Archives pour la catégorie PROJETS 2008/2011

Festival de la fiction TV La Rochelle 2010


 

Un soupçon d’innocence,

de Pascal Péray

avec Pascale Arbillot et Mélusine Mayance.

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CRITIQUE DE LUCIE

 

UN SOUPCON D’INNOCENCE

d’Oliver Peray.

Réalisateur : Olivier Peray

La mère : Pascale Arbillot (prix d’interprète au festival de la fiction TV à La Rochelle)

La Fille : Mélusine Mayance

La Belle-sœur : Carole Franck

Le résumé :

Julie, une fillette d’une dizaine d’années introvertie (Mélusine Mayance) passionnée par les mangas, s’adonne à illustrer son quotidien. Sa mère (Pascale Arbillot) pense qu’il est normal que sa fille joue avec des personnes imaginaires se qui n’est pas de l’avis de sa belle-sœur (Carole Frank).

La confiance mère/fille devient fragile et va être mise à l’épreuve à partir du drame. Julie s’accuse d’un meurtre pour protéger son ami imaginaire, peut-être pas si imaginaire que ça.

Le scénariste tient en haleine le public avec un flashback au début du film. On voit la scène du meurtre sans savoir qui, où, pourquoi ?

Le réalisateur a besoin de ce flashback, beaucoup de passages à vide, sans action, des personnes font des apparitions dans l’histoire et n’ont aucun rôle utile. Mais nous sommes comme accrochés par cette histoire malgré quelques doses d’ennui. Des tas de détails ne coïncident pas.

Comment une fille d’une dizaine d’année peut dessiner aussi bien sans avoir pris de cours ? Comment a-t-elle rencontré ces garçons ?

Des exemples dans le film, il y en a plein, mais comme submergé par le suspense et le mystère de ce crime, on y prête pas d’importance ni d’attention.

Cependant, le réalisateur a fait une faute de goût, ou plutôt a immiscé son point de vue, alors que nous n’avons pas besoin de le connaître. Dans une scène du film, il fait un cliché sur les gens du voyage, avec le vol d’une montre. L’abstention aurait été meilleure.

Heureusement qu’Oliver Peray, le réalisateur s’est arrêté là ! La promotion du film aurait fait scandale avec une affaire de racisme !

Mais tous ces défauts sont oubliés lorsqu’on regarde ce film. Le scénariste a su mettre en avant et cultivé l’art du mystère entre l’imaginaire et le suspens.

Un film a consommé sans modération !

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CRITIQUE DE EMILIE

Critique du Film «  Un Soupçon d’innocence »

Vous êtes vous déjà imaginé rentrer tranquillement chez vous, pensant retrouver la sérénité, quand soudain votre vie bascule? C’est ce qui arrive à Pascale Arbillot, quand elle découvre un cadavre sur le sol de sa salle à manger. Sa fille, interprétée par Mélusine Mayance, s’accuse du meurtre. Alors, la mère désespérée se lance corps et âme à la poursuite de la vérité. A partir de là, de nombreux indices subjuguant apparaissent les uns à la suite des autres.

Malgré certaines scènes quelque peu caricaturées et que l’on peut qualifier comme des clichées. Ce film reste, tout de même, très prenant. L’histoire d’une mère bouleversée et inquiète pour le futur de sa fille, est susceptible de toucher un grand nombre de personnes.

Les acteurs font preuve, durant le film, d’un professionnalisme exemplaire. D’ailleurs suite au film, l’actrice principale, Pascale Arbillot a reçu le prix d’interprétation du Festival de la fiction TV de La Rochelle 2010. Ce qui démontre donc l’émotion transmise à la perfection, ainsi que le suspense parfaitement maîtrisé.

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CRITIQUE DE ELOÏSE

Un soupçon d’innocence

Réalisation et scénario : Olivier PERAY

Casting : Pascale Arbillot, Mélusine Mayance, Carole Franck …

Synopsis : Des rapports mère et fille difficiles, un meurtre plutôt étrange… C’est l’histoire du Film « Un soupçon d’innocence », présenté au festival de la fiction TV 2010, à La Rochelle.

Julie, 11 ans, a une imagination débordante. Cette imagination se reflète à travers les mangas, plutôt effrayants, qu’elle dessine avec passion et talent. Mais que faire lorsque ce que l’on croit être l’imagination d’une enfant, se rapproche dangereusement de la réalité ? Cela n’a pas l’air d’inquiéter la mère de Julie, Marie, qui continue à vaquer à ses occupations habituelles, entre un travail inintéressant et une aventure amoureuse sans lendemain… Mais cela inquiète bien plus la tante de Julie, qui s’étonne de voir sa belle sœur réagir avec un tel calme face au comportement vraiment très étrange de sa fille. Julie multiplie les absences, les rendez-vous mystérieux, et le doute s’installe chez sa tante qui pense à son équilibre. Elle va s’en mêler…un peu trop. En rentrant un soir du travail, Marie trouve les policiers chez elle, en train d’expertiser une scène de crime. En effet, un corps gît inanimé en bas de son escalier, et cela n’est pas, un accident. Julie quant à elle est en compagnie des agents de police, et devant sa mère… s’accuse du meurtre. Face à des aveux, la police n’a pas d’autres choix que de placer Julie en hôpital. Mais sa mère ne croit pas en sa culpabilité et ira jusqu’au bout pour prouver son innocence. A l’aide des mangas de Julie, elle va reconstituer un puzzle qui l’amènera vers des vérités terrifiantes, qui peut-être…sauveront sa fille.

Un soupçon d’innocence nous plonge dans l’univers des mangas, mélangent suspense, angoisse, et tragédie. Ce film est un drame policier, commençant tel un polar, et finissant comme un thriller, et qui captive tout au long de la projection, grâce à la première scène qui n’est autre que la scène de la découverte du corps, avant de retourner en arrière, à l’aide d’un Flash-Back. Les acteurs jouent merveilleusement bien leurs rôles, et on remarque rapidement qu’ils se mettent réellement dans la peau du personnage. Pascale Arbillot (Marie), à d’ailleurs remporter le prix de la meilleure interprétation au festival de la fiction TV, à la Rochelle. Quand à Mélusine Mayance (qui joue le rôle de Julie), alors là, que dire ? Cette jeune actrice interprète le rôle de Julie avec Brio ! Aucune faute n’a été commise et son jeu est excellent ! L’histoire se suit avec facilités, avec cependant quelques incohérences dans l’histoire. Par exemple, la gestion du temps. Lors de la scène du crime, lorsque Marie rentre chez elle, il fait nuit, mais lorsqu’elle part du travail, c’est encore la journée, et elle n’est qu’à quelques minutes de chez elle. Il y a aussi certaines scènes inutiles, comme par exemple les scènes d’amour entre Marie et l’un de ses clients, qui ne se rapportent pas à l’histoire, et la question ne se pose même pas, cette aventure sentimentale spontané n’a rien à faire dans le film. Il y a aussi, le jugement qu’apporte le film sur des personnes tels que les Gitans. On ne les voit que grossiers, à la limite de la violence, voleurs, et cela englobe un sentiment général de mauvais jugement  sur ces personnes, qui pourraient être présentés différemment. Malgré ces quelques points d’incohérence, le film marque une certaine originalité coïncidente avec le film, en ce qui concerne les mangas que Julie dessine. En effet, certaines scènes sont présentées sous forme de mangas « animés », que Julie aurait pu dessiner.

Il est vrai que le film rencontre certaines incohérences avec l’histoire, mais malgré cela, il reste captivant et se suit avec facilité. De l’étrange, du crime, un soupçon d’innocence, quoi que un peu plus violent pour les plus jeunes, reste un film excellent, tel un thriller à la Française.

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CRITIQUE DE MARINE P.

CRITIQUE SUR LE TÉLÉFILM

« UN SOUPCON D’INNOCENCE »

« Soupçon d’innocence », film tragique du réalisateur Olivier Péray, reprenant la vie d’une mère et sa fille ayant une histoire plutôt surprenante.

Abandonnées par un père de famille aveuglé par la tristesse d’un drame familial. En effet, leur fils a subit une mort horrible.

Le film commence très fort, il fait nuit, des gendarmes, une scène de crime avec un cadavre, et… la fillette de 11 ans s’accusant du meurtre. La mère, jouer par Pascale Arbillot, fait tout pour innocenter sa fille, qui se plonge alors dans un silence profond. Elle n’a alors comme issu, que les dessins extraordinaires (manga) de sa fille, qui vont la mener sur de périlleuses découvertes !

J’ai adoré ce film, le suspens, les acteurs, le film en lui-même était plutôt bien. En plus, un paysage magnifique, une qualité d’image irréprochable, j’ai été très surprise par la qualité de ce téléfilm, car en générale, l’image, la bande son, à ce niveau là, les français ne sont pas toujours les meilleurs !

Cependant, malgré la bonne qualité du film, je trouve qu’il y a quand même beaucoup de choses incohérentes.

D’abord, la petite fille et ses fabuleux dessins, comment une fillette de 11 ans peut être capable de faire de tels dessins, même si la maîtresse d’école parle de « don », je trouve cela assez exagéré.

Ensuite, le jour du meurtre, la mère part de son travail dans l’après-midi, il fait jour, et elle devant chez elle il fait nuit noire, alors que le trajet ne devait pas être aussi long.

Et pour finir, l’histoire avec les gitans, qui je pense a du choqué énormément de personnes. Pourquoi le bandit devait être un gitan ? Pourquoi ces clichés ressortent-ils toujours ? Honnêtement, beaucoup de français ne valent pas mieux que certains gitans.

En bref, c’est un téléfilm avec énormément d’interrogations, mais il reste très attractif alors ses petits défauts restent invisibles.

87 minutes de film, qui passent à la fois lentement et rapidement selon les scènes. Ce film m’a vraiment plu, avec en prime les talents d’actrice de Pascale Arbillot, que l’on avait déjà pu admirés dans « merci les enfants vont bien » en duo avec le charmant Bernard Yerlés.

Je conseille à tous les lecteurs de regarder ce film qui passera sur la 2 très prochainement, car c’est un film qui en vaut la peine.

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CRITIQUE DE CAMELIA

CRITIQUE DU FILM

 

UN SOUPçON D’INNOCENCE

Film créatif et ingénieux certes, mais beaucoup trop d’idée pour un seul film. Il y avait quelques scènes qui ne changent rien à la suite du film exemple :

–  la scène de l’homme qui « tombe amoureux » de la mère,

–  la scène de la piscine,

– la scène de la montre dans le camp gitan.

En effet, les acteurs étaient en accord total avec l’esprit du film, même si la fille Mélusine mayance paraissait assez frustrée au début, c’est elle qui joue de rôle le plus important car dès le début elle s’accuse du meurtre, c’est elle qui dessine les mangas et qui emmène à la suite de l’histoire, c’est par elle que l’on comprend le dénouement de l’histoire.

Par ailleurs la séquence du début avec les policiers devant la porte de leur maison donne envie de voir et de comprendre la suite.

L’action a mis du temps à démarrer mais au final le film était trépidant, le mélanger avec le manga donne une autre vision du scénario par rapport aux films dramatiques qui sont d’habitude dans les salles ou téléfilms.

Le réalisateur scénariste OLIVIER PERAY a vraiment bien choisi ces acteurs PASCALE ARBILLOT qui joue la mère une femme calme mais qui parait perdu dans sa tête par rapport au changement dans sa vie, MELUSINE MAYONNE qui est interprété par la fille le personnage phare du film, et CAROLE FRANCK qui joue la belle sœur méchante et très sûr d’elle, elle peut être appréciée dans d’autre scénario mais dans ce genre de film c’est elle qui joue le mauvais rôle.

Monsieur PERAY a vraiment bien travaillé, lorsque l’on sort de la salle on est surpris et enthousiaste à la fois. BRAVO

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CRITIQUE DE MELANIE

UN SOUPCON D’INNOCENCE

Un film dramatique réalisé par Olivier Peray, réalisateur et scénariste doté d’une imagination débordante. Il raconte l’histoire d’une mère et de sa fille ou les drames se succèdent.

La mère est convaincu de l’innocence de sa fille qui elle-même s’accuse du meurtre et fera tout pour le prouver. Elle prendra tous les risques pour faire éclater la vérité. L’amour pour sa fille lui donne la force et le courage d’affronter les obstacles.

Toutefois, le film est long à démarrer mais le suspense est là et nous tient en haleine jusqu’à la fin du film. Le public se pose des questions qui seront élucidées dans les dernières scènes. Ceci rend l’histoire captivante et soutient notre intérêt jusqu’au bout. En effet, grâce au jeu des acteurs qui sont tous formidables, l’émotion est présente et nous ferait presque verser une petite larme. Mélusine Mayance, la petite fille est extraordinaire dans ce rôle complexe.

Néanmoins, le dénouement et pour le moins surprenant, on ne s’y attend pas du tout. En effet, certaines scènes (par exemple le plan du cadavre) sont incohérentes avec le début de l’histoire à la limite de l’exagération. Car le réalisateur par son imagination débordante, a accumulé trop d’évènements dramatiques pour que cela soit plausible.

C’est pourquoi ce film dit « dramatique » pourrait être classé dans la catégorie des thrillers.

De plus, le scénariste nous impose une image négative des gitans proche du cliché. C’est-à-dire qu’il leur fait interpréter des rôles de « voyous » uniquement.

Olivier Peray a voulu intégrer le manga à son histoire. La petite fille dessine sa vie comme dans les mangas, son talent est fort étonnant pour son jeune âge. Pour rappeler ces dessins, le réalisateur a filmé les dernières scènes avec des vignettes de mangas, ce qui est plutôt original.

Ce film m’a plu et j’étais enthousiaste en sortant de la projection. Néanmoins, après réflexion ce film me parait un peu « tiré par les cheveux ».

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CRITIQUE DE LAURA

UN SOUPCON D’INNOCENCE : UN TÉLÉFILM PROMETTEUR !

Différent des autres thrillers, Un Soupçon d’Innocence se démarque des séries ou films du même genre complètement prévisibles et dont les scénarios restent similaires les uns aux autres. En effet, l’histoire commence sur une scène de meurtre où Julie (une petite fille âgée de 11 ans) s’accuse du crime. Sa mère bouleversée par ce fait, n’y croit pas et cherche à innocenter sa fille tout au long du film en menant son enquête seule à travers les dessins de Julie. Grâce à un flash-back au début du téléfilm, nous pouvons situer les personnages dans l’histoire et dans son contexte afin de mieux comprendre ce qui s’est passé. Mélusine Mayonce qui joue Julie, est une enfant talentueuse et passionnée par le dessin et nous laisse penser qu’elle souffre de mythomanie lorsqu’elle parle de personnages jamais rencontrés, amis avec elle, illustrés seulement dans son carnet de mangas. L’actrice Pascale Arbillot interprète le rôle de la mère de Julie : Marie. C’est une mère désemparée par la disparition de son mari et par la mort de son fils. Elle est une femme forte, courageuse, malgré ses faiblesses qui lui feront parfois obstacles dans sa quête de vérité. Florence, incarnée par Carole Franck, est la belle sœur de  Marie et est aussi la victime du crime, c’est quelqu’un d’encombrant et qui se prend pour la mère de Julie. Tout le scénario va, donc, tourner autour de ces questions : Julie a-t-elle vraiment assassiner sa tante ? S’invente t-elle une vie ou est-ce une réalité ? Nous sommes plongé dans une enquête très intrigante, on croit à un personnage puis plus, on se questionne et on se laisse emporter comme enquêteur : prises de tête, certes, mais pas une seconde d’ennui ! Plein d’effets, une luminosité radieuse et un décor superbe, on ne doute pas qu’un tel téléfilm remportera un vif succès ! Pour preuve, il a été nominé au festival de la fiction TV à La Rochelle où l’actrice principale, Pascale Arbillot, a remporté le prix de la meilleure interprétation féminine. Il est vrai que les acteurs sont géniaux et jouent leurs rôles à merveille, ce téléfilm pourrait même être comparé à un chef-d’œuvre du cinéma. On se délecte de cette histoire innovante et envoûtante, qui procure un réel plaisir.

 

ALINE

gymnastique-004GYMNASTIQUE

La gymnastique, une passion depuis toute petite. J’allais souvent voir ma cousine en compétition et cela m’a beaucoup plus. J’ai donc décidé à l’âge de 7 ans de commencer. Ce qui me plait surtout c’est la gymnastique rythmique, faire des figures sur un air de musique est très agréable et cela me permettait de m’évader et ne penser à rien d’autre qu’à la chorégraphie que j’apprenais. Mais il y a aussi  beaucoup d’inconvénients et de contraintes. C’est un sport qui demande beaucoup de rigueur et d’entraînement et beaucoup de souplesse. Des heures de travail pour seulement une chorégraphie de deux minutes lors d’une compétition.

Presque 3 ans d’entraînement pour pouvoir enfin connaître le stress des compétitions.

Les compétitions quelques chose de vraiment intense et de stressant, j’aimais sentir toute l’adrénaline en moi ce qui me poussait à me surpasser et faire des performances superbes. J’ai fait de la compétition pendant trois ans.

Mais lors d’un entraînement j’ai fait une chute plutôt brutale, lors d’une figure sur une poutre je suis tombée et me suis cassée l’épaule … J’ai été dispensée de gymnastique pendant 3 mois, mais quand j’ai voulu reprendre la peur était là, la peur de tomber encore une fois et de ne plus pouvoir en faire encore une fois.

Depuis cet accident je n’ai pas repris la gymnastique et encore moins la compétition par peur mais au fond de moi la passion est toujours là. J’espère un jour vaincre cette peur et pouvoir reprendre la compétition, mais pour le moment je préfère attendre pour reprendre sur de bonnes bases.

LEA

sbasket_ball.26567LE BASKET

Vers onze ans, j’ai fait de l’escrime. Ce qui me plaisait, c’était la maîtrise de soi, la concentration et vouloir individuellement rapporter des points collectivement à l’équipe.

Mais quand j’ai déménagé, j’ai du renoncer à ce sport et le basket m’est apparu, c’est un bon remplaçant !

Un sport d’équipe, j’ai toujours aimé regarder les matchs à la télévision le samedi lorsque j’étais petite avec mon père. Ce que j’aime réellement dans le Basket, c’est l’esprit d’équipe, le contact avec l’adversaire, le bruit du ballon sur le parquet qui brille. Et puis c’est un sport des rues comme le Foot, pas besoin d’être en club pour y jouer.

Je pratique ce sport depuis 3 ans. Malheureusement nous avons beaucoup de mal à jouer des matchs, faute de  filles inscrites.

Mais je suis tous les entraînements avec assiduité, car c’est un exutoire après mes cours.

Je déplore que cet entraînement ne dure qu’une heure trente, et cela une fois par semaine.

Heureusement la commune, nous a installé un terrain avec des paniers où je peux aller pendant mes moments de temps libre.

Le Basket est ma passion !!!

MELANIE

DANSE modern jazzLA DANSE

Petite, j’admirais ma sœur qui pratiquait la danse. J’ai donc suivi ses pas et chaussé les ballerines. Ainsi, à l’âge de 6 ans, j’ai commencé la danse classique et le modern’jazz  au conservatoire de Bobigny en région parisienne.

Mon premier professeur de classique était un vieux monsieur, un ancien danseur professionnel. Il nous racontait qu’il avait dansé à l’Opéra Garnier de Paris. A son départ en retraite, une petite femme d’une silhouette de danseuse très autoritaire, l’a remplacé. Ses méthodes étaient à l’ancienne, elle marquait le rythme avec un bâton accompagné d’une pianiste. Le chignon bien tiré, sans fantaisie, était obligatoire. Ses exercices à la barre, bien que répétitifs et codifiés étaient malgré tout attrayants. Pendant ces exercices, elle passait derrière nous avec un stylo qu’elle passait durement le long de notre dos. La sensation de griffure nous faisait rectifier immédiatement la position.  Le « milieu » était toujours composé d’un exercice de placement, d’un adage, de tours, des exercices de sauts, et se terminait par une diagonale.

L’année se finissait par un gala où tous les membres du conservatoire participaient : musiciens, acteurs, danseurs. Mon professeur créait des ballets traditionnels à la danse classique sur la musique de grands compositeurs comme Vivaldi, Tchaïkovski…

Pour ma rentrée en 5ème j’ai déménagé en Charente-Maritime et j’ai intégré une école de danse à Rochefort. J’ai rencontré Marie-Anne, le professeur, et découvert son univers particulier. L’organisation des cours est très différente puisqu’il n’y a qu’un seul professeur pour 200 élèves et deux disciplines. En modern’jazz, les musiques sont variées, on passe facilement de Madonna à des percussions africaines. Elle organise des Galas de fin d’année dont les thèmes sont également très divers, par exemple : « Le métro » illustration des stations de métro par des ballets ; « Charlie et la Chocolaterie » illustration du conte.

Cela fait bientôt 12 ans que je pratique cette discipline, avec toujours autant de plaisir et de passion. La danse est un moyen de m’extérioriser, de me défouler. Les difficultés des cours me motivent et me poussent à me perfectionner sans tenir compte des douleurs corporelles. Danser est pour moi vital et nécessaire à ma vie. Je n’envisage pas l’avenir sans la danse en perspective.

Je souhaite réaliser mon rêve d’enfant, cependant je prends conscience des difficultés pour atteindre mon but. Concilier les études et la formation dans ce domaine est fort compliqué pour des raisons pratiques et financières. Puis se faire connaître dans le milieu professionnel engendrera de nouveaux obstacles. Mais je suis pleine d’espoir et d’envie et suis prête à affronter toutes ces épreuves.

ALEXIE

HIPHOPMa passion est la danse hip-hop

Je pratique le hip-hop depuis 8 ans, c’est un moyen de s‘exprimer physiquement et de faire passer des émotions sans avoir besoin de parler et cela permet de s’extérioriser.

Le hip-hop m’est venu quand j’étais petite. Je regardais tous les films de danse et je reproduisais les mouvements. A 9 ans, j’ai pris mes premiers cours de hip-hop. 1 an après, j’ai fait ma 1ère battle entourée d’un public. Je me suis rendue compte que quand on danse les gens ne jugeaient non pas qui nous étions mais ce que nous dégagions.

C’est une sensation que l’on ne ressent pas tous les jours, dans la vie quotidienne. Elle est faite de regards posés sur votre physique, de jugements… Qu’importe que vous soyez gros, maigre le hip-hop transcende notre physique. Le jugement se portera uniquement sur la manière de bouger.

Peu importe ce qu’il est, d’où il vient ou bien de ses différences, comme Malcolm x disait « il fait reconnaître tout être humain, sans chercher à savoir s’il est blanc, noir, basané ou rouge, lorsque l’on envisage l’humanité comme une seule famille ».

Histoire :

Depuis sa création au début des années 70, le hip-hop s’est rependu à l’échelle mondiale, dans tous les pays et toutes les cultures. Ce mouvement planétaire unique en son genre a, en l’espace de 30 ans, révolutionné toutes les formes artistiques (musique, peinture, danse…) et les sociétés au sein desquelles la culture hip-hop s’exprime. Le hip-hop est originaire des ghettos noirs.

MARGAUX

LE TAMURE

tamure 1

TANE (l’homme)

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VAHINE (la femme)

Ma passion est la danse tahitienne, le Tamure.

J’ai vécu à Tahiti il y a trois ans ainsi je me suis intégrée et j’ai appris à aimer la culture polynésienne dont cette danse.

Tous les ans de juin à juillet a lieu à Papeete le HEIVA I TAHITI, qui est un rassemblement  de toutes les écoles de danses de Polynésie avec de plus de 1000 spectateurs.

C’est une danse traditionnelle pratiquée par de nombreuses Tahitiennes au même titre que les sports maohi comme la pirogue, les tatouages et l’artisanat.

Autrefois, les chants et la danse contribuaient à la vie religieuse et étaient associés aux grands Marae (lieux sacrés).

La vahine (la femme) roule des hanches, tandis que le tane (l’homme) bat des jambes en faisant un mouvement de ciseaux, d’ailleurs cette danse s’appelle le « pa oti » ce qui veut dire  ciseaux.

Tous les deux dansent au rythme du to’ere (instrument à percussion local).

Dans chaque commune à Tahiti, il existe une école de « Tamure » et à chaque fête traditionnelle les élèves se regroupent et font un spectacle.

Pour moi c’est une danse qui représente beaucoup et veut exprimer énormément de chose; depuis septembre 2009 j’exerce le Tamure dans une association nommée « ORI TAHITI » à La Jarrie et je compte l’exercer encore longtemps.

CLAUDIA

portugal7Le Portugal

Depuis le 9 août 1992, je suis portugaise. Ma famille m’a raconté ses moments vécus là-bas, ses tristesses, ses joies.

Elle m’a fait visiter le pays, m’a fait goûter les plats : comme le Farrapo velho, c’est de la morue mélangée avec des oignons, des choux.

J’y ai vécu des moments inoubliables avec mes amis quand on allait à la plage, au café, au restaurant avec la famille ; ceci restera toujours des moments que personne ne pourra oublier. Au mois d’août j’y retourne, pour y revivre et recommencer de nouveaux moments.

Le Portugal aujourd’hui est et restera ma fierté car c’est mon pays, ma nationalité. Là où je vis mes plus belles vacances, et où je suis heureuse car mes grands-parents, mes oncles et tantes et mes cousin(e)s y vivent et avec eux je ne passe que des moments agréables.

Car le paysage est magnifique, il a des endroits sublimes, que l’on ne retrouve nulle part ; à l’Île de madère il y a des fleurs qui n’existent nulle part ailleurs.

Mes ami(e)s d’enfance qui vivent en France aussi y sont en été.

Le village où je vis est petit, c’est pour cela que tout le monde se connaît d’ailleurs. Les personnes sont super accueillantes mais il y en a qui aiment critiquer.

Tous les dimanches, quelque fois je me rends dans une salle où tous les portugais se réunissent comme si on était au Portugal. Il y a des jeunes, mais plus de personnes âgées. Cette salle se situe à la rochelle plus précisément A Beauregard à côté du collège.

JULIE

Cliquer sur ce lien pour apprendre à danser en vidéo (youtube) : object>

zouk027Le zouk

Le zouk est une danse qu’on danse à deux très serrés, très collés et de plusieurs façons. J’ai toujours aimé cette danse surtout son rythme ; depuis toute petite je danse le zouk.

C’est une passion de famille, j’ai commencé à 12 ans, ma sœur et mon frère ont toujours très bien dansé le zouk. A force de les voir cela m’a donné la même passion ; ils m’ont appris à le danser car il y a quand même un sens à respecter : le sens est 3 pas en avant, 3 en arrière en déhanchant les hanches de gauche à droite.

Les origines du zouk sont les Antilles. Il n’y a pas particulièrement de tenue traditionnelle. Souvent c’est petit haut avec jupe et chaussures à talons, mais beaucoup de personnes ne s’habillent pas comme ça lorsqu’elles le pratiquent.

Quand je danse je pense à rien ; danser est un moment qui me fait tout oublier c’est pour cela que je le danse assez souvent.

CYNTHIA

LE VOYAGE

LE MAROC

Le voyage est pour moi une véritable passion. J’aime découvrir de nouveau pays de nouvelles religions, les traditions et de nouvelles façons de vivre. Le dernier endroit que j’ai visité, c’est le Maroc. C’était un voyage magnifique a but humanitaire pour aider les écoliers en leur faisant parvenir des affaires scolaires ou même des objets qui leur seront neccéssaires (Appareil Photos Numérique, ordinateur portable…).C’était vraiment incroyable, fantastique mais surtout magique ; de réels souvenirs me sont restés gravés. J’ai passé des moments inoubliables et j’ai visité de grande villes (Marrakech, Rabat et El Jadida). Dans ces villes, j’ai découvert de merveilleux endroits comme La Ménara, La tombe de Mohamed VI, La Place Jamaa El fna … J’ai fait aussi d’excellentes rencontres comme les directeurs des écoles et tous les enfants (ils étaient aussi mignons les uns comme les autres).

MARILYNE

roller001Ma passion … le roller !

A l’origine je ne connaissais pas ce qu’était le roller. Toute petite encore j’ai commencé à le découvrir grâce à ma cousine qui le pratique depuis son plus jeune âge elle aussi. Elle se débrouille très bien et elle participait même à des concours.

Lorsque je l’ai vue pratiquer, j’ai tout de suite aimé ! Je voulais savoir comment il fallait faire pour savoir le faire. Maintenant, ça fait longtemps que je le pratique et je sais faire plein de figures et de slaloms :
– des slaloms en croisé avant et croisé arrière : cela consiste au fur et à mesure des plots de croiser les jambes et de les décroiser.
– il y a aussi le parallèle qui lui consiste tout simplement à slalomer entre les plots les pieds joints de gauche à droite.
– et en citron qui lui consiste à écarter les pieds devant chaque plots et les rassembler entre les deux.

Je suis très heureuse de savoir le pratiquer car c’est un sport qui demande beaucoup d’équilibre et beaucoup d’attention. Et je suis contente de pouvoir le pratiquer sans trop de difficultés. Quand je suis sur mes rollers : tout va bien !
J’oublie tout, je pense à une seule chose : patiner …

Je le pratique depuis mes 8 ans et quand je pratique ce sport je me sens bien. Je suis en autonomie je peux faire ce que bon me semble. Rouler j’adore, c’est une façon pour moi d’oublier mes soucis et de penser à autre chose, d’évacuer mon stress et sourire….

Quand je commence à mettre mes rollers c’est comme si je partais dans un autre monde. Un monde où tout va bien, où il n’y a plus toutes les petites préoccupations de la journée, le stress, ou encore les problèmes. Tout s’envole ! Et tout le temps où je suis sur mes roues la joie est en moi.

J’adore ça parce que être sur des roues, c’est passionnant et agréable aussi. Je ne sais pas pourquoi j’aime autant le roller mais ce que je sais c’est que je ne veux pas m’arrêter d’aussi tôt ; je veux m’améliorer et si ça se trouve un jour, je pourrais apprendre à des petits enfants à pratiquer ce que j’aime le plus faire.

C’est pour cela que le roller est ma passion, j’adore ça !!

ADELINE

MA PASSION LA MUSIQUE

La Musique a bercé la première partie de ma vie, ça veut dire de ma naissance au jour d’aujourd’hui. La Musique c’est une manière de s’aérer la tête et de ne penser à aucune chose, on se vide de la tête. La Musique c’est un art tout comme la peinture.

La Musique que j’écoute le plus souvent c’est la variété française, ce sont des textes qui sont en général compréhensibles. C’est impossible que je me passe de la musique, je suis obligée d’écouter  au moins une fois dans la journée une Musique. C’est très important dans ma vie j’en ai besoin tous les jours.

Le premier CD qu’on m’a offert c’est ma maman qui me l’a offert c’était un single : c’était le CD de la danse d’hélène. J’etais toute petite mais ce CD je l’ai encore, je l’ai toujours. Depuis que j’ai écouté mon premier CD, ma passion est devenue la Musique.

La variété française est apparue au XXème siècle et ce sont les textes des anciennes chansons que la nouvelle génération reprend :  comme par exemple, Willy Denzey qui a repris la chanson de Joe Dassin “et si tu n’existais pas”.

Les Musiques qui m’intéressent, j’essaie de les apprendre mais ce n’est pas évident ; moi-même je voudrais écrire des textes mais je n’ai pas beaucoup d’inspiration, mais bon…  je vais essayer d’écrire un texte en m’inspirant d’autres textes.

Voila comment se résume en quelques lignes ma passion qui est la Musique.

VISITE DU 27/11/2009

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Lucie

omOLYMPIQUE DE MARSEILLE


Le Football ? Une passion qui m’est venue toute petite. Tout juste née, j’allais voir mon père et mes cousins jouer. Le samedi soir mes parents me laissaient regarder à la télévision la première mi-temps des matches. J’en voulais toujours plus…

Petit à petit, je me suis prise de passion pour le club Phocéen. Je ne rate aucun match. Chaque dimanche, je regarde la chaîne TF1 qui diffuse Téléfoot. Aucune information ne m’échappe !

De jour en jour ma passion grandit.

Mon Rêve ? Voir un match de l’olympique Marseillais. Souhait qui a été exaucé le dimanche 14 décembre 2008. J’étais placée au premier rang du stade de Bordeaux « Chaban-Delmas ». Tous les joueurs que j’avais tellement vus à la télévision, je les voyais en vrai. Cela a été un souvenir inoubliable.

Pour mon anniversaire, l’année dernière, Djibril CISSE, Lorik CANA et Samir NASRI m’ont envoyé une lettre en me souhaitant un Joyeux Anniversaire ! J’étais tellement heureuse que je l’ai accrochée sur le mur de ma chambre.

Durant toute l’année, j’ai collectionné les stickers des joueurs. Mes parents m’ont annoncé que cet été nous partions 15 jours à Marseille. J’ai attendu le jour du départ avec impatience. Là-bas, ma famille m’a fait la surprise de m’emmener au centre d’entraînement « la commanderie » de L’olympique de Marseille. J’ai vu les joueurs s’entraîner. Et après je les ai attendus à la sortie pour avoir des autographes et photos. Les joueurs ont été vraiment généreux et ont signé tous les maillots des supporters.

Je suis une fervente supportrice. L’OM est ma passion.

JESSICA

sports-equitation-00003L’équitation


Ma passion c’est l’équitation. Mes parents possèdent quelques chevaux depuis mon enfance.

J’ai découvert cet univers grâce à mon père qui était passionné par les chevaux. Il allait souvent sur les hippodromes avec moi.

Je ne les monte pas car ce sont des chevaux de course donc je n’ai pas assez d’expérience. Nos chevaux sont dans une écurie qui se trouve loin donc je ne peux pas m’en occuper mais ça m’aurait plus.

J’aime regarder les concours à la télévision. Alexandra Ledermann est une cavalière française de concours de sauts d’obstacles que j’admire grâce à ses compétences.

Mais je n’ai jamais pû faire d’équitation car c’est un sport qui demande du temps et de l’argent. J’aurais aimé pratiquer ce sport.

MAEVA

danseuse-orientaleLA DANSE ORIENTALE


Je vais vous parler dans cet article de ma passion : la danse orientale.

Quand j’étais petite, un membre de ma famille tenait un dancing ; lorsque j’y allais, je dansais sur la petite scène avec les musiciens. J’ai donc été élevée dans cette ambiance musicale, de soirées dansantes.

A l’âge de 9 ans, je suis tombée par hasard sur le clip vidéo « Whenever, Wherever » de Shakira à la télévision. Cela m’a beaucoup plus. J’ai ensuite tenté de reproduire ses mouvements et au fil du temps j’ai progressé. Plus je dansais, plus je prenais du plaisir à danser, et plus j’en avais besoin car cette danse me fait évacuer le stress.

Lorsque j’avais 12 ans, je suis allée au concert de Natasha Atlas, en Bretagne. J’ai adoré cette soirée, il y avait une ambiance qui nous plongeait dans un pays oriental. Natasha savait danser comme si elle était née pour cela, et j’ai eu envie d’apprendre encore plus.

Je préfère la danse orientale à d’autres danses parce que je trouve ça très beau à regarder, (les femmes qui dansent dans les jupes transparentes et recouvertes de pièces), et à danser (les mouvements ne sont pas violents, c’est gracieux)…

Il y a également des inconvénients dans cette danse, notamment les douleurs au dos que les mouvements peuvent provoquer. Il faut de la souplesse pour ne pas se faire mal.

Je ne prends pas de cours, mais je mets de l’argent de côté pour m’en payer, et j’attends d’avoir un moyen de transport pour me rendre en ville régulièrement.

CHARLOTTE

gymLa gymnastique

Ma passion est la gymnastique au sol. J’ai découvert cette passion à l’âge de 6 ans car ma mère faisait de la gymnastique à Mireuil et j’allais la voir de temps en temps donc elle m’a transmis sa passion. J’aime bien regarder les concours de gymnastique à la télévision. J’ai déjà fait de la gymnastique pendant deux ans et cela m’a beaucoup plus. J’aurais bien aimé continuer ce sport mais j’ai dû arrêter car j’ai déménagé et je n’en refais pas car je n’ai plus le temps. C’est un sport qui me passionne beaucoup.

MARINE C.

danse-classique
Je tire cette passion probablement de ma mère, qui danse elle aussi, depuis l’âge de 10 ans. En la regardant faire dans ses spectacles et entraînements, avant de faire de la danse, j’ai voulu moi aussi exercer ce sport, que je pratique maintenant depuis l’âge de 4 ans :

LA DANSE

Je me souviens d’un spectacle réalisé quand j’étais encore petite, où tous les petits danseurs étaient déguisés en chats, et les professeurs de danse avaient créé des chorégraphies appropriées à ce thème.

Les entraînements étaient le mercredi pour les plus jeunes. Ils constituaient à échauffer les muscles et répéter les chorégraphies pour le spectacle. Les entraînements pour les danseurs plus âgés se font le samedi matin, mais se forment de la même manière, mis à part qu’ils sont plus durs et demandent plus de concentration.

Et je danse également dans une association : «  L’Amicale Laïque » qui me permet de moi-même créer des chorégraphies et choisir les musiques. Un spectacle est également prévu à la fin de l’année.

Il y a plusieurs danses que j’aime : le Souk, le Classique, la danse Africaine, la danse Orientale, le Hip-hop…

Mais celle que je ne pourrais pas arrêter est la danse Moderne Jazz, car tout me plait dans cette danse : le genre de musique, le rythme, les mouvements, l’ambiance et les sentiments que cette danse dégage.

De lier à la fois métier et passion me donne envie de faire de la danse mon métier, sois en professeur de danse ou danseuse professionnelle. Malheureusement, cela ne pourra pas être possible, car je n’ai pas assez d’expérience et les études appropriées à ce métier ne correspondent pas aux miennes.

La danse me permet de me défouler, et de m’exprimer par des mouvements. Quand je danse, je ne pense à rien d’autre.

J’aime la danse, c’est ma passion.

TIPHAINE

chevalMa passion des chevaux


A ma naissance, mes parents avaient déjà cette passion pour les chevaux. Mon père était instructeur d’équitation et ma mère a cette passion depuis ses 14 ans.

Tous les deux partageaient cette passion et avaient un centre équestre : une dizaine de chevaux et une vingtaine de poneys. J’ai beaucoup appris de cette passion jusqu’à l’âge de huit ans lors de la fermeture du club.

Monter à volonté et les terrains de concours me manquaient énormément alors j’ai décidé de reprendre il y a maintenant un an. Me remettre en selle a été difficile… mais le temps a passé et tout est revenu petit à petit. Je connais à mon tour les terrains de concours et les places les meilleures…


L’équitation… explications…


L’équitation est un sport d’art et de technique consistant à monter et diriger un cheval.

On peut diviser l’équitation en deux grandes parties :

– l’équitation pour les sportifs,

– l’équitation pour les amoureux des chevaux.


L’équitation pour les sportifs :


Il y a les courses de trot monté où le jockey est assis sur le dos du cheval et les courses de trot où le jockey est assis sur le sulky tiré par le cheval.

Il y a également les courses de galop obligatoirement montées.

Les courses de plat (montées et avec sulky) sont comprises entre 800 et 4 000 mètres. Elles sont le plus souvent de 2 400 mètres. Et les courses d’obstacles, généralement des courses de haies, qui sont comprises entre 2 800 et 6 500 mètres.

Nous avons aussi les sports équestres comprenant l’attelage, le concours complet, le dressage, l’endurance et le saut d’obstacle.


L’équitation pour les amoureux des chevaux :


L’équitation de loisir se pratique dans des clubs, associations ou bien entre amis, pour ceux qui possèdent leurs propres chevaux. Ce loisir peut se pratiquer en manège ou en carrière mais aussi en promenade ou en randonnée. C’est un bon moyen de se retrouver.

Il y a des jeux tels que le horse ball, le polo réputé chez les familles anglaises les plus aisées, les pony games pour petits et grands, et pleins d’autres encore.


Avis personnel : La deuxième partie soit « L’équitation pour les amoureux des chevaux » est la meilleure. Pas besoin d’être pro pour aimer monter à cheval.


MARINE P.

ballons_basket002Le Basket

Ma passion ?

Le Basket, qui est une vraie passion pour moi.

Depuis combien d’années je pratique ce sport ?

J’entame maintenant ma 7ème année ! Sept années d’amusement et de plaisir.

D’où cela m’est venu ?

Tout a commencé quand nous avons dû déménager avec ma mère, dans une petite ville des Deux-Sèvres qui s’appelle « Bressuire ». J’étais encore petite et je n’avais pas vraiment fait de sport avant. Et, avec le temps, j’ai eu envie d’en faire. Il a donc fallu trouver quelque chose d’intéressant à faire. Puis, un jour, on me parla du Basket, ce fabuleux sport d’équipe.

J’en ai fait une année, puis, à mon retour à la Rochelle, j’ai poursuivi.

Qu’est-ce que le Basket, vraiment ?

Plusieurs jeunes réunis sur un même terrain, 5 adversaires, sensations de tensions, de joie, de tristesses. Les spectateurs assis sur des bancs, certains crient, plusieurs rient…

C’est cet esprit familial que j’aime, tout le monde se regroupe et forme des liens.

Mais au Basket, nous avons aussi besoin d’attention et de logique, nous mettons en place plusieurs stratégies. Durant deux ans, j’ai développé ma passion en entraînant des jeunes enfants de 9 et 10 ans. Ce fût une belle expérience que je compte bien renouveler dans les prochaines années. Le basket, plus qu’une passion, qui je pense ne s’arrêtera pas de sitôt.

ROMAIN

artistes-chanteurs-7MA PASSION : LA MUSIQUE


Ma passion c’est la musique, enfin surtout le chant. J’ai découvert cette passion en primaire, et en 6ème j’ai fait une année de chorale. Cette expérience m’a beaucoup plu.

J’aime le chant et la musique car cela me fait oublier plein de choses ou alors cela me remet en question. Je trouve que c’est une bonne leçon. Ca fait du bien en effet ; mais après chacun ses goûts.

Je voulais en faire mon métier lorsque j’étais au collège mais je regardais des émissions télé comme par exemple la Nouvelle Star ou encore Star Académy et j’ai bien vu que ça demandait beaucoup de temps. C’est aussi très difficile.

Mais je préfère me consacrer à mes études car c’est plus important pour trouver du travail. Dès que j’ai chanté une année au Conservatoire de La Rochelle, je m’y plaisais énormément. Je me suis fait des copains. Ca a été positif pour moi. Dès que ma première année de chorale s’est terminée il a fallu que l’on repasse devant notre professeur de chorale seul pour faire des exercices et pour qu’elle nous dise si l’on pouvait continuer à chanter dans son groupe. Moi elle m’a dit que j’allais muer donc je ne pouvais pas continuer dans sa classe. J’ai été terriblement déçu. Tout de même elle m’a proposé de chanter dans une chorale exprès pour les gens qui muent. Néanmoins ça ne m’intéressait pas donc j’ai préféré arrêter quelque temps.

C’est vrai qu’à l’heure actuelle ça me manque beaucoup, j’ai envie d’y retourner mais le problème c’est que c’est cher pour mes parents. En ce moment j’écoute beaucoup Céline Dion car je suis amoureux et ses chansons sont très belles. Toutefois je n’ai pas forcément de chanteur préféré. Je suis ouvert d’esprit vis-à-vis des styles musicaux. Ah non je n’aime pas du tout le style où les chanteurs crient dans le micro; je ne trouve pas du tout que c’est de la musique. Enfin bon comme on dit, chacun son style. J’aime toutes sortes de musique mais c’est vrai que j’écoute beaucoup plus les musiques mélancoliques.

ELOISE

note_music_011La musique  note_music_004

La musique est ma passion.

J’aime écouter de la musique car cela permet soit de se lâcher sur des musiques mouvementées, soit de réfléchir avec des musiques plutôt calmes. J’aime un peu tous les styles de musique, j’écoute de tout. C’est vrai qu’il existe énormément de styles (rock, classique, pop …) et beaucoup de chansons se retrouvent avec pas mal de styles mélangés. Il y a de nombreux artistes que j’écoute qui ne sont pas connus en France.

On peut trouver beaucoup d’artistes inconnus en France, en cherchant sur internet, sur les différents sites. Internet est le moyen le plus rapide et celui qui rapporte le plus de résultats dans la recherche d’artiste, de chansons et de styles. C’est comme ça que je trouve de nouvelles musiques et de nouveaux artistes que j’apprécie en général.

La musique est un moyen d’expression et les paroles donne son sens à la chanson. Sans paroles la musique ne veut rien dire. La musique est ma passion. Je ne peux pas m’en passer plus d’une journée, c’est la seule chose qui me calme quand je suis en colère. J’en écoute sans arrêt parce que c’est énervant de ne pas avoir de son, de rythme et de paroles en arrière fond. J’aime la musique et je crois que c’est la chose sur laquelle je passe le plus de temps, et c’est pour ça que j’en fait ma passion.

ANGELIQUE

chienLES ANIMAUX SONT MA PASSION


Plus particulièrement les chiens de petite taille car mon handicap ne me permet pas de pouvoir m’occuper des chiens de taille moyenne ce qui me ferait perdre l’équilibre.

Depuis l’âge de 5 ans, j’ai eu envie d’avoir un chien, l’origine de cette passion est arrivée le  jour où j’ai trouvé un chien abandonné sur le bord d’une route… Depuis ce jour-là j’en ai toujours eu un.

Lorsque je suis en vacances,  je m’en occupe tous les jours. Je le lave, je le nourris, je le brosse, je le promène et je le traite contre les tiques et les puces… Je fais tout pour qu’il soit heureux. Je trouve les chiens très affectifs et très compréhensifs avec les humains, je le comprends il me comprend, on se parle. Je passe beaucoup de temps avec lui, on est très complice tous les deux.

Si j’avais une plus grande maison j’aurais beaucoup plus d’animaux.

RAYMOND

jeux-vidaoMa passion est … les jeux vidéos

J’adore toutes les sortes de jeux vidéo que ce soit du FPS au MMO ou encore du survival horror aux jeux stratégiques. J’aime chaque facette des jeux par leur esprit ludique et innovant que par leur originalité ou leur contexte.

Ce qui me plait le plus ce sont les jeux où nous créons notre personnage pour lequel nous lui inventons une histoire. Nous lui montons une vie dans laquelle nous choisissons son orientation soit méchant ou gentil, du corrompue au saint. Il y a une possibilité infinie de combinaison ce qui rend ce jeux riche dans la diversité des situations possibles.

Maintenant, la plupart de ces jeux proposent des fonctions communautaires comme le tchat ce qui rajoute souvent des aspects tactiques. Mais certains jeux vont plus loin. Nous voyons ce que le futur nous réserve. En effet, nous interagirons directement avec le cour du jeu.

J’admire le travail de ces gens qui font pixel par pixel un travail magnifique qui nous pousse de plus en plus loin à une réalité virtuelle.

Lexique :

FPS : jeu dédié au shoot em up (jeux de tir)

MMO : Jeux massivement multijoueur souvent du RPG (role playing game jeux basés sur du tour par tour avec la création à 100% de notre personnage)

Survival horror : jeux créé dans le but de faire peur avec une action omniprésente.

AMELIE

danseLa danse est ma passion


Ma passion est la danse, car j’en ai fait depuis 4 ans avec ma sœur dont 2 ans de danse classique en premier et en second deux ans de danse moderne. Il y a des soirs où on faisait des spectacles comme la Belle et la Bête qui était très bien, on s’est bien amusé c’était très intéressant si je pouvais le refaire je le ferais. Ce qui m’a décidé à en faire c’est que je dansais toute seule. Je n’en fais plus car j’ai des problème de dos. La danse est dure car il y a des mouvements difficiles à exécuter. Je préfère le moderne car ça bouge plus.

La danse classique :

Née vers 1577, les origines de la danse classique sont italiennes. C’est une danse calme, rarement rapide et énervante. Quand une danseuse danse sur une musique calme il faut qu’elle soit gracieuse. Pour la coiffure il faut faire un chignon pour ne pas qu’il gêne la danseuse quand elle danse. Pour les habits il faut un collant (rose claire ou blanc) un tutu ou un juste corps et des chaussons demi-pointe ou des fois des pointes.

Les cambrés

En avant ou en arrière, les penchés sont accompagnés par les bras au service de l’esthétisme et de l’équilibre du mouvement. Pour réaliser un penché en arrière, il faut lever les bras en couronne au dessus de la tête, maintenir son dos et ses abdominaux puis se pencher en arrière.

Exercices d’assouplissement

La danse classique demande de la force mais aussi beaucoup de souplesse, les jeunes danseuses la travaille beaucoup pour obtenir un bon résultat et être bien souple. Avant d’arriver à faire la figure ci-contre, les années sont comptées et la position n’est pas forcément très confortable !

La danse moderne :

Pour la danse moderne on s’habille normalement d’un tee shirt et d’un jean ; pour les chaussures il faut des tennis ou des chaussures à talons.

La musique est une danse plus rapide.

Les pas son différents de la danse classique.

FANNY

enfant_024LES ENFANTS


Les enfants c’est ma passion, tout a commencé quand ma mère s’est mise à garder des enfants, j’avais 4 ans et c’est ici que j’ai rencontré mon ami d’enfance. Depuis ce jour je me suis dit pourquoi je ne pourrais pas faire pareil ?

Vers l’âge de 16 ans j’ai commencé à garder des enfants. A la naissance de mes petites sœurs jumelles ça a confirmé mon envie de m’occuper des enfants, en effet petit à petit le bouche à oreille dans le village m’a permis de faire du baby-sitting, j’adore m’occuper d’eux, être aux petits soins pour eux (prendre leur bain, les faire manger, les changer etc.…) jouer avec eux (à la dînette, à la poupée, leur lire des histoires etc.…) Je préfère les enfants âgés entre 2 et 5 ans, les 1er gribouillis, les 1ers sourires complices, les 1ers mots et les 1ers pas, bref, tout ça me plaît énormément, c’est ma passion !

En 2nd j’ai voulu faire carrière sanitaire et sociale mais malheureusement je n’ai pas pu, il n’y avait plus de place dans cette branche, donc du coup il ne me restée plus que secrétariat et comptabilité et j’ai choisi dans le secrétariat ! Après mon bac pro secrétariat je ferai peut être une formation pour s’occuper des enfants ! Car je souhaite faire ce métier qui me passionne !

CHLOE

sports_de_combat22453MA PASSION : LES SPORTS DE COMBATS


Les sports de combats sont ma passion car je pratique depuis l’age de 13 – 14 ans .Je n’ai choisi que 3 sports qui sont : le taekwondo, la self défense, la boxe car cela me destresse.

C’est avec ce sport que j’ai appris à me diriger vers les autres et à mieux communiquer.

Avec ces sports j’ai eu plusieurs ceintures :

la ceinture blanche ainsi que la ceinture jaune = au judo pendant 1 an

la ceinture blanche, jaune et orange = taekwondo pendant 2 ans

Pour la boxe je n’ai qu’une médaille en argent en pratiquant la boxe américaine, anglaise et japonaise.

Mais avant tous ces sports je pratiquais de l’escrime et de l’entraînement de Hockey.

J’ai appris quelques règles importantes :

politesse,

honneur,

modestie,

respect,

contrôle de soi,

courage.

LAURA

LES JEUX VIDÉO


Les jeux vidéo sont ma passion. Ce n’est pas ordinaire pour une fille de mon âge je le sais. Mais depuis toute petite je joue à la console, et oui ! C’est grâce à mon père que j’aime cet univers, lui-même étant fan, il m’a transmis cette passion. J’ai pu jouer à presque toutes les consoles, sauf bien sûr à celles étant plus vieilles que moi. Je ne pense pas être accroc, comme diraient les gens, une « no life », je sais établir des priorités, et lorsque je n’ai rien à faire, je joue pour me détendre et me distraire. De plus, avec les consoles « nouvelle génération », je peux communiquer avec mes amis en leur parlant à l’aide d’un casque tout en jouant. C’est un moyen de distraction très convivial, contrairement à ce que pense la plupart des gens.

J’ai aussi des préférences pour les jeux. J’aime beaucoup les jeux de combat, de course, d’aventure et de plate-forme. Je me suis même concentrée sur un jeu en particulier (Dead Or Alive, qui est un jeu de combat) : j’ai tout de suite aimé ce jeu lorsque j’y ai joué pour la première fois. Depuis, je collectionne tout ce que je peux trouver à propos de ce jeu. J’ai une cinquantaine de statuettes, plusieurs posters, beaucoup d’accessoires et de nombreux goodies ; j’y ai même dédié un blog remplis de photos du jeu. Je commande beaucoup sur Internet car ce sont des objets dérivés, ils viennent, pour la plupart, du Japon ou de la Chine.

Je vais régulièrement à des salons. Tous les ans je vais au Micromania Gameshow qui se déroule à Paris. J’y reste pendant deux jours pour tester des jeux en avant première, pour essayer les nouvelles options des consoles, et pour gagner beaucoup de produits dérivés : T-shirts, casquettes, porte-clefs, sacs, stickers, façades pour console, pin’s, statuettes, boissons… On peut y trouver des cosplays, qui sont des personnes qui se déguisent en un personnage de jeu vidéo, ils sont très ressemblants, tout le monde se précipite pour se prendre avec eux en photo ! C’est un univers à part, où tout le monde est différent, les gens se lâchent, font les fous, c’est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie, croyez-moi !

Comme quoi les apparences sont parfois trompeuses !

Cosplay de Lei Fang

Cosplay de Lei Fang

Kasumi (Dead Or Alive Ultimate)

EMILIE

U

ne couleur, une odeur, une saveur… LA CUISINE

Pour moi la cuisine se caractérise essentiellement par ces trois mots. Je suppose que cela est déjà arrivé à plein de gens, une odeur tellement agréable qui se dégage du four qui vous met immédiatement l’eau à la bouche. Une sensation très plaisante, n’est ce pas !!  Mais la cuisine ne se résout pas uniquement à manger. Le sentiment que je préfère quand je cuisine est d’imaginer la réaction de ma famille quand celle-ci goûtera à mon p’ti plat.

Je vous avoue que certaine fois mes plats ne sont pas toujours une réussite. Je me souviens que j’avais cuisiné un gâteau au chocolat et au moment de le mettre dans le four plus de gaz ! Alors essayons au micro-onde ! Une vrai catastrophe !! Mais cela ne m’a pas découragé pour autant et petit à petit je suis devenue une professionnelle des gâteaux, au chocolat, au yaourt, à l’ananas… Ce que j’adore particulièrement ce sont les desserts, mes préférés, la mousse au chocolat et les crêpes !

Mais je prépare aussi des entrées et des plats, comme des pêches aux thons, des pains de poissons. Puis en plats ma plus grande réussite des lasagnes ! Miam !!

Cette passion m’est venue petite,  j’admirais ma grand-mère derrière ses fourneaux et me régalais à déguster sa cuisine.

Et maintenant je m’amuse à essayer diverses recettes !!

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JULIANE

babaLes bébés

Notre premier jeu : « Papa- maman ».

On imitait nos parents avec des poupées. En grandissant, on y pense moins jusqu’à la puberté, les règles, les contraceptions multiples, les ont dit et les premiers rapports. Les choses changent quand on est réellement amoureux, quand le couple est assez solide, etc. …

Au début on en parle en riant avec des ami(e)s mais on devient beaucoup plus sérieux en vieillissant. On regarde autour de nous, dans notre entourage. Les petits cousins sont de plus en plus nombreux et tellement mignons. Lorsque l’on est jeune femme et qu’on voit nos sœurs, nos cousines ou encore nos tantes enceintes ça donne envie.

Bébé est désormais là, il faut assumer ses grandes et magnifiques responsabilités de jeunes parents. Il est si petit mais paradoxalement si terrifiant. Dès la naissance il faut lui donner un nom, le reconnaître et lui faire une place dans le livret de famille. Il faudra être plus attentif que jamais. S’habituer à ses pleurs n’est pas une mince affaire, il faut être patient car pour lui c’est son seul et unique moyen d’expression. Bébé ne veut pas dormir ? Tant pis, il le faut quand même, s’il pleure, il faut le laisser pleurer, même si cela est dur je l’admets. C’est son premier caprice, il faut qu’il commence à apprendre que papa et maman ne viendront pas le chercher malgré ses cris suraigus qui déchirent le cœur de beaucoup. Il se calmera tout seul. Sinon s’il s’énerve trop et perd patience, rien ne vaut un bon câlin dans des bras réconfortants, en marchant, dans les bras bébé voit défiler le paysage, il s’apaise et s’endort doucement mais sûrement.

Au début il dort beaucoup, c’est vrai qu’être un bébé chouchouté est un métier très fatiguant, mais il s’éveille peu à peu, distingue les visages de ses proches, commence à sourire, il jouera le timide en grandissant et méconnaîtra les gens qu’il verra peu.

Être parents est une tâche on ne peut plus difficile mais tellement belle. Il faut comprendre son enfant qui grandit beaucoup trop vite. Les parents se posent mille et une questions avec la peur de toujours mal faire. Vérifier dans les livres ou sur Internet les réflexes à avoir ne sert à rien. L’éducation passe par une grande dose d’amour.

Plus l’enfant grandit, plus il est nécessaire de savoir lui dire NON et de ne pas changer d’avis en cours de route. Il teste la résistance de ses parents qui bien souvent craquent aux premiers pleurs. Ce ne sont que des caprices, apprendre à dire non est difficile pour des parents.

Les conseils primordiaux sont d’aimer ses enfants et de leur inculquer les bonnes manières.

CAMELIA

baba2CHILDREN

J’ai hérité de ce gêne d’aimer les enfants depuis l’âge de mes 7 ans à la naissance de mon petit frère .

Je m’occupais de lui, je lui donnais son bain, je lui donnais à manger, je le couchais etc…

Toutes ces responsabilités que j’aime me montrent que, être avec des enfants est le métier que je veux faire durant ma vie.

J’aime leur contact, leur façon de jouer, de rire !

J’aime leur façon d’être, leurs câlins et baisers, ils m’apportent un bonheur profond.

Quand je marche dans la rue et croise un enfant, je suis sûre de sourire, ils ont un visage illuminé, un regard innocent, parfois même un sourire échangé, des mots mal prononcés.

J’ai déjà fait de l’animation d’enfants (3 à 5 ans) chaque jour des vacances.
J’étais heureuse de me lever pour aller les retrouver, eux n’y voyaient qu’une madame qui leur faisait passer une journée loin de leur maman et papa.

Il les réclamait à chaque moment de la journée, à chaque activité faite ils me disaient : «  Camélia, c’est quand qu’on voit mamannnn ».

Moi, je voyais mon rêve se réaliser, pouvoir passer mon temps avec ces êtres sans défense, ces regards innocents et leur joie de vivre quand on annonçait l’activité qu’ils appréciaient le plus.

La naissance emplit de joie toute une famille surtout les parents.

Ces êtres si magnifiques ne font pas que manger, dormir, vomir, pleurer, ils gazouillent, jouent avec leurs petits pieds, et ces longs regards dans les yeux… ♥

PPCP : PARTENAIRE EUROPEEN ETWINNING

La classe de 1BPS1 (2009/2010) a décidé de communiquer par le biais d’un blog avec un partenaire européen (espagnol). Nous rédigeons des commentaires et des articles en espagnol ou en anglais.

http://www.talkingineuropeaboutourjob.blogspot.com/

C’est un projet Etwinning.

VOYAGE A PARIS

Durant l’année 2008/2009, la classe de 2BPS1 (2nde bac pro secrétariat) du Lycée Doriole a participé au concours “A vos blogs” organisé par l’ONISEP.

Cette classe a gagné le 2ème prix du concours : UN VOYAGE A PARIS.

Vous pouvez consulter notre démarche :

NOTRE DEMARCHE

Vous pouvez visionner le BLOG réalisé par la classe :

http://blogs.onisep.fr/concours/concours_blogs/prix/BLOGS_2009/LP_PIERRE_DORIOLE694/INDEX.HTM

Vous pouvez lire LA PRESSE concernant ce concours :

http://www.cafepedagogique.net/communautes/Onisep/default.aspx