La mobilité sociale régresse en France

Selon lemonde.fr, avec la mobilité intergénérationnelle, quand un individu change de position sociale par rapport à ses parents, grâce à elle on remarque que la place des enfants est déterminée dans la société, cela dépend du niveau d’éducation, du revenu et de la famille dont ils sont issus. Si en France, la mobilité sociale n’existait pas, les enfants issus des classes populaires ne pourraient pas accéder aux classes moyennes. La mobilité sociale varie selon la richesse des pays.

En France, la mobilité sociale est plutôt faible. Une étude prouve que la mobilité sociale a régressé en France de 1993 à 2003, en se basant sur deux facteurs. Le premier est lié aux revenus que perçoivent les parents ( les familles ayant un revenu élevé dépensent plus pour l’éducation de leurs enfants ) ; le second facteur repose sur la culture et le comportement inculqués aux enfants ; tout cela a donc une influence sur la scolarité.

Lorsqu’il existe des inégalités culturelles, scolaires, l’éducation ne doit pas être la même pour tous car sinon seuls les enfants issus d’un milieu social riche réussissent dans la vie et ce n’est pas le cas. Plusieurs solutions sont suggérées à la France, premièrement la France devrait consacrer 0.13% de son produit intérieur brut pour la scolarité des enfants en difficultés puis, favoriser la scolarisation des enfants dès l’âge de deux ans et consacrer d’avantages de moyens à l’école primaire. Dans une société dans laquelle le taux de scolarisation dans le supérieur diffère selon l’origine sociale, on peut s’inquiéter sur le fait que la mobilité sociale puisse régresser.