Selon un article du monde.fr, une note du Conseil d’analyse économique(CAE) publiée le 21 janvier invite la BCE à prendre des mesures pour relancer l’économie.

Cependant la BCE ne peut, pour cela, utiliser les voies classiques, ses taux de refinancement étant déjà presque nuls. Il lui reste donc à mettre en place des mesures moins conventionnelles comme mener une politique monétaire plus expansionniste, c’est à dire une augmentation de la masse monétaire ayant pour but de stimuler l’économie. En effet une telle politique monétaire aurait pour conséquence de faire baisser légèrement l’euro qui se situe aujourd’hui à environ 1,36 dollars. Or cette dépréciation « transitoire » de l’euro permettrait selon le CAE, pour « une baisse de 10 %, une augmentation des exportations de 7 % à 8 % ». Cette politique de la BCE serait d’autant plus justifiée que le taux d’inflation maintenu en Europe par la BCE est aujourd’hui en dessous de 1% alors que les objectifs se situent autour de 2%.

Selon un article du Monde.fr,le rapport semestriel de l’Organisation mondiale du commerce est inquiétant.

Réalisé dans les pays du G20,composé de 19 pays plus l’Union Européenne, ce rapport sur l’évolution du commerce entre ces pays,qui représentent 85% du commerce mondial, révèle en effet une aggravation du protectionnisme. Ainsi pas moins de 116 mesures restrictives, affectant 1.1% des importations de biens par les pays du G20,  comme la hausse des taxes d’importation ou une procédure douanière alourdie, ont été prises entre juin et novembre 2013 dans ces 20 pays notamment en Inde et aux États-Unis, contre “seulement” 109 le semestre précédent.

Ces mesures peuvent s’expliquer par une volonté de combattre le chômage mais aussi de doper l’économie des pays alors que les échanges internationaux connaissent une croissance encore faible,estimée à 4.5% en 2014.  Mais elles n’en reste pas moins dangereuse puisque mettre un obstacle aux importations implique souvent un découragement des partenaires commerciaux et donc un ralentissement des échanges mondiaux.  Or comme le rappelle l’OMC dans son rapport le commerce international « demeure la principale composante de la croissance, d’une reprise durable et du développement ».

Selon un article du Monde.fr, les femmes sont rares  dans les fédérations sportives, en particulier au sein des instances dirigeantes de ces fédérations,à quelques exceptions près.

Passée inaperçue au mois d’octobre, la décision du Conseil d’État d’abroger une partie du code du sport mérite pourtant d”être soulignée. Elle supprime en effet les quotas mis en place afin d’assurer à chaque sexe “un nombre de sièges en proportion du nombre de licenciés éligibles” ce qui pourrait diminuer la place des femmes dans les comités directeurs des différentes fédérations sportives.

Pourtant leur place est déjà bien petite en particulier dans les comités directeurs. Et parce que les fédérations ont de l’humour c’est la fédération de gymnastique et ses 80% d’adhérentes qui a saisi la cour administrative pour assurer plus de parité au sein de son comité directeur…envers les hommes !

D’après un article du Monde.fr, Eurostat a publié le 5 décembre les chiffres de la pauvreté et de l’exclusion en 2012 dans l’Union Européenne. Et le résultat est édifiant,puisque 124,5 millions d’Européens étaient menacés d’exclusion ou de pauvreté en 2012 soit près d’un quart de la population de l’Union Européenne.

Sans grande surprise, les pays les plus touchés sont en majorité les pays de l’Est comme la Bulgarie où une personne sur deux est touchée par l’exclusion ou la pauvreté. On retrouve également, parmi ces pays les plus touchés, la Grèce où 35% des habitants étaient menacés par la pauvreté. En haut du classement, c’est la République Tchèque qui est la moins touchée, suivie de la Finlande et du Luxembourg. Pour ce qui est de la France, 20% de ses habitants étaient menacés d’exclusion ou de pauvreté en 2012. Une façon de rappeler les très fortes inégalités qui subsistent même au sein de l’Union Européenne où l’on gagnait, en 2008, environ 5  fois mieux sa vie au Royaume-Uni qu’en Bulgarie. (source Eurostat)

D’après un article du monde.fr, la victoire, mardi 19 novembre, de l’équipe de France de foot sur l’Ukraine n’a pas réjoui que les (derniers !) supporters des Bleus.  Et pour cause, TF1 avait déjà acquis les droits de diffusion des matchs de l’équipe de France pour le prochain Mondial pour 130 millions d’euro et ce avant même la qualification de l’équipe donc.

Alors non seulement 130 millions d’euro ça fait beaucoup pour des matchs qui auraient pu ne jamais exister en cas de défaite des Bleus  mais en plus la chaîne aurait perdu encore plus d’argent en matière de diffusion publicitaire.  Mais TF1 n’est pas le seul concerné,en effet comment ne pas parler de Nike équipementier officiel de l’équipe de France et qui vendra le maillot officiel du Mondial 120€ l’unité. Enfin, le journal L’Equipe échappe  à un “regrettable manque à gagner” car une Coupe du Monde c’est trois à cinq millions de publicité en plus.

Amour du sport quand tu nous tiens !!!

Selon un article du figaro.fr, le prix Nobel d’économie a été décerné à trois Américains experts en bulles lundi 14 octobre.

Professeurs à l’université de Yale ou de Chicago,Robert Shiller, Eugene Fama et Lars Peter Hansen ont été récompensés pour leurs travaux sur la prévision des prix et du phénomène de bulle immobilière ou financière. En effet, Robert Shiller est, d’après son éditeur, la Princeton University Press,”sans doute la seule personne à avoir prédit à la fois la bulle boursière de l’an 2000 et la bulle immobilière qui a conduit à la crise des subprimes en 2008″. Depuis les années 1980,l’économiste s’attache à démontrer le lien statistique entre prix des actions et dividendes qui permet de prévoir la tendance du cours des prix sur plusieurs années.

Lars Peter Hansen a, quant à lui, affiné  la méthode de calcul permettant d’analyser la formation des prix des actifs financiers. Enfin,Eugene Fama,doyen du trio âgé de 74 ans, a tenu a démontrer que le cours des actions est presque impossible à définir à court terme.

Nos trois Américains ont donc obtenu le 45 ème prix Nobel d’économie,une belle surprise de la vie pour Eugene Fama qui confiait, à l’annonce de sa nomination, avoir commencé l’économie à l’université pour remplacer son cours de français qui l’ennuyait !

D’après un article du monde.fr,l’Espagne devrait sortir de la récession au troisième trimestre de 2013. Le gouvernement espère une croissance de 0.7% pour 2014.

Le ministre du budget,Cristóbal Montoro table donc sur la reprise économique qui permettrait une baisse du déficit budgétaire passant ainsi de 6.5% prévu en 2013 à 5.8% en 2014. Le taux de chômage a lui aussi baissé passant sous la barre historique des 6 millions de chômeurs soit 26.26% de la population active. En parallèle, la dette publique devrait bientôt atteindre 100% du PIB.

Une bonne nouvelle donc pour l’Espagne qui n’en oublie par pour autant la rigueur.

Selon huffingtonpost.fr, l’ONU a, pour la deuxième fois, publié son rapport annuel sur le bonheur. Le but est simple : déterminer quel est le pays le plus heureux au monde et surtout comment. Si cela paraît abstrait et plutôt subjectif au premier abord, l’ONU a en fait pris en compte six critères, des plus classiques comme le PIB par habitant ou l’espérance de vie aux plus inhabituels comme la possibilité de compter sur quelqu’un.

Mais venons-en au fait : quel est le pays le plus heureux du monde ? Les plus heureux au monde seraient donc les Danois, suivi de près par les Norvégiens et les Suisses. Les Etats-Unis n’arrivent qu’en 17ème place soit une chute de six places. La France, quant à elle, se classe 25 ème, c’est deux places de moins que l’an dernier mais toujours devant l’Allemagne, 26ème.