Lettre 3

14 février 2009

VIII jour avant les calendes d’août.

Cher Papyrus,

Je t’ai inquiété pour rien avec ma bulla. Figure-toi que ce matin, au réveil, ma mère est venue vers moi, l’air moqueur. “N’as-tu rien perdu, hier?” me demanda-t-elle. Je n’osai pas répondre et elle me tendit aussitôt ma bulla. Dans ma hâte hier de partir avec mon père aux thermes, je l’avais simplement oubliée dans ma chambre. Ma mère pour me donner une leçon s’en était emparée.

Tout est rentré dans l’ ordre (elle m’a promis de n’en rien dire à mon père). Chouette!!!

Vale

Titus.