Archive pour la catégorie ‘Technique de vol’

Les activités de l’ecoclub le jeudi

mardi 25 mars 2014

Depuis novembre, des activités ont lieu le jeudi entre midi et deux dans le cadre de l’écoclub, sur le thème du jardin. Des élèves entretiennent le jardin, d’autres ont construit un hôtel à insectes afin d’attirer et protéger un grand nombre d’espèces utiles au jardin.Un groupe d’élèves s’initie au cerf-volant depuis les vacances de février, cette activité faisant le lien avec un des éco-projets axé sur le vol en 6e. Une activité mosaïques pour le jardin attend des volontaires !!! N’hésitez pas à venir !

Photo 012Photo 007 !Photo 002Photo 009 Photo 001 Photo 003DSCN0226 [1600x1200] DSCN0227 [1600x1200] DSCN0200 [1600x1200] DSCN0203 [1600x1200] DSCN0205 [1600x1200] DSCN0206 [1600x1200] DSCN0209 [1600x1200] DSCN0223 [1600x1200]

Le virage du planeur

vendredi 8 avril 2011

Après quelques recherches, nous avons fait une expérience pour comprendre comment un planeur prend un virage.

Nous avons vu que quand le pilote déplace le manche latéralement, le planeur tourne autour de l’axe passant par son fuselage (axe de roulis).
En poussant le manche vers la gauche, nous observons que l’aileron gauche se lève et que l’aileron droit se baisse et le planeur tourne vers la gauche; quand nous poussons le manche vers la droite l’aileron droit se lève et  l’aileron gauche se baisse et donc le planeur tourne à droite.

Article rédigé à partir des travaux des élèves de 6èmeA Gr1 (Laure, Marjorie, Simon, Pauline, Florian, Eliot, Arthur, Charline, Stessy)

Le vol du planeur

mardi 22 mars 2011

Nous avons réalisé des expériences grâce auxquelles nous avons vu:
– quelle doit être la forme d’une aile pour qu’un planeur vole,
– comment un planeur peut prendre de l’altitude sans moteur.

Le profil d’une aile

On a allumé un sèche-cheveux en guise de vent relatif, qu’on a placé devant des «maquettes d’ailes»

– la première «aile» en polystyrène (forme fine rectangulaire) ne monte pas.

– on a fait la même expérience que ci-dessus, on a juste changé la forme de l’aile qui est “bombée”. Nous avons remarqué que dans ce cas, l’aile se soulève.

Conclusion: les ailes d’un planeur doivent avoir une forme “bombée” pour pouvoir voler.

Les ascendances thermiques

1- On a découpé une spirale dans du papier,
2- On a allumé un grille-pain,
3- Nous avons mis la spirale au dessus du grille-pain,
4- La spirale s’est mise à tourner au bout d’un certain temps .

Conclusion:

La spirale tourne car l’air chaud du grille-pain la pousse vers le haut.

On  retrouve ce phénomène chez les planeurs: l’air chaud le pousse vers le haut et le planeur  prend de l’altitude. Certains oiseaux utilisent également ces ascendances pour prendre de l’altitude en faisant un minimum d’efforts.

Travail réalisé par les élèves de 6ème, groupe 2.

Les expériences d’Oyonnax

mardi 15 mars 2011

Les expériences d’Oyonnax nous ont permis de mettre en évidence certaines caractéristiques qu’un planeur doit avoir pour pouvoir planer.

1ère expérience:

Nous avons froissé une moitié de feuille de papier, et nous n’avons pas froissé l’autre. Ensuite nous les avons fait tomber en même temps de la même hauteur. Nous avons remarqué que la feuille froissée tombait plus vite que la feuille non froissée.

Un planeur peut ressembler à une feuille de papier non froissée. L’air a plus de place pour porter la feuille, et de la même façon l’air « porte » le planeur grâce à ses grandes ailes.

2ème expérience:

Nous avons laissé tomber une moitié de feuille pliée en deux dans le sens de la longueur, puis nous avons recommencé plusieurs fois sans bouger de l’endroit où elle était déjà tombée et de la même hauteur . Nous avons remarqué que la feuille ne tombait pas très loin de l’endroit où elle était tombée la première fois.

Ce pliage nous a permis d’orienter la chute de la feuille.

De la même façon, les ailes d’un planeur forment un « Vé » pour orienter sa chute.

3ème expérience:

Nous avons plié une moitié de feuille en deux dans le sens de la longueur puis nous l’avons pliée en deux dans le sens de la largeur.

Nous l’avons ensuite lâchée d’une certaine hauteur. Puis nous avons recommencé plusieurs fois la même chose.

Ce deuxième pliage nous a permis de stabiliser la chute de la feuille.

Un planeur possède une queue (en forme « de croix ») qui lui permet de stabiliser son vol.

4ème expérience:

Nous avons alourdi la feuille en ajoutant des trombones d’un côté. Nous avons constaté que la feuille planait. Il a fallu choisir le bon nombre de trombones pour avoir le « meilleur » vol plané.

Un planeur semble avoir plus de masse à l’avant alors que l’arrière semble plus fin et plus léger.

Juliette MOREAU – 6C