Critique de Bawara: SANS TOIT NI LOI

Réalisé par Agnès Varda en 1985, récompensé, basé sur de faits réslistes et construit  et de faux témoignages, le film Sans toit ni loi retrace les derniers instants de la vie d’une jeune femme errante nommée Mona (jouée par Sandrine Bonnaire) avant d’être  retrouvée morte dans un fossé.
Les premières images du film sont aussi celles de fin (c’est un flashback).

On a d’abord un plan sur le paysage avec un zoom corps de Mona avec un plan fixe sur cette “horreur”.Tout au long du film et des 12 travellings précédant la mort de Mona, nous suivons ce personnage et l’évolution de cette jeune femme qui se fragilise tout comme le montrent les cadrages sur ses bottes de plus en plus usées.
Ce film traite un sujet sensible mais encore d’actualité aujourd’hui, le sujet de l’errance qui est dans certains cas un choix (comme pour Mona).
Je ne serai pas allé voir ce genre de film mais j’ai quand même apprécié l’histoire. J’ai aussi apprécié Mona, cette jeune femme qui  malgré les gens négatifs et horribles qu’elle rencontre n’abandonne pas ce qu’elle veut, la liberté, jusqu’au moment de sa mort.

En revanche, je n’ai pas trop aimé le film, certes l’histoire et le personnage principal est bien mais l’histoire est longue puis plusieurs parties du film sont très lentes.
Je déconseille ce film avant la 3eme, car certaines références ou moment du film risqueraient d’être mal interprétées.

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