Jan 08

César doit mourir (critique du film)

César doit mourir est un film produit par les frères Taviani.

Les réalisateurs du film ont mis en scène les répétitions d’une adaptation de la pièce de Shakespeare, Jules César. Les comédiens jouant dans cette pièce sont des prisonniers d’une prison de haute sécurité italienne. Une grande partie du film est visionnée en noir et blanc pour montrer que les scènes diffusés se déroulent dans le passé.

Vers le début du film, les frères Taviani auditionnent les prisonniers pour distribuer les rôles. Pour ce faire, ils demandent à ces derniers de dévoiler leurs informations personnelles en exprimant deux émotions opposés. Dans cette séquence, on découvre les personnalités parfois inattendues des anciens criminels, qui n’hésitent pas à exagérer leurs traits de caractère.

Les réalisateurs du film ont dévoilé les répétitions de la pièce de Shakespeare pour donner l’impression au spectateur de le vivre en même temps que les comédiens.

Concernant le plan cinématographique, les plans de caméra sont variés. Cela permet par exemple dans la scène du meurtre de César de lire les expressions de Brutus et César (gros plan sur le visage) ou de représenter les personnages dans la globalité lors de l’affrontement entre l’armée de Brutus et celle D’Octave (plan d’ensemble).

Vers la fin du film, l’acteur jouant Cassius dans sa cellule exprime son point de vue, qui est également celui divulgué par les réalisateurs, sur sa condition lors de la préparation de la pièce.

Il devient le porte-parole des réalisateurs en affirmant qu’il considère son manque de liberté dans sa cellule.

Ce film est convenable dans l’ensemble et peut faire réfléchir le téléspectateur sur certains points délicats à traiter comme l’importance de l’art. A regarder sans modération

Jan 08

“César doit mourir “, des frères Taviani

L’histoire se passe dans une prison de haute sécurité de Rebibbia, à Rome. Des détenus passent une audition afin d’intégrer une troupe de théâtre qui jouera la célèbre pièce ” Jules César “, de William Shakespeare. La plus part sont condamnés à perpétuité, ou à de longues peines, ils n’ont donc rien à perdre, et surtout pas de leurs temps. Le casting est la première occasion de découvrir le visage des prisonniers jouant dans la pièce, où ils doivent se présenter de deux manières différentes. Les frères Taviani ont choisi de filmer les répétitions, la vie de prisonnier des détenus en noir et blanc, afin de les différencier avec les scènes de la pièce, qui sont filmées en couleur. Car, les acteurs sont de vrais prisonniers, ce sont leurs vrais condamnations, leurs passés, aussi lourds puissent-ils être …         Dans l’incarnation de leurs personnages, il y a quelque part un peu de vérité. Par exemple, le rôle du musicien est attribué à un détenu sachant jouer de l’harmonica.                                                              Il y avait, à certains moments, des tensions voir des règlements de compte entre les prisonniers, mais généralement, les détenus s’entendaient bien. Ils le devaient, car, en prison leur vie n’es pas très mouvementée, donc on peut dire que la pièce est une événement majeur pour eux. Les prisonniers ont touché, découvert l’art. Et maintenant que la pièce est finie, leurs yeux se sont ouverts, ils ne définissent plus comme des “scruteurs de plafond “, leur vie parait plus plate, sans l’excitation de monter une pièce de théâtre, qui leur donnait un but, et surtout leur permettait de s’évader de la dure réalité. ” Depuis que j’ai connu l’art, cette cellule est devenue une prison”. Car pour un prisonnier, l’art est la seule forme de liberté.                                                                                                                     J’ai bien aimé ce film, car il n’y en a pas beaucoup qui prennent des prisonniers comme acteurs. Comme le film était en version originale, entendu l’italien était plutôt agréable et le fait que le film ne porte pas que sur la pièce de Shakespeare a permis d’alléger ( tout est relatif, les acteurs sont en prison ) un peu le contenu.

 

 

Jan 08

César doit mourir

César doit mourir est un film réalisé par Paolo Taviani et Vittorio Taviani, deux frères cinéastes. Le film est sorti en 2012 et a récolté depuis, plusieurs prix prestigieux.

Le film se déroule dans une prison de haute sécurité, avec des acteurs peu communs qui ne cessent de surprendre dans le film. On assiste alors à la fin de la pièce de “Jules César” de Shakespeare, les lumières s’éteignent, les couleurs disparaissent pour laisser place au noir et blanc exprimant le passé.

Que vont finalement devenir ces acteurs hors du commun?

Un film qui m’a plu et qui plaira à beaucoup d’autres pour sa simplicité d’exécution tout en restant peu ordinaire. Néanmoins le seul reproche que je pourrais faire, est que le film est tout simplement un peu trop court à mon goût et qu’on aimerait en voir davantage. Cela reste un très bon film. Je le conseille donc à toutes les personnes qui aiment le cinéma qui change et qui ne ressemble à aucun autre.

Jan 08

La prison, l’art et César

Durant 6 mois , des prisonniers de Rebibbia vont passer un casting puis jouer une pièce de Shakespeare, Jules César. On voit leur répétitions afin de jouer la pièce ce qui créé des tensions et ne facilite pas tout…

J’ai bien aimé ce film car je le trouve touchant malgré des acteurs qui ont commis de graves délits. Cela nous montre l’univers difficile des prisons et parfois nous ne savons pas si les acteurs répètent la scène ou sont dans la vrai vie ce qui rend le film touchant et mystérieux. J’ai aussi bien aimé la jeu du noir au blanc durant la vie normale et la couleur lorsqu’ils sont en train de jouer, lorsqu’ils sont “libres”. Je trouve que la morale donnée par  l’histoire est juste et dit que l’art est une forme de liberté et fait parfois changer.

Je conseille ce film à tout le monde car il est très instructif pour les jeunes comme pour les personnes âgées.

Jan 08

Critique César doit mourir

César doit mourir est un film des frères Taviani réalisé en 2012, dans la prison de haute sécurité à Rebbebia, à Rome. Ils mettent en scène au sein de cette prison, un grand classique de tragédie de Shakespeare “Jules César”. Tous les acteurs sont des détenus, condamnés à de longues peines, qui découvrent comment l’art peut être un échappatoire. Ce film est une grande leçon de vie, voir ces détenus jouer cette pièce et ensuite retourner dans leur cellule, comme si tout ceci n’avait été qu’un rêve. Ce film est audacieux, la caméra glisse d’une cellule à l’autre et d’un personnage à l’autre, le récit confondant comédiens et personnages, propose
le spectacle d’une humanité en quête de liberté. Au delà du récit d’une expérience hors normes vécue dans un étrange décor brut de béton et de métal, les frères cinéastes parviennent à révéler la puissance émancipatrice de l’art sans pour autant céder à un optimisme.

J’ai été particulièrement fasciné par la qualité de jouer de ces détenus, c’est pour la plupart la première fois qu’ils jouent. Mais ils dégagent énormément d’émotions, et prennent leur rôle très au sérieux.

J’ai été troublé par car parfois je n’arrivais pas a discerner leurs récits et leurs véritables réactions.

Je conseille ce film à tout les amateurs de tragédie qui veulent également en apprendre plus sur la vie en prison, et à tout public à partir de 10 ans.

Jade

Jan 08

Critique du film : César doit mourir.

César doit mourir  est l’adaptation sous forme de film du célèbre complot de la mort de César, par les sénateurs de César, filmé par les frères Taviani. Ils mettent en scènes des prisonniers dans une prison sous haute sécurité à Rebibbia en Italie. Comme il est dit dans la bande-annonce du film : “L’art est parfois la seule forme de liberté.”. Durant tout le film, ils montrent les répétitions des détenus, qui sont filmées en noirs et blanc ainsi que quelques extraits de la pièce de William Shakespeare jouée sur scène cette fois filmés en couleurs.

Ce que je n’ai pas aimé est lorsqu’en pleine répétition, les prisonniers, mélangent paroles réels et textes car on ne sait pas si il s’agit de leurs rôles qu’ils jouent ou pas.

Ce que j’ai aimé par contre est l’idée d’avoir fait joué à des prisonniers car sa nous permet de voir la vie en quelque sortes d’un prisonnier en prison.

Je conseille ce film aux personnes qui aimes bien les adaptations de tragédies qu’il soit sur scène ou au cinéma et aussi à ceux qui aiment les pièces de Shakespeare.

Jan 08

Critique du film ‘César doit mourir”

“César doit mourir” est un film des frères Taviani ,qui est réalisé dans une prison de haute sécurité a Rome qui se nomme Rebbebia.Le but étant de rassembler un maximum de détenus emprisonné a perpétuités pour des délits plus ou moins graves.Dans le film les détenus font faire une pièce de théâtre reproduisant la mort de Jules César et la révolte qui suit.Le film est en partis filmé en noir et blanc pour donner l’effet de l’ancien.On peut retenir a travers ce film, que c’est une grande leçon de morale,de vie.

J’ai aimé dans ce film,la réaction des détenus,leur patience et leur sérieux dans cette expérience,le fait de de découvrir l’art,et de le l’interpréter d’une autre manière.

J’ai moins aimé la durée du film,qui expose le manque de moyen, et de temps pour réalisé le film.

Je conseille ce film a tout le public,a au lycéens comme au collégiens,et a ceux qui aiment les pièces de théâtre.

ANISSA

Jan 08

Critique de César doit mourir

J’ai beaucoup aimé ce film des frères Taviani car tout d’abord j’ai trouvé cela bien de prendre des prisonniers comme acteurs. Cela nous montre que les personnes qui pourrait être les plus dangereuses peuvent trouver une activité qui leur plaisent et qu’au fond elles ne sont pas si menaçantes qu’on peut le croire. J’ai aussi bien aimé la manière dont le film a été tourné car en réalité on voit toute la pièce, certaines scènes sont celles jouées devant les familles des prisonniers, en couleurs, et d’autres sont des répétitions jouées dans la prison, tournées en noir et blanc. Ce que j’ai le moins aimé c’est que lors des répétions parfois, un prisonnier coupait la scène pour parler des ses sentiments et ensuite reprenait la scène là où il s’était arrêté et donc on ne se souvenait plus de ce qu’il avait dit avant qu’il coupe la scène.           On peut voir qu’avant que les prisonniers ne commencent à apprendre la scène ils n’en avaient à faire d’être en prison et qu’après la fin de la scène ils se rendaient vraiment compte qu’ils étaient en prison, que “l’art était parfois la seule forme de liberté” et qu’ils étaient tout seul.