Nov
30
Classé dans (Pink Paillettes) par zzeghlache le 30-11-2012

Je pense que les filles ont des qualités, par exemple, elles sont belles, sympathiques, respectueuses, très féminines, intelligentes, romantiques avec un grand coeur… Elles nous font rêver mais elles ont aussi des défauts car personne n’est parfait : elles sont collantes, jalouses, desfois garçons manqués, aiment parler pour rien dans tous les domaines et, pour finir, ELLES NOUS BRISENT LE COEUR !!!!!!!!

Mais cela nous empêche pas de les aimer.

Nov
30
Classé dans (Pink Paillettes) par Badjoo le 30-11-2012

Un oeil sombre ! 

 Aujourd’hui, la plupart des garçons ne pensent qu’aux filles, ils ne font plus la différence entres amies et joujoux. Les garçons de maintenant ne pensent qu’aux filles qu’ils appellent “BONNES” ! Ce qui veut dire un minimum de fesses, de poitrine, pas très grosses… Quelques fois, ils ne s’intéressent qu’à la plastique.

Il sont vraiment très différents au collège qu’à l’extérieur : j’en connais  qui sont pareils au collège qu’à l’extérieur. On s’amuse. Mais d’autres sont tout le contraire au collège : ils ne te côtoient pas et font comme s’ils ne nous connaissaient pas mais ce n’est pas pour autant qu’ils n’ont pas aussi beaucoup de bons côtés.

Fanta.

Nov
30
Classé dans (Pink Paillettes) par mbercisse le 30-11-2012

Un oeil tendre

Pour moi, les garçons d’aujourd’hui sont quasiment tous super gentils, en tout cas la plupart de ceux du collège. On peut avoir différentes relations avec un garçon: il y a la relation amoureuse, la relation d’amitié ou tout simplement aucune relation… Les garçons que je connais et avec lesquels je passe du temps sont des garçons gentils mais qui aiment faire des bêtises, sans oublier de “draguer”… Cela ne me dérange pas pour autant parce qu’ils ne me draguent pas :  sûrement pas et je préfère plutôt ça, car pour moi ce sont tous comme des frères.

Je pense qu’il faut juste connaître les bonnes personnes parce qu’il est vrai que quelques garçons prennent les filles comme une chose, il y en a beaucoup qui jouent avec les sentiments de quelques-une ou d’autres qui peuvent tomber amoureux…

Nov
30
Classé dans (Santé) par olefrancois le 30-11-2012

Hier, quelques z’eleves de 3° / 4° on eté tirés au sort pour participer à la ” chasse au DASI ” à Châtellerault, qui a eu lieu à la MPT ( Maison pour tous). Nous avons été encadrés par Laure ( Animatrice du centre social d’Ozon ) Catherine ( Assistante Sociale ) et Mme Askari( Infirmière scolaire.).

Nous sommes donc partis à 8 heures du collège, direction la maison pour tous, puis après nous somme allés à la MDS ( maison de la solidarité.) où nous avons été informés sur tous les moyens de contraception, vaccins pour éviter certaines IST ( infections sexuellement transmissibles.) Nous avons beaucoup appris sur l’avortement qu’il fallait essayer de parler au maximum avec les parents s’ils sont ouverts d’esprit avant de commettre l’irréparable.

Plus tard dans la matinée, nous sommes allés à la CIDFF ( Centre d’information sur les droits des femmes et des familles). Nous avons répondu à des questions sur la relation de filles et garçons : ( Le viol, la première fois, la pression … )

Chers garçons, sachez qu’il ne faut pas se fier au physique ou au style vestimentaire : la fille aime être belle, glamour, classe… Sans forcementvouloir aller plus loin.

Vers 12h30, nous avons été dejeuner : un vrai moment de convivialité et de rires. Apres ça, un quizz a été donné. Nous, George Sand, sommes arriveés 1° :D,

Nous avons gagné des places pour aller aux Klub’, des tee-shirt, et des préservatifs ( Ce qui va pas être très utile pour le moment ^^ )

Enfin bref, nous avons passé une super journée, merci à tous ceux qui ont encadré ce jour. Nous avons beaucoup appris !

Notre opinion : En fait, nous avons vraiment aimé, le seul problème, c’est qu’on n’a pas trop l’habitude de parler de sexualité entre nous ou avec nos parents, donc ça nous gênés un peu, puis après, on s’est mis dans le jeu puisqu’il y en avait pour toute journée. Franchement, nous ne sommes vraiment pas déçus !

Océane et Mamabadiou.

Nov
30
Classé dans (Pink Paillettes) par hschmitt le 30-11-2012

Aujourd’hui, le vendredi 30 novembre, c’est la journée de l’adolescence, selon Mme.Dibot. Alors nous allons répondre à la question : qu’est-ce qu’être adolescent ?

Être adolescent, c’est avant tous être jeune, et avoir des problèmes de jeunes. C’est se plaindre pour un oui ou pour un non, c’est pour certains avoir l’équivalent d’une calculatrice sur le visage, c’est employer des mots que seuls les ados peuvent comprendre, c’est vivre avec un tas de choses électroniques, c’est  avoir tout le temps des écouteurs aux oreilles, c’est être fainéant, c’est être Obligé d’aller en cours (malheureusement), c’est avoir plein d’ami(e)s, c’est s’énerver pour n’importe quoi, entrer dans sa crise, c’est commencer à s’intéresser aux choses importantes comme son avenir.

Personnellement, j’aime bien être adolescent, mais c’est aussi se rapprocher de la majorité et se séparer des problèmes d’ados pour être de plus en plus près des problèmes d’adultes.

Le week-end type d’un adolescent comme moi, c’est se lever à des heures pas possibles, mettre du temps à se préparer, voir ses ami(e)s, se détendre quand on a le temps, avec toutes sortes de passe temps. Et comme j’ai un frère au lycée, lui aussi adolescent, je peux comparer mon quotidien au sien : nos quotidiens sont totalement différents. Par exemple, quand moi je joue au jeux vidéos, lui il joue de la guitare, quand je sors avec des potes, lui il est sur l’ordi et quand je rentre, lui, il sort avec ses potes.

Être adolescent, c’est devenir plus grand, avoir des responsabilités, “commencez a être adultes !!!”, des changement aussi : pour les garçons, muer est embêtant. C’est entrer dans le collège, ensuite le lycée. On devient plus embêtant.

Nous sommes, d’après notre professeur d’histoire, M. Mastorgio, des “pervers polymorphes”. On devient assez fainéant, on aime les jeux vidéos: moi, j’y passe ma vie. On n’est pas souvent d’accord avec les adultes. On se plaint souvent, d’après nos parents et professeurs.

J’aime être adolescent car je peux “glander” (M. Mastorgio et Mme Dibot préfèrent “se prélasser dans l’oisiveté”, “paresser”). Mais l’école est énervante, desfois je m’ennuie car cela ne m’intéresse pas ou les devoirs qui nous attendent en rentrant chez nous m’ennuient. Du lundi soir au jeudi soir je rentre chez moi et je reste sur l’ordinateur jusqu’à 23h, après, j’allume la télé jusqu’à à peu près une heure du matin, cela dépend. Du vendredi soir au dimanche soir, je me couche à 5 heures du matin et me réveille à 8 heures du matin et retourne sur l’ordi.

Je reste beaucoup de temps sur l’ordi, à part quand mes copains me demandent de sortir dehors : je vais faire du foot ou vais au cinéma avec eux. Nous, tous garçons, selon moi, nous sommes de plus en plus intéressés par les filles. Être adolescent n’est pas si mal, quand on rentrera dans le monde du travail, nous ne pourrons plus faire comme avant.

Nov
30
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Abderrahman le 30-11-2012

Enfin la Palestine est devenue un Etat observateur à l’ONU, après avoir été refusée le 19 décembre 2008, le peuple palestinien a été accepté hier, le 29 novembre 2012.

Je suis content que le peuple palestinien soit enfin accepté car il le mérite et je me sens comme les palestiniens, car ce sont aussi des musulmans et aussi parce qu’ils ont tellement souffert durant ces dernières années à cause d’Israël. Israël les a attaqués de partout, par les airs (avions), la terre (tanke+fantassins) alors que les palestiniens n’étaient pas de taille car ils n’avaient pas d’armes…

Et en ce vendredi, les palestiniens vont  pouvoir êtres tranquille, sans soucis, comme nous ici, sauf qu’il faudra faire des réparations du pays : espérons que tout rentrera dans l’ordre et que le peuple palestinien ne souffrira plus .

Je me pose une question : Pourquoi les Etats Unis ne voulaient pas que la Palestine soit un Etat observateur ? Voici deux hypothèses : soit parce que les Etats Unis ont choisi de soutenir Isrël parce que c’est une puissance militaire qui les intéresse ou bien parce que les Etats Unis ont pour une raison inconnue une dent contre la Palestine. Mais même si ça c’est bien passé, je pense que les palestiniens n’oublieront jamais ce qui s’est passé et je pense que personne ne l’oubliera.

                                                                                                                                                                                                                                Lefouse

Nov
30
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par la Vieille Garde le 30-11-2012

Scandaleusement provoqué en cette séance de media par les zélèves chargés de réfléchir sur leur adolescence, je consens à répondre à ladite provocation et aux propos diffamatoires tenus, prétendant que je ne serais capable de donner une opinion, un avis ou tenir une réflexion sur cet âge si éloigné du mien. Certes, mon adolescence remonte au millénaire précédent, mais celle des autres, celle de mes contemporains, des zélèves, je la subis, je l’endure, je l’étudie aussi, au quotidien, depuis plus de 15 ans.

Le constat est alarmant, il l’est d’ailleurs depuis les débuts de l’humanité puisque des tablettes d’argile de Babylone précisent que les jeunes manquent de respect aux ancien, Aristote se scandalisait des moeurs et comportements des jeunes, sous Charlemagne, même constat, les jeunes parlent mal aux anciens, ne respectent plus rien ni personne, etc. En outre, il n’est pas nécessaire de fournir des arguments que les adolescents ne peuvent saisir. (Ils connaisent, Babylone, Aristote, Charlemagne?)

Ainsi, depuis le début de l’humanité, il faut bien en  prendre acte, l’adolescence serait  une calamité, je confirme, elle l’est! L’adolescent type est certain de mieux comprendre le monde que ses parents ou tout adulte d’ailleurs. Il faut en effet préciser que les adultes sont des “vieux” et que l’on est vieux à partir de 20 ans semble-t-il. Paradoxalement cependant, le corps médical fait désormais s’étendre l’adolescence, (l’adulescence étant elle une vision plus sociale que physiologique) de 12 à 30 ans, ce qui ne saurait qu’interpeller lesdits adolescents concernés par la tranche d’âge.

Peut importe, l’adolescent type est prodigieusement contestataire et se contredire trois fois dans la même phrase en faisant preuve de la plus inqualifiable mauvaise foi ne lui pose aucun problème, pire, il affirmera que la faute de tout cela, comme de tout le reste, n’ incombe qu’à son contradicteur. Généreux, nous dirons qu’ils cultivent la pensée rousseauiste et estiment qu’il vaut mieux être homme à paradoxes qu’à préjugés. (Ils connaissent Rousseau?)

Ensuite, épuisé de cette contestation, de ses longues nuit de veille sur tous les types d’écran que l’industrie peut produire, de télé, d’ordinateur, de téléphone, de, de… de je ne sais trop quoi, de ses repas pantagruéliques, de ses quelques heures de sport, de ses discours existentiels avec ses pairs destinés à savoir quel sportif, quel chanteur, quelle chanteuse, quel acteur ou actrice est le meilleur, si A sort avec B si C est encore avec D, bref, suite à tout cela, l’adolescent lambda (ils savent leur alphabet grec?) rejoint donc son lit, non fait, en sa chambre, non rangée, et sombre dans les bras de Morphée, (ils connaissent Morphée?) pour se voir contraint au lever, quelques heures plus tard, par un réveil tyrannique lui enjoignant de se rendre au collège ou au lycée, à moins que, lors des fins de semaine, il ne puisse profiter de longues heures de ce repos immérité, jusqu’à ce que les parents, lassés, ne viennent les sortir du lit et se voient alors rabroués sans une once de respect, sous prétexte que le samedi  il est bien normal de dormir jusqu’à 15h et qu’ils ont le droit de se reposer, avec tout ce qu’ils font pour leurs parents au quotidien!

Vous l’avez saisi, ô lecteurs, le sujet de l’adolescence est une mine inépuisable que je ne saurais… épuiser. Il s’agissait seulement pour moi, ici, de prouver, à ces hordes de jeunes, qu’en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, le vieillard,  que je suis, piqué au vif, cette irritabilité naturelle m’étant un point commun avec lesdits adolescents sujets de notre étude, avait encore assez de neurones pour produire, en cette séance, quelques lignes sur un thème qui aurait cependant dû plus les interpeller que moi. Las, cette situation ne fait que prouver ce que nous mettions en avant plus tôt et je me réjouis de savoir que dans des milliers d’années on lira avec attention cet article devenu alors une référence historique et sociale de premier plan (ils savent ce qu’est l’ironie?).

Nov
30

Qui aime bien taquine bien (selon Zinabidine) 😉

L’ado, ça me connaît : du lundi au vendredi, du lundi au vendredi, et du lundi au vendredi (après ça, qui oserait nous contester notre droit à 16 semaines de vacances ?) : donc, du lundi au vendredi, je pratique l’observation de l’ado.

Dans le cadre scolaire, la pire condition qui soit : l’ado n’est pas heureux d’être là. Il ne sourit pas  avant la récréation de dix heures. Avant dix heures, il végète : il termine sa nuit, commencée après une heure du matin et interrompue par la sonnerie du réveil parental et un petit déjeuner. Ah non, l’ado ne petit déjeune pas. les céréales, il les grignotte à 23 heures, devant son écran. L’ado est nictalope : il ne fait pas tomber de miettes sur le clavier !

L’ado est malheureux : du moins fait-il semblant d’en adopter les symptômes : assis, chauffé, nourri, il trouve encore le moyen de soupirer que “la vie, c’est esclavant” avant de re-sombrer sans sa léthargie coutumière. Soupir.

Donnez à l’ado une tâche : tentez l’expérience. Une tâche dure : inscrire dans l’agenda le travail à faire pour le lendemain. L’ado a des réflexes innés : “Quoi ? M’dame, on a déjà un DM en Histoire !”. Soupir. (tentez l’expérience en sixième : le sixième, qui n’en est qu’au stade de pré-adolescent, ne négogierait jamais un travail : le sixième obéit, applique, et avec le sourire.) Crayon (geste lent : ah oui, l’ado est agaçant…). Agenda. Echarpe : l’outil de travail essentiel dans la panoplie de l’ado. Soupir. (bis, ter) Pendant ce temps, la sonnerie a retenti, l’ado s’est envolé (le temps de dire au revoir à la classe : plus un élève) L’ado est capable de rapidité dans le sens descendant de l’escalier : pour descendre en récréation, il déploie des qualités insoupçonnées, faisant appel à des muscles qu’il n’avais pas sollicités à l’aller. Pour monter en cours, l’ado traîne des pieds, des jambes, des bras : la gravitation universelle l’attire irrémédiablement vers le bas : le rez-de-chaussée.

Au rez-de-chaussée, on peut échapper au cours : on peut passer par l’infirmerie…

Croit-on. Car l’ado est crédule.  Mais l’infirmière, cette adolescente repentie (comme le sont tous les adultes du collège) maîtrise à la perfection l’art de l’esquive dont elle sait déceler chez l’ado les signes avant-coureurs : bobo le ventre, bobo la tête, bobo le dos…

L’ado est un être jeune, en devenir, il doit être épuisant d’attendre d’être grand : la période de latence semble un calvaire. A les voir ainsi,  ils souffrent réellement. Soyons compréhensifs, ne parlons pas trop fort,  n’exigeons pas de travail personnel le week-end “Oh, bah non, M’Dame : on a déjà un DM en maths et c’est l’anniversaire d’Hugo. C’est abuser…”

L’ado n’a que ce mot à la bouche “abuser”.

Mais s’il n’existait pas, il faudrait l’inventer, car l’ado est touchant. Ne le dites à personne, mais dans notre jargon d’enseignants, on le dit “attachiant”. 

Nov
30
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 30-11-2012

Ce nom doit résonner aux oreilles de tous les patriotes et plus encore des Bretons, puisque ce patronyme est avant tout celui de Joseph de Kerguelen de Trémarec qui, en 1772, découvrit ces îles qu’il nomma France Australe, devenues ensuite îles de la désolation, tout un programme, avant que de redevenir un élément des TAAF, les Terres australes et antarctiques Françaises, sous le nom de Kerguelen, que tout bon élève de 3è connait, grâce à ses repères géographiques. Patriotisme, pourquoi? Peut être car avec ce petit morceau de volcans éteints dans l’hémisphère sud, c’est un morceau de France qui se trouve ainsi en exil. On constate en effet que  les différentes parties des îles Kerguelen portent, pour la plupart, des noms célèbres de l’histoire de France, ainsi, de l’île de Croÿ (illustre famille qui possède aussi le proche château de la Guerche, sur la Creuse) à l’île de Boynes (la comtesse de Boynes servit de modèle à Proust pour sa marquise de Villeparisis) en passant par la presqu’île Jeanne d’Arc (qui passa par Châtellerault) peut-on traverser les siècles et les événements majeurs de notre histoire nationale, avec les ordinaires clins d’œil de nos articles à l’histoire locale, en constatant, à travers ces noms, l’existence d’un patriotisme d’une autre époque et ses manifestations pacifiques.

Ces îles furent aussi, il y a peu, le support géographique d’une partie du film les saveurs du palais (voir l’article consacré en ce même Torchon audit film) ce qui permit peut être de mieux les faire connaître et de révéler qu’elles sont avant tout une base scientifique.

Ainsi, ces terres froides, battues par les vents (c’est très Chateaubriand n’est ce pas), savent-elles allier, le souvenir de l’Histoire, tout en se tournant vers l’avenir de la préservation de notre planète en sachant même se faire aimer et découvrir à travers un film contemporain. Preuve que rien n’est jamais tracé d’avance, y compris pour les îles perdues.