En guise de rentrée médiatico-torchonesque, un petit sujet soumis à la (plus haute) réflexion de mes zélèves : la femme est-elle l’avenir de l’homme dans les paroles des chansons d’Orelsan ?

http://www.liberation.fr/debats/2016/02/28/pour-ou-contre-la-relaxe-d-orelsan_1436360

 

Fév
22

http://www.liberation.fr/planete/2016/02/21/alep-vivra-lettre-ouverte-a-francois-hollande-sur-la-syrie_1434911

Fév
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par jaime le 11-02-2016

Snapchat est une application qui permet d’échanger des vidéos et des photos ou de mettre des photos et vidéos dans une “story”, notre histoire. Ainsi, nos amis qui ont snapchat peuvent voir nos vidéos et nos photos. La particularité, c’est que l’on ne peut voir que durant un temps défini les images, sous la forme d’un message privé (avec un ami). On peut aussi mettre le « replay » pour regarder une dernière fois.

Si nos amis décident de faire une capture d’écran (un “screen”), on peut le voir dans notre “story” car ces personnes peuvent la mettre sur d’autres réseaux sociaux pour nous humilier, cependant rien ne les empêchera de le faire. Sur snapchat, on peut aussi faire des filtres mais y en a qui sont payants. Il y a aussi un score sur snapchat, pour savoir si nos amis sont fidèles à nos posts et on peut aussi faire des demandes d’amis. Snapchat est une application qui utilise l’appareil photo et on peut envoyer des photos, vidéos, messages à notre ami et les enregistrer.

Snapchat est une super application, qui a beaucoup de qualités, par exemple, on peut mettre le flash à la camera de face grâce à la luminosité de l’écran…
Cette application a été téléchargé entre 100 et 500 millions de fois, ce qui prouve qu’elle est populaire et très utilisée en 5 ans.

Voici le reportage que France 2 a consacré à snap ce weekend.

Snapchat, le réseau social qui fait fureur chez les adolescents

FAMADY (classe média)

Fév
11
Classé dans (L'actualité au collège) par jaime le 11-02-2016

lesprofsgs

Jour de carnaval à George Sand ! Les profs ont joué le jeu. Alors vous préférez les originaux ou les copies ?

Fév
10
Classé dans (Sois belle et tais-toi) par Siham Douzi le 10-02-2016
Ayant déjà parlé de mon enfance, j’ai décidé de poursuivre avec mon adolescence et parler des lambeaux de souvenirs que ma mémoire essayait de sauver mais que ma tête aimerait tellement oublier.
Enfant-Ado j’ai toujours été fascinée par la mode. Je me souviens de ce classeur bleu plein de dessins de robes que je dessinais moi-même et je rêvais secrètement de les faire coudre un jour par un grand couturier. Je me souviens de ma vie de collégienne, l’élève toute gentille et qui ne disait jamais “non”. Je me souviens des week-ends avec ma grand-mère qui m’apprenait un peu la cuisine, un peu la coiffure, un peu la couture, et beaucoup de tendresse. Cette femme, cette douce femme avait un rôle très important dans ma vie et je me sentais tellement sereine à ses cotés. Les mercredis, elle m’attendait pour aller au marché avec elle, et ensuite préparer le repas ensemble. Et comme toutes les feuilles finissent par tomber, ma grand-mère s’est envolée… Ce fut une période très difficile, j’avais l’impression de perdre mon autre mère. Je n’ai appris que bien tard qu’aimer quelqu’un c’est s’engager à le perdre un jour, et donc par conséquent vivre de son absence mais jamais l’oublier. Par la suite de cette période si sombre je me suis repliée sur moi-même, j’étais dans ma bulle sans le vouloir, et sans en avoir conscience. En cours, j’avais du mal à suivre, moi qui était si studieuse, le tableau vert était devenu noir. Elle me manquait terriblement, et à 15 ans je n’étais pas prête à concevoir ma vie sans elle. Le pire dans les chagrins ce n’est point l’absence, mais bien le manque, car il reste irremplaçable. J’étais le genre de fille qui mangeait bien, c’est normal ma mère était (et est toujours) la meilleure cuisinière. Disons que j’étais en pleine période d’adolescence et que mon corps changeait. Mais moi je ne le voulais pas. Je me regardais dans le miroir et je me trouvais énorme et moche. Un beau (mauvais) matin, j’ai décidé de maigrir en pleine adolescence alors que c’est totalement déconseillé. Les jours passèrent et mon corps changea. Je maigrissais aussi rapidement qu’un glaçon en plein désert. Pour faire court j’ai perdu 30 kg en à peine 3 mois, raté 4 mois de ma 3ème, et finir par avoir le brevet en travaillant dur et avec une volonté de réussir aussi forte que d’aimer.
La morale de cette histoire est pour ceux qui disent “j’ai raté une semaine de cours je n’aurais jamais une bonne note au contrôle, ou je n’aurais jamais mon brevet”
Avec de la bonne volonté on y arrive et malgré tous les obstacles il y a toujours une lumière qui brille au loin.
Quand on touche le fond on ne peut que remonter à la surface.
Fév
10
Classé dans (Littérature) par Agnès Dibot le 10-02-2016

Article écrit par Julia et Alix (3ème3)

ACTE UNIQUE

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Ce matin, nous avons rencontré l’auteur du livre «  Double jeu », livre que nous avons découvert dans le cadre d’une rencontre littéraire avec la classe de 2nd 5 du lycée Edouard Branly de Châtellerault. Lors de la rencontre, nous avons pu lui poser quelques questions.

Double jeu, un roman autobiographique ?

Ce livre n’est pas une référence à son passé, mais le personnage principal, Quentin a quelques similitudes avec lui. Venant d’un lycée de campagne, arrivant dans une grande Prépa Parisienne, il a pu constater la différence des classes sociales, et a eu un peu de mal à s’intégrer avec les « bourgeois ». De plus, il s’identifie à son héros sur certaines de ses réactions.

C’est sa femme qui a choisi le titre « double jeu » qui lui plait bien dans la mesure où on peu aussi l’écrire “double JE” ce qui correspond pas mal au livre avec le jeu d’une double appartenance aux deux milieux sociaux, ainsi que le flou qui se crée entre Quentin et son rôle dans la pièce de théâtre, Tom. Le terme jeu fait aussi faire allusion au jeu de théâtre.

Ecrivain, une vie consacrée à l’écriture : “Je ne comprends pas qu’on n’ait pas envie d’écrire !”

Il a commencé à écrire à 7 ans avec des petits poèmes, son premier roman à 17 ans après plusieurs écritures de nouvelles et a été publié pour la première fois à 38 ans ; il a pris du temps à trouver son style. Pour écrire en plus de sa profession de prof, il écrit une heure par jour. M. Blondel, qui écrit et des romans ados et des romans adultes, n’a aucune préférence entre les deux genres.

Lorsqu’il écrit, il ne fait pas de plan, il écoute une musique en boucle jusqu’à la fin de son livre, et l’histoire vient comme elle vient… Il établit quand même une première histoire,  et réécrit la même histoire.

Les élèves de ses classes, sa source d’inspiration

Ses livres sont inspirés la plupart du temps par ses élèves car, comme il dit, « le métier de prof est un métier d’observateur », son métier le passionne. Les élèves sont sa source d’inspiration et d’énergie. Il considère qu’il y a un contrat de double protection entre lui et ses élèves. Quentin n’est pas la représentation d’un de ses élèves précisément. Il est proche des élèves mais considère que la relation entre La Fernandez (la prof de français du roman) et Quentin est dangereuse, il cherche avec ses élèves une relation plus simple, pas le rôle d’un mentor et de guide. Et puis n’a jamais connu de relation comme celle là.

Comment choisissez-vous le prénom de vos héros ?

Le choix de tous les prénoms de ses livres est tiré de sa salle de classe. Le prénom de Quentin lui donne une impression de moyen âge, médiéval, il joue donc sur le prénom de ce jeune qu’il voyait bien venir de la banlieue. Il joue toute autant sur le nom de La Fernandez qui donne un ton plutôt espagnol mais qui est en fin de compte prof de français. Son inspiration, c’était la prof de latin de sa fille… Heathcliff est le héros des Hauts de Hurlevent, mais surtout, le prénom d’un des élèves du lycée dans lequel M. Blondel enseigne !

Pourquoi avoir choisi de faire référence à une pièce de théâtre dans ce roman ?

Il fait le choix de prendre La ménagerie de verre, pièce de théâtre de Tenessee Williams qu’il a découverte à 21 ans car cette pièce colle bien au personnage, à l’adolescence et définit le combat de tous entre le choix de rester ou de partir de sa ville natale. Cela créé un mélange entre le théâtre, donne une impression d’oralité et nous fais nous poser des questions sur nous même.

Il nous a expliqué que les passions des personnages sont tirées de ses envies qu’il n’a pas pu nourrir, comme être chanteur ou même peintre. Il considère que chacun doit trouver son moyen d’expression, son domaine. Il est important d’avoir des passions.

Pas de suite à l’histoire de Quentin ?

Il n’écrit jamais de suite à ses romans. Il met environ 6 mois pour écrire des romans jeunesses et 9 mois pour les romans adultes. Il éprouve un plaisir intense à écrire, pour lui ce n’est pas un travail mais une passion, un moment où il est seul avec lui-même, écrire lui permet de figer le temps comme une photographie tout en gardant l’action d’une histoire « le texte est vivant et vit en chacun de nous ». L’écriture ne nuit pas à sa vie de famille.

Adapter un de vos romans pour le cinéma, ça vous tente ?

Il ne laissera  que l’un des ses anciens élèves faire un film d’un de ses livres : “le fric ne m’intéresse pas”, dit-il. Il a été approché par des réalisateurs professionnels pour adapter son récit autobiographique, mais attend qu’un de ses anciens élèves, devenu réalisateur pour le cinéma, lui demande d’adapter son roman.

Quelle impression éprouvez-vous quand vous commencez à écrire un nouveau roman ?

Quand il commence l’écriture d’un roman, il a une impression de maître du monde, de voir un décor se déplier, d’être comme dans le chemin de traverse de Harry Potter, arriver dans un nouveau monde.

Il n’écrit qu’en français, c’est sa langue intime, même s’il est prof d’anglais.

Rideau

Fév
09
Classé dans (Santé) par PtitBlevin le 09-02-2016

L’avortement est un sujet tabou dans notre société actuelle mais pourtant il faut en parler, donner son opinion, c’est important.

Pour ma part, de ce que je peux voir par mes yeux d’adolescents (immature), je pense du bien de l’avortement même si c’est un choc d’avorter pour la mère, c’est tuer l’enfant qu’on aurait voulu (ou pas forcément) avoir mais qu’on ne peut pas le garder. C’est pour ça que je me suis renseigné sur le sujet, après un avortement, on peut sur demande avoir un soutien psychologique par un psychiatre. Bref, je m’écarte de mon sujet de départ, c’est vrai que c’est dur mentalement d’avorter mais c’est toujours un moyen de dernier recours, ça peut nous éviter de gâcher nos vies par une erreur bête.

 

 

Fév
09
Classé dans (Santé) par Aloïs le 09-02-2016

Les quatrièmes média de madame Dibot ont parlé de l’avortement, et sont tous contre. Leurs arguments sont bons, mais il existe tout de même un peu de pour.

En effet, l’avortement est un droit accordé seulement depuis 1975. Il aura fallu tout ce temps pour donner à la femme le droit de disposer de son corps. L’avortement est difficile à supporter, autant physiquement que moralement, mais il peut être nécessaire. Si une jeune fille se fait violer, doit-on la forcer à garder son enfant ?! Et puis, en cas d’accident, si on est jeune et qu’on ne veut pas d’enfants, qu’il est trop tard pour prendre la pilule, on est forcées de garder cet enfant et de ne pas pouvoir faire tout ce qu’on veut de son futur ?
Selon moi, l’avortement est une “bonne chose” dans la mesure où la femme peut enfin disposer de son corps. De plus, c’est un droit arrivé trop tardivement, si bien qu’il existe des femmes qui, n’ayant pu avorter et étant tombées enceintes avant le mariage, se sont vues se faire retirer leur enfant. Les droits de la femme ont évolué, et ces femmes aujourd’hui auraient pu éviter cette grossesse, avorter ou garder leur enfant.
Aujourd’hui l’avortement est légal, c’est une avancée, bien que certains médecins se donnent le droit de repousser la date de l’avortement, jusqu’à ce qu’il ne soit plus légal. Sur les droits de la femme, il reste des progrès à faire… Selon moi, le jour où on n’aura plus besoin de la journée de la femme pour faire valoir l’égalité homme-femme, il y aura une véritable grande avancée.

Fév
04
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 04-02-2016

Article écrit par Kelly et Emile (option media 4ème)

Nous avons été à la MPT (maison pour tous) le mardi 1er décembre, rejoindre plusieurs groupes de collégiens et d’animateurs de cette journée. Nous avons été accompagnés par Mme Askari et de Sébastien (secteur jeune).

De 9heures à 13heures nous avons parcouru Châtellerault.

1: on a été à l’infirmerie de la MPT où nous ont été posées plusieurs questions, on nous a expliqué comment mettre un préservatif.

2: Ensuite, aux 400 coups, nous avons rencontré plusieurs personnes qui travaillent à différents postes. Notre équipe a enregistré des paroles pour faire une musiques contre le SIDA, nous avons tourné une vidéo et rempli un petit carnet où des questions étaient posées.

3:nous sommes allés au CIDFF ou nous avons fait un petit jeu qui consistait à s’asseoir du côté gauche si on était d’accord sur les questions que posaient les femmes qui nous ont accueillis et du cote droit si nous n’étions pas d’accord.

4:Nous sommes allés au centre social où nous avons rencontré la PMI. elles nous ont présenté plusieurs types de contraceptifs, un médecin généraliste et une sage femme. elles nous ont expliqué leur rôle  qui est d’aider  les jeunes femmes avant d’être enceintes et pendant la grossesse.

5: nous sommes allés enfin à la maison médicale Clement Krebs où nous avons rencontré deux infirmières et un docteur  qui nous ont expliqué ce qu’il fallait faire : un dépistage pour savoir si nous avons le VIH, le sida etc… elles nous ont dit que le vih arrivait avant le sida mais qu’on pouvait avoir le VIH et que le sida ne se développe pas.

La matinée finie, nous sommes retournés à la Maison Pour Tous où nous avons déjeuné puis, une fois que l’on avait fini, nous avons fait un jeu où tous les collèges s’affrontaient : on nous posait des questions et si on avait les bonnes réponses, on avançait d’une case et le groupes de George Sand a gagné !

Fév
04
Classé dans (Non classé) par sadanhou1 le 04-02-2016

Dans le nord-est des État Unis toute la population du New jersey ainsi que celle de New-York  a été touchée par la tempête de neige .

Chris Christie, gouverneur de l’Etat du New Jersey, a alors déclaré l’ État d’ urgence. Ils ont été obligé de fermer la plupart des métros ainsi que les aéroports, tous les visiteurs ou les touristes ont donc été bloqués. dans les  aéroports les associations ont aidé les passagers en leur distribuant de la nourriture en mettant a dispositions des trousses d’hygiène.

A Washington, le métro a été coupé. Certaines personnes trouvent que ça n’était pas une bonne idée car le métro roule sous terre et donc n’est pas gêné par la neige. De plus de nombreuses personnes doivent continuer à aller travailler donc ils auraient préféré que les transports ne soient pas bloqués.

Comme vous le voyez sur cette image c’est vraiment impressionnant. La neige n’est pas prête de fondre.♥

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