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Art martial

Publié par Mme Coutance le 30 Juin 2014 dans Sport

Auteur : C. Sigogneau
Le judo un sport de maîtrise

Kano_Jigoro
Jigoró Kanó est né le 28 octobre 1860 à Migake (Japon), et est mort à l’âge de 77 ans (le4 mai 1938 en bateau) est le fondateur du judo kanokan.
Le judo est un art martial ; il se compose essentiellement de techniques de projections, de contrôle au sol et des clés de bras (appelées arme bloc) ou d’étranglement.
Le lieu où l’on pratique ce sport s’appelle le dojo, un ensemble de tapis appelé tatami qui amortit les chutes, sert de terrain de sport. Des tapis de couleurs différentes servent à délimiter la zone de combat. Dans les premiers moments de cette pratique, les tatamis étaient de fines paillasses. On appelle les sportifs des « judokas », ils portent une espèce de pyjama en coton appelé kimono. Pour différencier les deux combattants, une ceinture rouge est donnée au judoka de droite ou on utilise aussi pour les différencier un kimono bleu.
Le judo est un sport pratiqué au niveau olympique. Teddy Riner, un excellent judoka français a été sacré champion olympique le 3 août 2012 à Londres.
Le judo a des règles de moralité, de respect des autres et de soi, qui sont rigoureusement appliquées dans cette discipline.
La politesse, c ‘est le respect des autres.
Le courage, c ‘est faire ce qui est juste.
La sincérité, c ‘est s ‘exprimer sans déguiser sa pensée.
L ‘honneur, c ‘est être fidèle à la parole donnée.
La modestie, c ‘est parler de soi-même sans orgueil.
Le respect, sans respect aucune confiance ne peut naître.
Le contrôle de soi, c ‘est savoir se taire lorsque monte sa colère.
L ‘amitié, c ‘est le plus pur et le plus fort des sentiments humains.
Jigoró Kanó apprend à ses élèves de ne pas refuser le combat, quand un partenaire plus fort que nous nous invite à faire un « randori » (petit combat entre deux judokas), nous ne devons pas refuser l’offre.
Lors d’un combat il est important de faire confiance à son partenaire et de lui montrer qu’il doit lui faire confiance, car lors des chutes il faut retenir son adversaire : certaines chutes sont difficiles et peuvent créer des lésions.
Pendant des combats, certaines prises autrefois autorisées sont maintenant bannies de ce sport. Les attaques qui commencent en dessous de la ceinture sont interdites, les clefs de bras ne sont autorisées que si l’épaule est tenue. Il y a trois arbitres et des arbitres de table. Le combat commence quand l’arbitre principal dit « adjumer », et se finit quand il dit « maté ». Il y a trois sortes de points, il y a « ippon » qui vaut 10 points et qui signe l’arrêt immédiat du combat. On peut noter un ippon uniquement lorsque la personne qui a chuté tombe sur le dos les deux épaules sur le sol. On peut aussi acquérir un ipon quand on immobilise (osae-komi) le partenaire plus de 25 secondes.
On appelle la fin de l’immobilisation « toquetta ». Puis on trouve les « waza-ari » qui rapportent 7 points, 2 waza-ari sont comme un ippon, ils signalent la fin du combat. Puis il y a le « yuko » qui correspond à 5 points non-cumulables.
On trouve aussi des pénalités comme « shido », qui est une observation, et au bout de 5 chido on a une remarque appelée « chui ». Les judokas prennent des grades tous les ans. Les couleurs de ceintures sont :
blanches pour la première année.
blanches avec 3 dans.
jaune blanche.
Jaune.
jaune avec 3 dans.
jaune orange.
orange vert.
bleue.
marron.
Noir.
Pour pouvoir passer la ceinture noire et marron, il faut passer un kata (un enchaînement de prises différentes). Les ceintures noires doivent passer 5 dans pour acquérir une nouvelle couleur. Il y a plusieurs techniques de combat qui sont avec les jambes (ashi wasa) puis avec les bras (te wasa), les hanches (koshi wasa), la technique de sacrifice en groupe (sutemi wasa), les sacrifices sur le côté (yoko sutemi wasa), la technique de déroulement (makikomi) et plein d’autres encore. « uchi-komi » désigne le travail des prises à répétition sans chuter. « Nage-komi » est la suite logique des « uchi-komi », il s’agit de la répétition des prises avec chutes. On pratique les « rendoria », en général le cours se finit sur de petits combats. Lors des compétitions officielles, les judokas sont classés par poids, qui forment des poules ou des tableaux. Il y a plusieurs catégories « Motri-judo » nées en 2010.
Éveil-Judo née en 2008-2009.
Mini-Poussins née en 2006-2007.
Poussins née en 2004-2005.
Benjamins née en 2002-2003.
Minimes née en 2000-2001.
Cadets née en 1997-1999 (il y a trois années dans la catégorie cadet).
Juniors née en 1994-1996 (il y a trois années dans la catégorie junior).
Seniors née en 1993-1977.
Vétérans née en 1976 ou avant.
Beaucoup d’autres sports ressemblent au judo, au niveau du respect et de certains modes de combat.
Il est interdit d’utiliser le judo ou du dojo sous peine d’être exclu.
Le judo nous permet de nous défouler, ça nous apprend la maîtrise de nous-même.
Au commencement du cours, les judokas font le salut, ils se placent en ligne (des moins gradés aux plus gradés) puis se mettent à genoux. Ils saluent, ce n’est pas obligatoire mais certains professeurs l’exigent. Les élèves s’inclinent généralement devant la photo du maître du judo, Jigoró Kanó.

 
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Artic Monkeys

Publié par Mme Coutance le 30 Juin 2014 dans Musique

Auteur : S. Chemana
Arctic Monkeys

Arctic Monkeys est un groupe de rock anglais. Leur ville d’origine est Sheffield, dans le Yorkshire du Sud, au Royaume-Uni.
Le groupe a été formé en 2002, il était composé à l’origine de :
→ Glyn Jones (chanteur).
→ Jamie Cook (guitare).
→ Andy Nicholson (basse).
→ Matt Helders (batterie).
Finalement, après le départ de Jones, Alex Turner prend le micro.

Étudiant tous à la Stocksbridge High School, il était plus facile de se réunir pour répéter. Helders est sans doute celui qui a connu le plus de difficultés, étant donné qu’il a appris à jouer de la batterie en total autodidacte.

Après quelques concerts donnés dans des bars et pubs de leur ville, le groupe se met à enregistrer des démos et à les graver sur CD pour les distribuer à la fin de leurs représentations. Mais le nombre de disques étant limité, les fans se sont mis à s’échanger les morceaux sur Internet ; ce procédé règle le problème des musiciens, qui ne savaient absolument pas comment s’y prendre à l’époque.

Leur premier succès, I Bet You Look Good On The Dancefloor, est classé 7e meilleure chanson britannique de tous les temps par XFM (célèbre radio anglaise) en 2010.
Leur second single, When The Sun Goes Down, connaît lui aussi le même palmarès au Royaume-Uni avec près de 40 000 exemplaires vendus.
Le premier album des Arctic Monkeys, prévu pour 2006, fut l’un des disques les plus attendus de cette année-là. Malgré les morceaux disponibles sur Internet, des milliers de pré-commandes sont demandés.

Depuis son succès toujours croissant à l’heure actuelle, le groupe se tient à l’écart de toute sorte de médiatisation. L’une de leurs devises est d’ailleurs « Don’t believe the hype », soit « Ne crois pas la publicité ». Ils ont pour habitude de refuser de jouer sur un plateau de télévision, délaissant même leur représentation aux Brit Awards 2006, car ils n’apprécient pas du tout l’exercice.artic monkeys

 
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La mode des défis

Publié par Mme Coutance le 30 Juin 2014 dans Connaissance du monde

Auteurs : C. Lorette et P. Genest
Les défis d’adolescents

Depuis un certain temps, les adolescents s’amusent à se lancer des défis, dangereux, inutiles, contre de l’argent, ou pour gagner le respect des autres.

À Aiguillon (Lot-de-Garonne), un élève de onze ans est passé par la fenêtre du 3e étage de son collège. Sa chute était de 12 mètres, heureusement, un carré d’herbe l’a réceptionné. A l’arrivée des pompiers le jeune homme pouvait bouger ses jambes et répondait aux questions qui lui étaient posées. Le lendemain, l’état du jeune garçon était stable.
L’inspection académique ignore encore pourquoi et comment cela c’est produit.

Ce comportement chez les adolescents est inadmissible. Luttons contre !!

 
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Interview d’une hongroise

Publié par Mme Coutance le 18 Juin 2014 dans Connaissance du monde

Zoé est une Hongroise de 14 ans qui grâce a sa classe a pu venir en France durant 8 jours. Elle nous raconte ses impressions, ses moments préférés, ce qu’elle aurait voulu voir ,…( L’interview a été faite en anglais car elle ne parle pas français)

-Were you worried and stressed before coming to France?

Well, I was a bit worried, I wasn’t stressed at all. I was a little bit worried that I’d come to a good family, but I am not worried anymore. I’m fine.

-What have you preferred during your stay?

Hum,I’ve preferred the programs most and being with the group,the French and the Hungarians all together.

-What have you learned?

I have learned a lot of french, even though you can’t notice but I’ve learned a lot in how to communicate in french

-Have you ever been to France before ?

No, I’ve never ever ever been to France, but I’ve always wanted to come here.

-What would you want to see?

I so want to see the Eiffel tower but we’re going tomorrow to Paris. So we will see Eiffel tower.

-What didn’t you like?

I didn’t like several of the museums but that’s only because I get bored very quickly, I don’t like museums.

-How did you talk during these eight days?

I usually talk in Hungarian with my friends but I’d tried to talk in Frenchwith the Frenchbut when it didn’t work out then I just talk in English.

-What you do think about French culture?

It’s very different from Hungary culture, It’s very very different. I can’t explain exactly , it’s nice and it’s funny but it’s different.

Angéline et Elise

 
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ROSE CARPET

Publié par Mme Coutance le 18 Juin 2014 dans TV

Auteurs : M. Peyrot et C. Rousseau
ROSE CARPET

M6 a engagé deux grandes youtubeuses pour créer un site et une chaîne composée de tutoriels coiffures, maquillages, astuces, et vlog de leurs expériences grâce à cette chaîne.

Les deux gérantes sont « EnjoyPhoenix » et « EmmyMakeUpPro », deux grandesyoutubeuses, l’une reconnue pour ses tutoriels coiffures et ses « lookbook » tandis que l’autre est reconnue pour ses maquillages fantaisistes et déjantés.

Cette chaîne est conçue pour les 15-25 ans depuis février 2014. Le concept a tellement évolué que les deux filles ont pu monter les marches de Cannes pour présenter leur projet.

Leur description à propos de leur chaîne : « Deux fois par semaine, Marie et Emmy, nos égéries girly, fashion et trendy, déroulent pour vous le “Rose Carpet”.
Au programme, beauté, mode, tests, interviews… mais aussi découvertes de lieux inédits, confession beauté de personnalités, news Fashion et make-up, révélations modes et tendances seront à l’affiche sur cette chaîne ! »

En l’espace de quatre mois, leur chaîne a déjà atteint les :
83 147 abonnés, 1 540 896 vues.

→ Pour les suivre : « http://www.rosecarpet.fr » et « Rose Carpet » sur youtube.

 
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Du livre au film

Publié par Mme Coutance le 18 Juin 2014 dans Cinéma, Livres

Auteur : Solène Chemana
Les livres qui deviennent des films
Pour ou contre ?

Depuis quelques années, les adaptations cinématographiques des succès littéraires se multiplient. Mais ce procédé est loin de faire l’unanimité.

Si les fans disent « oui » aux films Twilight et Hunger Games, ce n’est en revanche pas le cas de l’adaptation cinématographique de The Mortal Instruments et Vampire Academy qui ont fait un bide total sur grand écran.

Les adaptations cinématographiques sont souvent des coups de pub destinés à rapporter de l’argent. Sous prétexte qu’un film n’attire pas beaucoup de spectateurs, les producteurs décident d’annuler les suites qui peuvent être prévues. Ce fut le cas avec l’adaptation du best-seller 16 Lunes, qui a donné Sublimes Créatures à l’écran. La série de quatre livres devait avoir autant de films que de tomes, mais face au peu de recettes qu’a rapporté le premier volet cinématographique, toute la suite a été annulée.

La question reste posée avec les sorties de franchises comme Divergente ou The Maze Runner, bientôt sur grand écran.

Alors, pour ou contre ?

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