Il s’entraîne le mercredi de 17h30 à 19 h et le vendredi de 19 h à 20h30. Il y a des catégories différentes : selon les âges et les poids lui est en minimes 2 – de 50 kg. Le but dans le judo est de faire tomber l’adversaire avec plusieurs techniques comme le wazari (quand une personne tombe mais pas sur le dos), il y a aussi une technique qui consiste à faire tomber l’adversaire sur le dos et à l’immobiliser pendant 10 secondes etc …
Il a commencé à 5 ans et demi à Villiers en plaine. Il a toujours eu le même entraîneur car il fait La Crèche, Villiers en Plaine et Niort. Il pratique ce sport, car il avait des problèmes et ça lui faisait du bien, ça lui permettait de se défouler, de se canaliser. Il aime les spots de combat, de corps à corps avec l’adversaire, il faut donc bien le connaître. Il ne faut pas avoir peur de chuter car sinon on apprend mal et le partenaire non plus de toute façon il y a des tapis, certes, certains tapis sont durs mais il ne faut surtout pas avoir peur.
Le judo est un sport individuel, ce n’est pas un sport collectif.
Charlie JUIN a fait les championnats départementaux.
Archives mensuelles : janvier 2024
Les tournois de foot au collège
Nathan organise des tournois de foot pour que les élèves aient une activité physique entre 13h et 14h. Et ça marche plutôt bien !
Il y a des équipes pour tous les niveaux.
19 équipes participent au tournoi : 10 équipes de 6e/5e et 9 équipes de 4e/3e.
Pour l’instant, les équipes qui ont le plus de points sont :
- En 6e/5e : la Belgique et l’Angleterre (2e poule le Pays de Galles)
- En 4e/3e : les Pays-Bas
On est déjà à la 2e saison de football, nous espérons tous en voir une troisième !
Portrait de Mme Bernard
Nous sommes allées interviewer Mme Bernard pour en savoir plus sur elle et son métier de principale de collège.
Pourquoi avoir choisi ce métier ?
J’ai choisi ce métier car j’avais fait le tour de mon métier d’enseignante et j’avais envie de faire autre chose. J’ai donc passé le concours pour devenir cheffe d’établissement car pour moi ça avais du sens de pouvoir participer à un pilotage d’établissement et de mettre des choses en place.
Quel métier faisiez-vous avant ?
Pour passer le concours de chef d’établissement, il faut avoir de l’expérience dans l’éducation nationale. J’étais enseignante dans un IUT (Institut Universitaire de Technologie), où j’avais des charges administratives assez importantes déjà. J’avais donc l’habitude de la gestion des ressources humaines, du matériel et des finances. C’est donc naturellement que je me suis tournée vers ce métier.
Est-ce que cela a toujours été votre rêve de devenir principale ?
Non, cela n’a pas toujours été mon rêve, c’était plutôt un cheminement. Quand j’avais votre age, je voulais devenir une grande reporter. J’avais envie de voyages et de découverte mais j’ai toujours aimé ce qui était de transmettre à des jeunes, c’est pour moi ce qu’il y a de plus beau.
Dans quel établissement étiez-vous avant d’arriver ici, à la Crèche ?
C’est ma première année à La Crèche. Avant j’étais dans un établissement très éloigné, à 21 heures d’avion et avec 12 heures de décalage horaire. Je travaillais dans un collège en Polynésie française sur une petite île nommée Raiatéa, à moins d’une heure d’avion de Tahiti. C’était un établissement en pleine campagne et sur une île, donc un milieu très différent d’ici.
Pourquoi êtres-vous revenue ici ?
Nous, les chefs, nous sommes obligés de muter, de changer d’établissement. Après 4 ans là-bas, je suis donc revenue.
Quelles sont les tâches à accomplir dans votre métier ?
C’est très varié : gérer les personnels, les finances (en lien avec l’adjoint et la gestionnaire) et l’établissement (les emplois du temps, les classes, etc). C’est vraiment très divers. En fin d’année, nous refaisons les classes avec les enseignants, nous devons constituer les équipes pédagogiques, les projets. On dit qu’on a plusieurs tiroirs ouverts à la fois.
Ce que je préfère dans mon métier, c’est cette diversité et cette possibilité de se mettre au service de la réussite des élèves, on est là pour vous, pour vous apporter le meilleur environnement possible pour être bien en mesure d’apprendre.
Ce que j’aime le moins, c’est que ça prend beaucoup de temps, je pense sans arrêt à mon travail qui est très chronophage. Il y a aussi beaucoup de responsabilités, c’est parfois lourd à porter.
J’aime ce métier parce qu’il a du sens pour moi.
L’UNSS au collège
Nous avons interrogé Mme Buard, enseignante d’éducation physique et sportive au collège Jean Vilar, sur le fonctionnement de l’UNSS.
L’Union Nationale du Sport Scolaire a été créée par un ancien ministre de l’Éducation nationale, Jean Zay, et d’un secrétaire d’État au sport, Léo Lagrange, pour développer le sport scolaire.
L’UNSS propose beaucoup de sports collectifs : handball, volleyball, football, foot en salle, rugby et des activités de raquette : tennis de table , badminton. Il y a également de la course d’orientation, des mini-raids. C’est pluridisciplinaire.
Les séances ont lieu le vendredi entre 13h et 14h avec M. Moreau en gymnastique et les mercredis après-midi de 13 h à 15 h pour les entraînements et jusqu’à 17 ou 18 h quand il y a des compétitions.
132 élèves sont inscrits à Jean Vilar. Soixante à soixante-dix élèves viennent les mercredis, ce ne sont pas forcement les mêmes.
Les élèves inscrits viennent pour différentes raisons :
- la compétition, comme dans les fédérations
- l’animation : découvrir des activité sportives
- pour s’entretenir
- pour l’arbitrage