Jan
31

Cher inconnu,

Nous nous posons milles questions à votre sujet, c’est pourquoi un article vous est dédié. Je suis curieuse à l’idée de connaître votre identité, êtes-vous une femme, un homme, un être humain ? Telle est la question, oui. Nous voulons absolument vous connaître mais n’est-ce pas mieux, comme vous êtes, Inconnu ? Car, d’un côté vous êtes mystérieux et cela donne une curiosité au Torchon. Vous commentez très souvent nos articles et je vous en remercie car, sans vous, ce ne serait pas attractif comme ça l’est aujourd’hui. Vous commentez nos articles avec beaucoup d’imagination, beaucoup de passion et beaucoup de détermination.

Êtes-vous l’un de nos professeurs, l’un de nos personnels du collège, pourquoi pas un élève ?

Vos commentaires sont des “merveilles”, ils ont un sens philosophique et sont longs mais ça doit plaire à Mme Dibot qui s’enchante de pouvoir avoir une lecture développée. Pourquoi vous être identifié comme “inconnu”, ne soyez pas timide venez nous rencontrer et partager des moments avec nous. Et venez nous rencontrer, nous, des pros du journalisme (et de la modestie NDLR) et pourquoi pas faire des articles en votre compagnie ? Réagissez, venez ! Nous tâcherons, de vous accueillir avec respect et tout en étant chaleureux.

Nous n’avons aucune idée de qui peut se cacher derrière votre pseudonyme. Cela ne fait que depuis cette année que vous commentez nos articles : continuez..
D’un autre côté, on aime vos commentaires car vous y mettez de vous, alors combien de fois par jour visitez vous le Torchon? Avez-vous déjà vu le Pink Paillettes ? Nous connaissez-vous?

Moi, de ma pensée, je pense que c’est un professeur car vous écrivez toute en philosophique et presque sans fautes, puis ressort une sorte de bonne maturité. Nous apprécions votre compagnie et nous vous demandons de continuer.

Anissa.

 

Anissa.

Jan
31

On commande à Théo un article d’ambiance sur le sujet. Il s’installe devant un PC, remonte les manches de sa chemise à la Charles Ingalls (est-ce vraiment à la mode ? Ca fait peur… ;)) et compose les deux premières phrases de son article (que vous lirez ci-dessous, au bas de l’article), en prenant soin d’écrire le mot “filles” en tout petit… Ce qui fait enrager Johanna (ou était-ce Naouale ?) .

Et puis, hooooooorreur : Naouale remarque un cafard qui ose se promener sur le bureau. Oh, pas gros, un petit cafard (mais que faisait-il donc dans cette galère ?). Théo, prévenu de l’intrusion menaçante, fait un bond de dix mètres et prend ses jambes à son cou : “Il est énoooooorme !”, croit-il. Alors, Naouale achève ce bref article : “Alors, les garçons sont-ils aussi forts et courageux qu’ils le prétendent ?”  Avouons que la chose était fort drôle, dans ce contexte…

Halima a un problème avec le genre, elle confond un article avec une article. Nous sommes quatre GARCONS dans un groupe de douze filles. 


Jan
31
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 31-01-2014

Alors, Johanna, ton article sur l’avortement, il est en gestation ? 😉

Jan
31
Classé dans (Poèmes) par Anais ALONSO le 31-01-2014

Si un chien et un chat arrivent à s’aimer et se côtoyer
Pourquoi pas nous aussi malgré toutes nos différences
Que ce soit de couleur ou de religion, comme de pensées
L’amour et le respect ne sont-ils pas mieux que l’indifférence ?

Pourquoi vouloir à tout prix faire  autant de mal autour de nous
Dans la haine et la vengeance comme dans les guerres partout
Pourquoi avoir tant de préjugés et le racisme au fond de nos cœurs
Vivre dans la colère, dans la haine avec autant de cruelles rancœurs ?

Anaïs.

Jan
31
Classé dans (Micro Torchon) par Théo le 31-01-2014

Oui, cette année on passe le brevet, l’année prochaine on se sépare tous dans différentes directions mais que serons- nous dans 10 ans ?

“T’as pas changé, qu’est-ce que tu deviens ?

Tu t’es mariée, t’as trois gamins                                  

T’as réussi, tu fais médecin”, chantait Bruel voici… dix ans.

Beaucoup d’entre nous ne font qu’imaginer leur avenir sans pour autant être réaliste : Halima rêve de se marier avec Justin Bieber, par exemple.

D’autres essayent d’imaginer, comme Anaïs qui se voit  à Marseille travaillant dans des boites de nuit et mariée à un bel homme musclé aux yeux clairs, ils iraient jusqu’en Espagne ou au Canada, bref l’amour fou (c’est beau de rêver).

Anissa veut, quand à elle, être chirurgien, étant fan de la série Grey’s Anatomy elle veut bien évidemment aller à Seattle pour rencontrer son Docteur Mamour, c’est plutôt clair dans sa tête, contrairement à certains comme Théo (arrêtez de rire, c’est pas drôle !) qui ne sait pas comment ça va se passer après.

Ce n’est pas gagné pour Anissa : Naouale est aussi sur le coup du docteur Sheperd, eh oui, Naouale veut quitter la France pour l’Amérique elle aussi, peut-être en tant que grande journaliste/reporter pour la BBC et elle veut se fiancer avant d’avoir des  enfants. Soyons sérieux, Léo aspire à devenir ingénieur en informatique, faire de lonnnnnnnngues études et gagner beaueaueaueaucoup d’argent, logique me direz vous.

Messaouda est plus tournée vers la famille, dans 10 ans elle se voit faire le tour du monde avec son mari.

Quant à Johanna, sa vie rêvée est presque réelle, les études de droit dans le but d’être avocate mais la suite, elle préfère la laisser venir…

Pour conclure, nous n’aurons qu’une seule chose à vous dire, rendez vous dans 10 longues et belles années (nous l’espérons pour vous !)

                                                                                                       Johanna et Théo

Jan
31
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Salimatou SIDIA le 31-01-2014

    

La discrimination est partout où l’on va, même ou l’on vit ! On peut trouver le racisme a l’école, dans notre entourage, auprès de nos amis parfois. Le racisme envers les noirs ou contre les juifs, un racisme qui ne devrait même pas exister, une différence de peau ou de religion qui n’aurait pas dû naître. Le fait de séparer, de mettre un espace entre deux groupes sociaux, le fait de mettre à part un individu d’un autre groupe, à cause d’une différence me sidère. Les noirs ont été des esclaves pendant de longs siècles et les juifs ont été déportés et exterminés, rien que pour ça, ils devraient être respectés comme tout le monde.

Différencier quelqu’un  par sa couleur de peau, son genre, sa sexualité, sa religion, ses opinions, un handicap, le physique est un acte stupide, qui manque de finesses, un acte tellement idiot. Chacun a sa personnalité, chacun a sa couleur, chacun a une pensée différentes des autres. Et on ne devrait pas juger cela !  Toute ces personnes qui se sentent rejetées, mises à l’écart à cause de personnes malhonnêtes, manipulatrices ou racistes ou même encore antisémites. Toutes ces personnes n’ont pas vécu ce que les noirs ou les juifs ont vécu, la séparation avec leur famille, la déshumanisation par un peuple qui leur crachait dessus ! Qui les tuait sans savoir pourquoi ou avec des explications absurdes ! Franchement, à toutes ces personnes, je leur souhaite d’abord de marcher sur leur pas, et c’est là où ils pourront critiquer s’ils trouvent qu’ils n’ont pas assez souffert. Je ne comprend pas pourquoi on vit encore dans un monde si peu compréhensif !

 

TO FIGHT AGAINST RACIAL SEGREGATION AND INEQUALITY BETWEEN THE MEN !

Cordialement.

Jan
31
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Anais ALONSO le 31-01-2014

Marre des insultes sur les réseaux sociaux . Hannah Smith, une Britannique de 14 ans, a mis fin à ses jours par pendaison après avoir subi pendant de longues semaines le harcèlement d’internautes .
Il y a des personnes qui lui ont dit « Avale de l’eau de Javel », « Tu es laide, va mourir et tout le monde sera content » ou encore « Attrape un cancer ». Les harceleurs ont ensuite sous-entendu qu’ils s’en prendraient à la famille d’Hannah, bien qu’ils ne la connaissaient pas.
Pourquoi faire ça aux gens que l’on connait pas ?
Les adolescents n’hésitent pas à poser des questions blessantes, méchantes ou à intimider des utilisateurs souvent fragiles. Ces personnes sont juste capables d’aller en ligne et de se cacher derrière un masque de l’anonymat alors qu’ils abusent d’adolescents vulnérables.

cet article est dédié aux commentateurs de mon premier article qui m’ont demandé comment les voyageurs sur Mars survivraient là-bas, comment ils vivront. J’ai fait quelques recherches et suis tombé sur leur site officiel. Je ne répondrai sûrement pas à toutes les questions, mais je vais essayer.

Tout d’abord, Les hommes seront séparés et ne partiront pas tous en même temps. Ils partiront par groupes de quatre personnes. Le premier groupe partira le 14 septembre 2022. Le deuxième partira en 2027, et les autres tous les 2 ans.

Le projet : il a été développé par la société SpaceX et a coûté à peine 6 milliards de dollars, juste pour la première phase.

mars one

Maintenant, passons à la survie avec un grand “S”. Pour la nourriture et le matériel, ils enverront en Janvier 2018 le premier module de stockage, contenant 2500 kg de nourriture et de matériel. Il arrivera sur Mars en Octobre de la même année. En 2021, ils enverront cinq nouveaux modules, composés de deux habitations, deux supports de vie et un de stockage.

Cependant, ce projet manque de fiabilité sur certains points :

– déjà, le trajet dans le module durera 7 mois, ce qui est énorme pour les astronautes et qui les handicapera sur le plan physique dès leur retour de la gravité, une fois arrivés sur Mars. Cet handicap pourra durer des semaines.

– les astronautes ont de forte chances de perdre leur patience et leur rationalité à partir de quelque mois après l’arrivée sur Mars.

– jusque là, aucun vaisseau de plus d’une tonne ne pouvait atterrir sur Mars. Or, la capsule “SpaceX Dragon” du projet pèse 4,5 tonnes. Personne pour l’instant ne sait grâce à quoi et comment ils vont réussir, si ce n’est grâce à un “bouclier thermique”, qui permettrait  d’accroître le freinage. Mais personne n’en est sûr, car les tests n’ont été faits qu’à échelle réduite.

– enfin, la nourriture. Voilà la réponse à certaines questions. Un système de production de nourriture. Incroyable, non ? Seulement, il n’en est qu’au stade d’essai.

J’espère avoir répondu à vos questions, ou du moins à la plupart… Bon voyage vers l’espace !

Jan
31
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Messaouda HENNI le 31-01-2014

Une coutume est présente dans la classe germaniste 3ème depuis plus de deux ans…
La fête de la santé “la gesundtag “(= le jour de la santé en allemand ) a été créée par Johanna, lorsque notre professeur Mlle. FAVRE a éternué : Johanna, en voulant montrer qu’elle est parfaitement bilingue, a dit “gesundtag”, qui signifie  “jour de la santé au lieu de “gesundheit” ( “à vos souhaits”, en allemand). Mlle.FAVRE s’est un peu moquée en disant que ce jour n’existe pas… Petites ampoules qui clignotent sur nos têtes ( Johanna et moi) : il faut un jour pour la gesundtag, nous nous sommes mises d’accord sur une date et, à partir de ce moment, nous célébrons la fête de la santé tous les 22 janvier (seulement les germanistes qui sont actuellement en 3ème). Pendant cette fête nous jouons au médecin en allemand et nous remplaçons les médicaments par des friandises, les pillules par des smarties, les gélules par des m&n’ms,  et le sirop pour la toux par du jus.

Nous aimons beaucoup ce cours car ça change d’un cours banal.

Je vous souhaite donc -avec un peu de retard- une joyeuse fête de la santé !!!

Jan
31

Quel titre prétentieux… La théorie du genre, cela dit-il quelque chose à mes zélèves ? On en parle, dans les media… Vous savez, en français, le genre : féminin ou masculin. Avec ce beau masculin qui, quoi qu’il advienne dans une phrase, l’emporte sur le féminin… Ah, la belle grammaire que voilà ! Auparavant, (au 18ème siècle si mes souvenirs sont bon,s mais M. Mastorgio me corrigera, lui qui a traversé le siècle des Lumières et tutoyé Diderot et Voltaire (diantre : Hugo va me croire), l’accord de l’adjectif se faisait avec le dernier nom commun du groupe nominal. Exemple ? “Un homme et une femme instruite”. Toc : facile, on accordait l’adjectif avec le nom qui le précédait directement. Aujourd’hui, le tout puissant masculin l’emporte.

Wikipédia nous dit : “La règle de proximité (ou règle de voisinage) consiste à accorder le genre et le nombre de l’adjectif avec celui du plus proche des noms qu’il qualifie, et le verbe avec le plus proche de ses sujets. En vertu de cette règle, contrairement à l’usage actuel, le féminin et le singulier peuvent donc l’emporter sur le masculin et le pluriel. Elle se rencontre en grec ancien et en latin, de même qu’en ancien français. En français elle ne sort complètement de l’usage qu’au xviiie siècle, où le masculin s’impose dans l’accord du genre ; elle fournit aujourd’hui la matière de propositions de réforme de l’accord de l’adjectif pour ceux qui y voient un outil de promotion de l’égalité entre femmes et hommes.

Au xvie siècle, pour l’adjectif, seule la règle de proximité s’applique. Lorsqu’un adjectif se rapporte à plusieurs noms, il s’accorde avec le plus proche : « Portant à leur palais bras et mains innocentes », Agrippa d’AubignéLes Tragiques, III, 203. Quand un verbe a plusieurs sujets, le plus proche étant au singulier, il peut se mettre au singulier6 : « un gentil homme, dont l’amourla fermeté et la patience est si louable », Marguerite de NavarreL’Heptaméron, II, 17.

Au xviie siècle encore, l’adjectif épithète, lorsqu’il se rapporte à plusieurs noms, peut s’accorder avec le plus proche. On en trouve de nombreux exemples chez Racine, qui emploie concurremment la règle de proximité avec celle selon laquelle « le masculin l’emporte sur le féminin » : « Surtout j’ai cru devoir aux larmes, aux prières, consacrer ces trois jours et ces troisnuits entières », Athalie (1691), ou encore, dans la même pièce, « Armez-vous d’un courage et d’une foi nouvelle », vers 1269. De même il est encore courant qu’un verbe avec plusieurs sujets s’accorde avec le plus rapproché7 : « Sa bonté, son pouvoir, sa justice est immense », CorneillePolyeucte, vers 849 (1643).”

Ah, tous ces textes, ces auteurs lus, étudiés, et chéris ! Qu’elles sont loin, les années faculté…

Ce sujet n’est pourtant pas celui qui fait débat aujourd’hui. Non, il ne s’agit pas de grammaire (dommage) mais de… de quoi, finalement ? D’éducation à la sexualité dans une société où le mariage pour tous est autorisé, l’adoption d’un enfant par un couple homosexuel en débat. Des français s’inquiéteraient du contenu des cours de SVT dispensés à leurs enfants sur le sujet du genre.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/05/25/masculin-feminin-cinq-idees-recues-sur-les-etudes-de-genre_3174157_3224.html