[Hullu], Cie Blick Théâtre

[Hullu], compagnie Blick Théâtre. Photographie Arthur Bramao.

Constance

[Hullu], compagnie Blick Théâtre. Photographie Arthur Bramao.

Nous sommes allés voir [Hullu] à La Coursive. J’ai bien aimé ce spectacle mais je n’ai pas tout compris. Au début quand ils sont tous les trois alignés, je ne comprenais pas pourquoi la jeune fille faisait des gestes étranges. Car je n’avais pas compris que la jeune fille était autiste. Quand les marionnettes sont apparues, je pensais que la jeune fille vivait l’histoire en vrai. Alors que  c’était des personnages issus de son imagination. Je me suis demandé comment l’assiette volait et avançait sur la scène et comment les marionnettes portaient les cartons. Je n’ai pas aimé quand il y a eu les différentes scènes où l’on passait du silence à des bruits très forts. C’est la première fois que j’assiste à un spectacle muet. Cela m’a fait bizarre de voir un spectacle avec très peu de mimes et sans paroles. Tout au long du spectacle, l ‘autiste est dans deux mondes : celui du rêve et celui de la réalité. Des fois, la jeune fille est dans le monde de la réalité et parfois elle bascule dans son monde. C’est-à-dire avec des personnages imaginaires et puis il y a ce mur en carton pour simple décor qui délimite les deux mondes. Mon avis sur ce spectacle est qu’il est étrange.

Lutinbécile

[Hullu] est une pièce de théâtre muette. Elle parle de différences entre les gens, en particulier de l’autisme.

La scène est presque vide. Sur le fond du plateau se trouve un mur en boite de carton. Le mur forme un gros bloc rectangulaire et compact. Il n’y a pas un trou.

Des marionnettes ressemblant à de petits bonshommes blancs construisent un mur de carton. Au bout d’un moment, quand elles ont fini, la scène s’assombrit jusqu’à devenir complètement noire. Lorsque la lumière réapparaît, deux des trois acteurs se trouvent sur le plateau. Tous deux tentent de franchir le mur. Pendant leurs efforts, un comédien avance pour chercher une prise mais un carton se recule et, entrainé par son mouvement, le grimpeur le reçoit en pleine figure. Un rire général saisit alors les spectateurs. Après toutes ces péripéties, les comédiens finissent enfin par franchir le mur.

J’ai retenu ce passage car j’ai trouvé qu’il était plus intéressant que les autres. Pour moi les acteurs y sont très convaincants dans leur façon de rater certaines tentatives. Ce mur, c’est un peu comme la vie : il faut se donner du mal, se faire mal, souffrir,  rire et réessayer sans cesse pour franchir les obstacles.

Jade

[Hullu], compagnie Blick Théâtre. Photographie Arthur Bramao.

Je me souviens que je suis allée à La Coursive pour voir un théâtre. Le titre de ce théâtre est  [HULLU]. Hullu, veut dire fou. C’est l’histoire d’une autiste, qui était très souvent dans sa bulle. Dans sa tête, il y avait de sortes de petites créatures bizarres. Ces créatures me faisaient beaucoup penser à plusieurs émotions la joie, la tristesse… Leurs talents étaient de construire un très grand mur de cartons pour séparer le rêve de la réalité dans la tête de la femme autiste.

Les cartons faisaient des illusions d’optiques. La femme tirait sur une très étrange corde qui tombe du ciel, pour revenir à la réalité ou  pour rentrer dans ses rêves. A la fin du théâtre, la femme n’arrive pas à tirer sur la corde.

Mais tout le long de la pièce de théâtre, il y avait deux hommes, qui pour moi sont comme la femme c’est-à-dire des autistes. Mais tout le long de la pièce de théâtre, il y avait zéro parole. Il y avait beaucoup de jeux de bruitages. Et pas très souvent des petits jeux de lumières. J’ai trouvé cette pièce de théâtre très originale par rapport aux précédentes pièces de théâtre .

Victor

Mon avis sur le spectacle : il était muet et il y avait de la musique.  Il y avait beaucoup de sensations de passage bien. Il était bien mais il n’y avait pas souvent de lumière. Il y avait des pantins qui étaient dans la tête  de l’autiste. Ces pantins se faisaient contrôler par les acteurs. Ils empêchaient l’autiste de retourner dans le monde réel pour qu’elle reste avec eux dans sa tête. Il y avait une corde pour basculer du monde réel vers sa tête. Les marionnettes avaient fait un mur pour empêcher ses frères de venir chercher  l’autiste. Les pantins avaient attrapé ses frères pour pas qu’ils viennent la chercher,  pour pas que les pantins restent tout seuls. Au milieu de la pièce, ses frères ont essayé de la trouver derrière ce mur en carton,  mais ils se sont fait  kidnapper pas les pantins. Ils se sont fait emprisonner à la fin et ils se retrouvent tous comme le début mais l’autiste se fait prendre par un pantin. Il veut qu’elle reste avec lui, il l’empêche d’attraper la corde à chaque fois qu’elle tombe. L’autiste lui fait un gros câlin, ce qui lui permet de repartir dans le monde réel.

Louna

[Hullu], compagnie Blick Théâtre. Photographie Arthur Bramao.

Dans cette pièce de théatre, il y avait plusieurs scènes rigolotes mais le moment du spectacle que j’ai préféré est quand il y avait le mur de cartons. J’ai bien aimé ce moment car ce qui était drôle dans cette scène, c’est quand les deux  hommes, le premier plus  jeune et le deuxième qui était plus âgé, essayaient de monter pour passer de l’autre côté, mais ils avaient beaucoup de difficultés car se cachaient derrière des petits monstres qui les en empêchaient. Dès qu’ils poussaient un carton, les petits monstres remettaient  les cartons à leurs places et il y avait des cartons où on aurait dit des fenêtres car il y avait des rectangles et des carrés.

Dans cette pièce de théâtre, il y avait plusieurs  scènes que j’ai bien aimé car elles étaient rigolotes, mais le second moment  du spectacle que j’ai préféré est celui quand on découvre  le mur de cartons où l’on semblait apercevoir des fenêtres de différentes formes : des rectangles et des carrés, un mur très haut qui semble insurmontable. J’ai bien aimé ce moment car ce qui était drôle dans cette scène, c’est quand les deux  hommes sont apparus, un premier plus  jeune et un deuxième qui était plus âgé. Ils étaient bien décidés à grimper pour passer de l’autre côté du mur, mais ils ne s’attendaient pas à ce qu’ils allaient trouver, car derrière se cachaient des sortes  de petits monstres sortant de nulle part et qui eux, n’étaient pas du tout décidé à les laisser passer et qui allaient les en empêcher par tous les moyens. Dès qu’ils poussaient un carton les petits monstres le remettaient aussitôt à sa place, si les deux hommes tentaient d’enlever un carton, les petits monstres en replaçaient un tout de suite. Parfois le plus jeune des deux hommes voulait poser son pied sur un carton mais les petits monstres espiègles retiraient celui pour le faire tomber. Mais finalement, à force de persévérer, ils ont réussi à passer de l’autre côté.

Maël

J’ai été impressionné comment ils ont fait pour faire voler l’assiette et aussi comment ils ont fait pour faire bouger les marionnettes. Le moment où ça m’a fait rire, c’est quand le monsieur est monté sur la grande barrière de cartons qu’ils ont fabriquée au fur et à mesure de la pièce. Le monsieur est monté et il s’est pris un carton dans la tête. Il y avait pleins de petites marionnettes blanches et sans cheveux qui construisaient la grande barrière de cartons . Le deuxième passage qui m’a impressionné c’est qu’ ils n’étaient que trois personnes pour avoir réussi à faire bouger toutes ces petites marionnettes blanches et sans cheveux. Je me demande comment ils ont fait pour faire bouger toutes ces petites marionnettes blanches surtout celle qui portait des cartons. Le seul moment que j’ai pas du tout aimé de la pièce entière, c’est quand les deux monsieurs n’arrêtaient pas de remettre la fille en place quand elle bougeait. Ce qui était marrant, c’est qu’au début du spectacle, je croyais que c’était un film quand les innombrables petites marionnettes blanches construisent la grande barrière de cartons. Mais non, c’était pas un film. C’est juste qu’ils avaient mis un rideau tout fin devant.

Chacha

La scène que j’ai préférée enfin les scènes que j’ai préférées sont : la première est quand les deux garçons jonglent avec l’assiette pour que la fille arrête de gratter l’assiette. J’ai bien aimé car on ne sait pas comment il arrive à ne pas faire tomber l’assiette qui est lancée entre les jambes, en l’air et au dessus de la femme. J’ai aussi aimé le moment car le plus jeune des deux garçons pense être dans la rue et évite les véhicules en faisant des acrobaties et un peu de danse. J’ai trouvé ça très joli. Sinon, j’ai bien aimé le spectacle même si des fois c’était un peu ennuyant comme au début quand les deux garçons corrigent la position de la fille pendant je pense que dix minutes mais là, on aurait dit beaucoup plus. Et j’ai aussi beaucoup était impressionnée par les marionnettes qui étaient très mystérieuses car on ne savait pas comment ils les faisaient vivre. Je pense que les lumières et les sons avaient un rôle important dans le spectacle car sans ça les artistes n’auraient pas pu faire tous les effets spéciaux pour passer de la vraie vie à dans la tête des personnages.

Emma

[Hullu], compagnie Blick Théâtre. Photographie Arthur Bramao.

La partie du spectacle que j’ai retenue, c’est quand la fille tire sur une corde et il y a des marionnettes qui viennent vers elle puis elle retire la corde et elle est avec les deux hommes. J’ ai aussi retenu quand elle pose l’assiette par terre, elle gratte trois fois dedans puis elle la pousse. Après elle fait trois pas, elle se baisse, elle gratte trois fois et elle la pousse. Et elle recommence.
Le moment que j’ai préféré c’est quand les marionnettes construisent le mur. Cela a dû être difficile de conduire les marionnettes et de les fabriquer. Parfois les marionnettes ont des vraies mains ou des vrais pieds et parfois des faux .
Dès que l’assiette vole, les artistes nous ont dit après le spectacle que c’est du jonglage qu’ils ont travaillé ou qu’il y a quelques petits trucages. Moi, je cherchais la ficelle mais je n’en trouvais pas donc au bout d’un moment, j’ai arrêté de chercher.
Je me rappelle quand les deux hommes étaient devant le mur en carton et il y a eu un éclair ; ça m’a surprise et j’ai sursauté . En définitive, j’ai bien aimé le spectacle avec ces marionnettes qui semblaient vivantes.

 

 

Raphaël

Je retiens que Hullu veut dire fou. C’était bien même si c’était muet. Cela parlait de l’autisme. J’ai bien aimé comment la fille changeait de monde, entre son imagination et le monde réel avec une corde.
Au début, la fille et les deux hommes étaient assis sur un banc et quand la fille mettait la tête sur le côté ou se grattait, les hommes la remettaient droite comme eux. Ils voulaient qu’elle soit comme eux.
Les petites marionnettes de son imagination étaient bien faites. Au début, elles m’ont fait un peu peur. Mais je ne comprends pas comment les deux hommes peuvent voir les marionnettes alors que c’est dans l’imagination de la fille à la fin.
Les acteurs ont bien joué et les figures étaient bien faites. Par exemple, quand un des deux hommes évite les voitures sur la route dans le monde réel, on aurait dit que c’était vrai avec la lumière qui faisait les phares des voitures. Les jeux de lumière étaient beaux. Par contre, je trouve qu’il y avait beaucoup de bruit à un moment avec la musique qui était forte.
J’ai bien aimé quand il y avait le mur de carton et que les deux hommes essayaient de passer. Aussi j’ai bien aimé quand les petites marionnettes construisaient le mur de carton. Et puis quand l’homme évitait les voitures, j’ai trouvé que c’était bien fait. Quand ils se passaient l’assiette, les hommes étaient habiles. J’ai trouvé ces scènes marrantes.

Clara

[Hullu], compagnie Blick Théâtre. Photographie Arthur Bramao.

Je retiens que le spectacle parle de l’autisme et que Hullu veut dire fou. Au début, je n’avais pas compris que c’était l’imagination de la fille donc je croyais que c’était dans sa vie.
J’ai bien aimé quand les hommes escaladaient le mur de cartons et que les petites marionnettes poussaient les cartons sur les hommes.
Je n’ai pas trop aimé quand la marionnette enlevait sa tête et qu’il y avait une tête plus petite en dessous. Dès que la fille tirait sur la corde, la lumière s’éteignait, c’était bien fait. Dès qu’il y a eu l’éclair, ça m’a fait peur et du coup ça m’a marquée.
L’assiette qui volait et qui suivait la fille, je n’ai pas compris comment ils la faisaient voler. Je cherchais les fils mais je ne les trouvais pas, c’est bizarre. Après le spectacle, les artistes ont dit que c’était une assiette magique mais je ne crois pas vraiment ce qu’ils disaient.
Je ne sais pas si les trois personnages sont autistes mais je crois que ce n’est que la fille. Les marionnettes veulent garder la fille dans son imagination mais elle, elle veut en sortir. Cela veut dire qu’il faut sortir les autistes de leur bulle. C’est ce que je pense.

Enzo

Voila ce que je retiens du spectacle que nous avons vu vendredi 16 avril :

C’est une histoire très intéressante qui nous a expliqué ce qu’est la maladie de l’autisme, à travers un monde imaginaire, incroyable. La partie du spectacle que j’ai préférée, c’est quand la femme autiste est retenue prisonnière du monde imaginaire par des créatures qui l’empêchent d’entrer dans le monde réel. Notamment quand les amis de la femme essayent de grimper un mur de carton pour s’en sortir mais que les créatures attaquent ses amis à coup de cartons. Cela embête les créatures bizarres, car ils veulent la garder pour eux, car celles-ci n’ont pas d’ami parce que ces créatures sont fausses et font partie de l’imagination de la jeune femme.

Pour ce qui est du spectacle en général, j’ai vraiment trouvé ça moyennement bien car ils n’y avait pas de parole, et je ne suis pas friand des spectacles muets. En revanche, ce spectacle muet était très bien animé, la musique très forte, les éclairages étaient magnifiques, ils créaient même par moment quelques illusions d’optique.

Je me suis surtout demandé combien de temps les deux acteurs s’étaient entraînés pour savoir jongler avec des assiettes aussi facilement et comment ils ont fait pour diriger les marionnettes aussi bien que cela ! Cela m’a vraiment bluffé. Je suis resté muet, bouche bée à ces moments là.

Lucie

Vendredi 14 avril, nous sommes allés voir [Hullu] . C’est un spectacle qui est muet, donc nous n’entendions aucun bruit des comédiens.

Le moment qui m’a le plus plu, c’est quand l’un des comédiens a fait des cascades par dessus des voitures imaginaires. J’ai également bien aimé quand la comédienne essayaient d’attraper l’assiette mais que celle-ci partait à l’opposé .

Quand le comédien a fait des cascades, il pensait s’être perdu sur une route avec beaucoup de circulation. Il a dû s’être beaucoup entraîné à faire ça. Au début je n’avais pas compris que tout ce qui était sur scène se passait dans la tête de la fille autiste .

Sur la scène, il y avait un mur de carton qui séparait la vie réelle et la vie imaginaire. Dans la tête de la jeune fille, il y avait plein de marionnettes blanches. C’était très bizarre. À la fin de la scène, toutes  les petites marionnettes viennent enlever les comédiens. Mais cela se passe toujours dans la tête de la fille autiste. Je n sais pas si les deux autres comédiens sont eux aussi autistes .

Ce spectacle ne montre pas très bien l’autisme . Hullu veut dire fou en finnois. être autiste ne veut pas dire fou.

Malgré ça j’ai bien aimé le spectacle. À voir.

Gabriel

[Hullu], compagnie Blick Théâtre. Photographie Arthur Bramao.

Ce que j’ ai bien aimé dans le spectacle [hullu], c’était quand il  y avait de l’action : illusion d’optique , jeu de lumière et la cabane où on avait l’impression qu’elle montait et puis qu’elle descendait. Mais en revanche, ce que j’ai le moins aimé c’est qu’il n’y avait pas de parole, parfois on s’ennuyait.

L’histoire parlait de deux garçons et une jeune fille. La jeune fille était autiste, elle vivait dans le monde des humains mais dès fois, elle était dans un autre monde avec des toutes petites marionnettes blanches  qui étaient dans sa tête. On pouvait dire que c’était son personnage favori et elle était exactement pareille que ces créatures. Mais par contre, on ne savait pas si les deux autres personnages étaient autistes, mais dans la classe on pensait qu’ils étaient autistes car dans le spectacle ils se comportaient bizarrement. Ils faisaient des gestes bizarres.

Certes, il n’y avait pas de paroles mais souvent dans le spectacle, on entendait des sons extrêmement forts. Et la fille  se bouchait les oreilles car les autistes n’aiment pas les bruits très forts sinon ils s’énervent .

La scène que j’ai préférée, c’est quand la grosse cabane me faisait des illusions d’optique.

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