Fév
29
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 29-02-2012

 

 

 

Deux époques, l’Antiquité et le Moyen-Age, deux femmes : qui a inventé le pantalon et la coupe de cheveux à la garçonne  et anéanti l’élégance féminine ?  Comme il aurait été plaisant de vivre en robe longue au drapé majestueux…

Encore une fois, un grand merci aux zélèves ainsi qu’à Mme Goncalvès, notre Delphine, qui suscite l’admiration des zélèves : spécialiste ès  “bricolage, jardinage, cuisinage, dessinage,  peinturage” et, accessoirement, professeur d’Anglais capable d’animer un jeu du Béret dans la langue de Shakespeare !

Fév
29
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 29-02-2012

Dernière journée de peinture au troisième étage : on s’attaque au Moyen-Age, et on apporte une touche de littérature avec Tristan et Yseult-la-Blonde ! (un magnifique roman d’amour à découvrir au CDI ou dans le programme de français de 5ème !)

Fév
28
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 28-02-2012

Journée consacrée à l’Antiquité : l’Egypte, la Grèce, Rome.

Fév
27
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 27-02-2012

Chers zélèves,

A votre retour de vacances, vous ne reconnaîtrez plus le troisième étage, le plus noble (le plus élevé du bâtiment, comme le plus élevé intellectuellement ! celui des Lettres et de l’Histoire-Géographie : les sciences humaines, en somme)  : des zélèves de cm2 et de 6ème s’attachent depuis ce matin à le décorer ! Une frise chronologique ornera, à votre retour, les murs de l’étage.

On débat demain, en conférence de chantier, pour déterminer les sujets que l’on peindra pour évoquer les périodes historiques et littéraires.

Pour ce jour d’inauguration, notre équipe zélée a peint une carte de la France et de ses régions, dans la cage d’escaliers, ainsi qu’une frise. Il reste donc à dessiner nos grands hommes (et nos grandes femmes : George Sand trouvera sa place sur ce mur !)

Fév
27
Classé dans (Musique) par LaTitePoète' le 27-02-2012

Laura, en réponse à ta musique :

 

Fév
27
Classé dans (Littérature) par olegrand le 27-02-2012

Premièrement, ont se sent vraiment concernée, puisque le personnage principal (Emma) a 15 ans (comme nous!). Le roman parle de deux sujets forts : l’anorexie et la Seconde Guerre Mondiale. On ressent vraiment son sentiment de bouleversement quand elle découvre le secret de ses grands parents pendant la guerre, puisqu’en histoire nous étudions cette période sombre ce qui nous plonge mieu dans le contexte. Elle est également atteinte d’anorexie, une maladie où l’on a un dégoût pour la nourriture, et donc on se force à vomir. Elle a plusieurs raisons de l’être :

-Plaire a son petit ami

-attirer l’attention de ses parents

-le lourd secret que cachent ses grands parents

En résumé, c’est un livre poignant et très bien écrit.

Fév
26
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par la Vieille Garde le 26-02-2012

Depuis qu’un de mes anciens élèves de terminale littéraire me fit découvrir le monde merveilleux de Miyazaki, c’est toujours avec beaucoup d’émotion que je me rends aux projections des nouvelles productions. Emotion protéiforme, celle de se souvenir d’une personne qu’on apprécie, celle de se souvenir d’une époque où l’on était bien  plus jeune, celle de se souvenir des autres dessins-animés vus auparavant, celle de se laisser bercer par les images et par la musique. Si en plus cela se produit au début des vacances, temps propice au développement de la nostalgie, c’est un maelström émotionnel qui vous submerge.

De fait, ce fut encore une fois une très belle production. Certes, je me suis senti très vieux au milieu de tous ces enfants, mais cela en valait la peine. L’histoire est fort belle, une histoire d’amour entre lycéens, mais ce que j’aime toujours dans ces dessins-animés, c’est ce Japon des années 60 qui sort de la guerre, qui a son passé encore à fleur de peau, j’ai noté cette très belle phrase “ceux qui sont trop tournés vers l’avenir sont sans avenir s’ils ne savent pas regarder le passé”. Ce film avec son côté désuet, sa préservation des traditions et des valeurs, ses querelles des anciens et des modernes me convient pleinement par cet aspect là aussi, je suis une fois encore sorti ému. Pour l’anecdote, ladite lycéenne étudie les Thibault, qui, chez les zélèves, en connait l’auteur?

Peu importe, seule la beauté et la poésie des images, de l’histoire et de la bande-son compte, il faut savoir, parfois, oublier le travail.

Fév
25
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par la Vieille Garde le 25-02-2012

Les critiques relatives à ce film étaient manifestement fort différentes les unes de autres, je n’en ai lu aucune. Un de mes anciens élèves devenu prof de français, avec certification en cinéma et actuellement en thèse, de cinéma, m’avait dit qu’il devrait me plaire. J’ai donc tout simplement choisi de faire confiance à un ami. Pari risqué il est vrai, que celui de la confiance, mais je ne fus pas déçu.

Le réalisateur, Jean-Marc Vallée, québecois, signe ici son troisième film, fort différent des 2 précédents, même si des allusions au premier, CRAZY, sont nettement perceptibles, surtout à travers la bande-son, qui, ici aussi, est particulièrement présente et se trouve être un élément clef de la problématique et de la progression du film.

L’histoire alterne entre Montréal en 2011 et Paris en 1969. PLus que la mystique de CRAZY on trouve ici une évocation du surnaturel, voire du paranormal, sans que cela n’aille trop loin dans l’élucubration. Il s’agit ici d’apporter une lumière nouvelle sur l’évolution des sentiments amoureux, en la replaçant dans une perspective de réincarnation. Pour celles et ceux qui ont lu L’Empire des anges de Werber, les références seront limpides. Cette question de la métempsychose, de la réincarnation, des âmes soeur est pour moi assez abstraite, j’ai bien failli me perdre et c’est d’ailleurs le principal reproche que je ferais au film, tout cela est parfois assez complexe. Cependant, la fin éclaire bien le film en mettant en perspective des phrases, des scènes, des comportements vus antérieurement, j’admire même le plan final qui est comme la clef de voûte, la clef de l’énigme aussi.

Ce film à la bande son envoûtante, à la réflexion ésotérique, assez nostalgique et plein de spleen aussi, est intéressant. Il peut cependant aussi dérouter en raison des éléments précités qui peuvent vite devenir rebutants. Je l’ai bien aimé, mais mieux vaut malgré tout le regarder un jour de soleil, de crainte que son atmosphère ne pousse à une mélancolie profonde, ce qui est pour l’heure mon sentiment, preuve, aussi, que c’est un bon film.

Fév
25
Classé dans (Atelier Philo) par la Vieille Garde le 25-02-2012

En ce jeudi philosophique, passation de plume, secrétariat assuré par la Vieille Garde. Notre réflexion de ce jour débute par la distribution d’un curieux questionnaire où il nous faut lister les avantages et les inconvénients que peuvent avoir les statuts respectifs d’Homme et d’animal. Après quelques minutes d’une silencieuse réflexion, il faut bien se lancer et avancer les arguments qui plaident en faveur ou défaveur des uns et des autres.

La chose est complexe, car on découvre vite que si l’animal a des capacités physiques supérieures c’est qu’il lui faut en user pour se protéger ou fuir. Ainsi, l’avantage pourrait bien dissimuler un inconvénient, fichtre, ce n’est donc pas si simple. Abordant le domaine des motivations, nous nous rendons compte que lorsque l’animal tue, c’est par nécessité alimentaire, en revanche, l’Homme, dans le cas des meurtres ou des conflits ne le fait que pour des raisons fort peu valables, ces dernières pouvant même refléter un désordre psychologique certain.

De cette remarque découle l’idée que l’Homme est libre de ses actes, de choisir de faire le bien ou le mal, alors que l’animal se contente d’agir en fonction de son instinct. Certes, mais ne pas penser peut-il véritablement s’avérer être un avantage? Oh, que philosopher s’avère complexe, une question apporte une solution, du moins le croit-on, mais cette apparente solution ne fait que poser une question plus complexe, nous devons aller à chaque fois en profondeur et découvrir des arguments afin d’exposer nos idées. Nous parvenons à nous accorder sur le fait que, l’animal naissant en sachant ce qu’il doit faire n’est donc pas libre de choisir, n’est donc pas libre, ne pense donc pas au sens où il ne raisonne pas, à la différence de l’Homme qui, pour faire face à des conditions difficiles, doit réfléchir et trouver des solutions, afin de savoir nager, afin de se protéger contre le froid, etc, alors que l’animal, adapté à son biotope et doté de son instinct, n’a pas à se poser toutes ces questions.

Il semble aussi que l’animal, à la différence de l’Homme, ne puisse en aucun cas s’ennuyer, cette notion lui est étrangère, tout comme à nous en philo! De la même manière, l’animal ne conçoit pas l’idée de mort, alors que, pour l’Homme, elle est soumise à bien des questions, la preuve dans notre groupe de ce jour où deux idées se font face: il serait bien de savoir le moment de sa future mort/ il ne faut surtout pas savoir cela. Cette réflexion pourrait d’ailleurs devenir un de nos futurs thèmes…

Pour finir nous lisons un texte de Rousseau,  il y compare l’Homme et l’animal. Pour lui, les deux ont un instinct, mais l’Homme a seul la capacité de refuser d’obéire à ce dernier si, à la suite d’un raisonnement, il en décide ainsi. Le maître mot de la réflexion serait donc que l’Homme, à la différence de l’animal, est libre. Attention, une liberté fondamentale, qui reste soumise à des règles, à des lois et qui ne signifie pas faire n’importe quoi. Ainsi, au cours de notre débat avions-nous réussi à faire apparaître des arguments et des notions qui furent, au temps des Lumières, mises en avant par un grand philosophe Français d’adoption et Suisse de naissance. Comme l’aurait dit le Cid “aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années”.

Fév
24
Classé dans (Les professions et l'orientation vues par les élèves) par Océane miss Glamour. le 24-02-2012

En classe de troisième, on doit déjà penser à notre orientation (futur métier). Au début, ça peut paraitre difficile, on n’a pas foréement des idées ou des connaissances requises pour certains metiers qu’on voudrait faire, on est certaines fois plus fortes dans certaines matières que d’autres et cela peut avoir des conséquences assez importantes sur notre orientation.

Au collège, nos professeurs principaux organisent une visite chez la conseillère d’orientation qui nous aide pour notre orientation, le futur métier que l’on aimerait faire et les lycées où nous aimerions aller. Il est difficile à notre âge de prendre une décision et de savoir quel métier on aimerait exercer.

On trouve que, souvent  les premiers choix de métiers sont pour les filles : Infirmiere, Esthéticienne, Coiffeuse ou alors Puéricultrice. Ou alors, pour les garçons : Pompier, Policier, ou encore mécanicien.

Nous, on préfère choisir des métiers qui nous plaisent mais qui aussi sont plutôt accessibles pour ne pas être touchés par le chômage.

Certains jeunes veulent faire un métier qui d’abord paye bien et puis qui nous plaise.

Océane et la Zapette.