilan la 31 octobre faisait état de 13.567 cas et de 4.951 décès.Enfin l’OMS a actualisé son bilan à 13.042 cas et 4.818 décès dans huit pays , le 2 novembre 2014 . Les trois pays les plus particulièrement touchés pas cette fièvre sont le LIBERIA, la GUINEE et SIERRA LEONE .

    • On ne parle pas du monde ici mais du Texas, nous savons très bien qu’il y a eu plus d’un mort dans le monde.

  3. Aussi, hier (mercredi 5 Novembre), la première personne contaminée par le virus ebola hors Afrique a quitté l’hôpital. L’aide soignante espagnole a entre autres, dans une conférence de presse, raconté comment elle s’était accroché à la vie ; de quoi redonner de l’espoir à certains..

  4. D’après Le Monde ce virus est tellement médiatisé que des escrocs du web profitent de la paranoïa de certains internautes pour leur soutirer de l’argent! Il paraîtrait que le virus Ebola a inspiré une nouvelle vague d’escroqueries dites «lettres nigérianes» : nom donné à un type d’emails envoyés pour récupérer les données personnelles voire bancaires de leurs destinataires.

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