Imprimante 3D tobeca 2

L’imprimante 3D tobeca 2

L’imprimante 3D sert à fabriquer un objet rapidement qui est commandé et programmé par un ordinateur.
L’imprimante 3D effectue des tâches rapides et précises pour créer un objet relativement simple, en une courte durée. L’imprimante 3D fonctionne grâce à 3 axes principaux : les axes X,Y et Z. L’axe X et Y sont des courroies qui coulissent grâce au moteur, l’extrudeur (ou tête d’impression) est placé sur l’axe X. L’axe Z est la vis sans fin qui permet de faire monter et descendre le plateau et la tête d’impression. Il y a 3 moteurs. Celui qui permet de faire coulisser les courroies, le moteur qui fait tourner la vis sans fin et celui qui fait descendre le fil plastique dans la résistance chauffante et dans la tête d’impression. Cette imprimante utilise des bobines de filament en plastique, notamment du PLA. Il est produit à partir d’amidon et il est biodégradable.
Le plastique est chauffé pour être fondu et malléable, la tête d’impression guide le pastique précisément. Cette tête d’impression est refroidie par un ventilateur de 40 mm.
Le plastique sort par une buse de 0,4 mm.
Les fils électriques de l’imprimante sont gainés sur le modèle que nous étudions.
dessin

dessin de l’imprimante 3D et ses principaux composants par A.

Tout d’abord, nous allons analyser l’utilité de l’objet. Pour cela, nous avons fais la bête à corne, et nous avons pu observer que l’imprimante 3D permet à son utilisateur de créer des objets plus ou moins complexe grâce à des matières premières ( le plastique dans notre cas )

Image ci dessous : Bête à corne de l’imprimante 3D

bete a cornes

Ensuite, nous allons analyser comment l’imprimante utilise les informations et l’énergie qu’elle reçoit, avec le diagramme de la chaîne d’information et d’énergie ci dessous :

chaines

Il y a beaucoup de solutions techniques qui permettent d’être précis et rapide. Mais la synchronisation de certains éléments sont indispensable et non-négociable.
– Les moteurs effectuent des rotations courtes et rapides qui permet un déplacement rapide et précis de la tête
– Le bloc extrudeur permet de couler la plastique, la buse, elle, permet de diriger la couler de ce liquide.

buse

– La pièce est créée grâce à un logiciel comme sketchup ou des logiciels de modélisation 3D .
La pièce est exporter dans le logiciels d’utilisation de l’imprimante en fichier .stl.
Pour pouvoir modéliser la pièce il faut utiliser un trancheur qui permet de découper la pièce couche par couche comme slic3r
L’imprimante 3D reçoit les informations envoyées par le logiciel d’utilisation (via un branchement USB), La carte électronique va traiter les informations, quant à lui, l’extrudeur va réaliser la pièce qui a été créée par l’utilisateur dans le logiciel. Grâce à la synchronisation des données.
Le logiciel permet aussi de voir la progression de la pièce en temps réel.

-Un calibrage extrêmement précis est nécessaire pour une réalisation optimale de la pièce.

logiciel 1 logiciel 2

Les 2 images ci dessus sont des captures d’écran du logiciel qui permet de programmer l’imprimante 3D

Pour conclure, le système de l’imprimante 3D est à peut près similaire à celui de l’imprimante 2D, ce n’est qu’une successions de couche 2D. Peut être y aura t-il des construction à grande échelle dans le futur.

Les vêtements intelligents

Les vêtements intelligents : Une visée médicale et sportive en performance

Permettre à tout sportif de suivre ses performances et organes pendant les activités sportives, alerter des services de secours en temps réel d’un arrêt cardiaque, ou encore signaler la position de vos enfants égarés en temps réel sur son Smartphone grâce à une application mobile ou sur ordinateur, sera probablement possible demain avec l’innovation des textiles. Et cette technologie pourrait « ressusciter » la filière textile en France.

Avec une fibre dite « intelligente », contenant des milliers de micro-capteurs, les individus pourront alors détecter le rythme cardiaque, permettant d’alerter le danger en direct, le taux de glucose d’un diabétique ou encore l’activité cérébrale d’un épileptique. Mais il peut avoir une visée de performance en calculant la vitesse et la distance parcourue de l’individu. Il s’agit d’une fibre constituant une superposition de couches de cuivre de verre, de polymères et d’argent, pouvant être tissée avec la laine ou le coton, et pouvant être résistante et malléable. C’est une équipe de recherche de la Faculté des sciences et du centre d’optique, photonique et laser de l’université Laval au Québec qui à mis au point une telle prouesse technologique, mais qui réfléchis encore au problème de lavage du vêtement, de l’alimentation, et de la connexion sans fil de ces produits. Ces vêtements nécessitent la miniaturisation des capteurs, l’optimisation de leur consommation énergétique et l’intégration dans le tissu des vêtements afin de mesurer au mieux les paramètres physiologiques des sportifs comme la température de leur corps et leur fréquence cardiaque ou physique comme la vitesse, l’accélération et la géolocalisation.

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image ci dessus : Orange France, Pops by Cityzen Sciences_Visuel_produit c’est le tee shirt que l’entreprise Cytizen à créé, tee-shirt connecté avec l’application.

Un essors de l’industrie française ?

Le textile français pourrait connaître un fort accroissement. En effet, l’entreprise Cityzen a déjà mis au point des tee-shirts intelligents, permettant aux sportifs de surveiller leur rythme cardiaque, ou encore des brassières, et cuissards permettant de plus d’indiquer les parties du corps échauffées. Selon l’article, chaque minute, 42 000 informations de qualité scientifique seront traités, ces données permettront d’optimiser les entraînements de l’utilisateur pour les rendre efficaces, afin d’éviter le surentraînement, la fatigue, les blessures, et d’indiquer les évolutions des performances de l’athlète sur un tableau de bord destiné à l’entraîneur. Une commercialisation est déjà envisagée, car on prévoit 10 millions de vêtements intelligents vendus en 2015 et 26 millions en 2016, ce qui pourrait faire renaître la filière industrielle du textile français, avec, à l’opposé d’autrefois une main d’œuvre peu qualifiée, mais un secteur de haute technologie qui recherche des compétences techniques et scientifiques. Cela créé des nouveaux débouchés pour les ingénieurs, comme dans l’entreprise Cityzen où le recrutement se fait de plus en plus, avec la commercialisation de leurs produits prévue pour la deuxième partie de l’année 2015. C’est un projet soutenu par la France, car il a beaucoup séduit et fait partie des 34 plans d’avenir chargé de sauver l’industrie française, par l’innovation technologique.

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Image ci dessus : Textlad, Smart fabric prototype c’est le tee shirt que l’entreprise Cytizen à créé, tee-shirt connecté avec l’application. Il a été présenté lors de salons.

Un avenir qui promet

Cette technologie donne aussi des possibilités d’évolution, avec des vêtements et tétines chargés de surveiller la santé des bébés, des doudounes, bonnets, et pyjamas contenants des GPS, ou encore des chaussettes mesurant l’impact d’une course sur le pieds.

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image : jcsatanas, accessoire Iphone et Ipod, ce sont des chaussettes 

Très prochainement, vous aurez peut-être dans vos armoires un tee-shirt, des chaussettes, ou encore bien d’autres nouveautés connectées.

Sources :

Planète Robots n°36

http://www.reussirmavie.net/actudebouchesblog/Les-textiles-intelligents-tissent-de-nouveaux-debouches_a293.html

  https://blogrecherche.wp.mines-telecom.fr/2014/07/28/des-textiles-connectes-a-lhomme-instrumente-par-christian-person-chercheur-a-telecom-bretagne/