Après l’annonce des affectations dans la cour, c’était une vraie foire, entre les cris, les rires et les pleurs.  Après avoir passé 4 ans dans un même établissement, à côtoyer les même personnes, avec quelques nouveautés de temps à autres…  pendant 2, 3, 4 ans…

Le lycée, c’est un gros changement et est tous dispersés, on va malgré nous se perde de vue mais on a été prévenus. Une sacré marche à franchir, ça, on nous l’a répété maintes fois. Enfin bref, pour l’instant, le plus dur après l’épreuve de maths au brevet, c’est d’avoir à quitter les personnes qu’on côtoyait, rencontrait, avec qui on a partagé un petit morceau de notre existence pendant 2, 3, 4 ans.

C’est pas facile, je vous avoue que j’ai craqué, j’ai craqué, j’ai pas su retenir mes larmes, j’étais submergée par mes émotions : j’étais entre joie et tristesse. D’un côté, mon travail a payé, je suis affectée à Aliénor D’Aquitaine. Et d’un autre, bah, je vais perdre de vue un tas de personnes sans qui j’en serais peut être pas là. Alors que, 9 mois plus tôt, j’avais des envies de meurtre (façon de parler hein 😉 )  vis à vis de certaines personnes.

Mais c’est la vie, c’est pas toujours tout rose, tout parfait, on n’est pas chez les bisounours, hein, donc, voila…

Big Up à :

(à prendre au second degré, les surnoms, les amis, hein;) ;); )

L’Humoriste ( Louis ) j’espère que tu garderas ton humour, je te souhaite de réussir à Saint-Gabriel et dans tout ce que tu entreprendras et continue d’écrire sur le Torchon, je me ferai un plaisir de lire ce que tu rédiges, bonnes vacances LOU ! 😉 😉

Miss râleuse (Kelly ): Je te souhaite de réussir à Berthelot et de bonnes vacances,  continue d’écrire parce que ce que t’écris est vraiment pertinent  😉

Le duo prodige, créatrices de problèmes (Prisca&Maria ) : je souhaite de tout cœur que vous compreniez  un jour les maths de la réussite et bonnes vacances, les filles !

Le slameur  (Alexis) : à toi mon petit Alexis, bah, je souhaite de la réussite, hein, et continue d’écrire sur le Torchon mais essaye de finir tes articles 😉 et bonnes vacances…

La marocaine (Inès) : A toi, ma grande, j’espère que tu vas prendre conscience de tes immenses capacités parce que t’es quelqu’un de remarquable, je crois en toi et je sais que tu vas réussir. Allez, Bonnes Vacances 😉 😉 😉

Le lunatique (Sofiane (même si tu nous a quittés, n’empêche, on a bien ri )):  Alors toi, mon petit Fianso, je souhaite de tout cœur que prendras conscience que t’as des capacités, il suffit juste de savoir les exploiter, je crois aussi en to,i montre nous que tu peux réussir parce que t’en es capable. Allez, bon séjour en Algérie, bonnes vacances.

Gros BISOUSSS et on continue d’écrire sur le torchon, la Team Média

Mar
02
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 02-03-2017

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Chers zélèves,

Je suis passée à la librairie hier : il reste dix exemplaires du roman Un secret : j’en connais qui vont avoir du mal à le lire avant la rentrée… Au travail ! Pas de lecture, pas de témoignage mardi matin : avis aux vacanciers…

Fév
27
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 27-02-2017

Résultat d’images pour prof machine à correction copies

“Engagez-vous, qu’y disaient…”

Fév
25
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 25-02-2017

Résultat d’images pour ado collège devoirs

C’est bien, Loulou, tu écris pendant tes vacances 😉 Dois-je considérer ton article comme achevé et dois-je le publier ?

Réponses :

a) oui

b) non

c) T’endez, M’Dame, vous voyez bien qu’il manque un tas de pensées encore !!!

A. Dibot, prof croulant sous les copies de 3ème… A propos, où est ton analyse des lettres 7 à 12 d’Inconnu à cette adresse ? Je suis en pleines corrections, mais de copie de Loulou : point…

Fév
12
Classé dans (Des nouvelles des anciens) par Aloïs le 12-02-2017

Clin d’oeil à l’une de mes auteures préférées… La Comtesse de Ségur…

Il y a longtemps que je n’ai pas écrit ici… Je pourrais parler des actualités, Trump, Fillon, les élections 2017… Mais je me suis lassée de ces sujets, tout le monde en parle en permanence, à tour de rôle. De ce fait, je suis passée de France Culture à France Musique le matin et le soir (vive le jazz !).

Bref, passons. Vu que je suis en seconde, j’ai décidé de vous parler du lycée GT. J’aurais bien voulu vous parler aussi des LP, ou des CFA, de l’apprentissage et c… Mais je ne puis, je ne connais pas ces sujets, pardonnez-moi. Vu que c’est le moment des excuses, je vous prie de pardonner la longueur de cet article : bon courage ! Je ne puis me retenir d’écrire, je suis comme je suis 😀 .

 Pour moi, en troisième, le lycée c’était un rêve ; il y avait les grands, une nouvelle façon de travailler, beaucoup plus d’autonomie et de défi… Pour vous, le lycée, est-ce plutôt un environnement de travail nouveau ou bien un rêve d’indépendance ? Dans les deux cas, si vous choisissez le lycée GT, vous serez servis !

J’ai été surprise, à la rentrée, du peu de temps que les profs passent avec nous pour nous  « introduire » au lycée, mais aussi de mon emploi du temps : moins d’heures qu’en troisième ! (en même temps avec euro, latin et média… J’étais bien chargée !). Il y a aussi de nouvelles matières comme le SES pour moi, le PFEG pour les autres (je dois vous dire que c’est selon moi un choix un peu illusoire : préfères-tu faire de l’économie ou de l’économie ? Parce que oui, dans les deux cas, c’est plus d’économie que de sociologie ou de gestion…). Mais il n’y a pas que cela, il y a aussi la matière optionnelle. A George Sand, normalement, j’aurais dû aller à Branly. Suite à une dérogation et pour les options (Littérature et Société dont je vais vous parler, et latin.), j’ai été affectée à Berthelot, que j’ai visité et qui m’a beaucoup plu (en plus d’être à cinq minutes à pieds de chez moi). Mais suite à un déménagement intempestif, je me suis retrouvée au lycée André Theuriet de Civray, à environ 45km de chez moi tandis que les lycées de Poitiers sont à maximum 30km de chez eux (pour ceux du centre-ville)… Autant dire que les lois de la sectorisation des établissements scolaires sont impénétrables… Mais je n’en changerai pas !

J’ai donc pu faire littérature et société au lycée, 1h30 par semaine. Le cycle était divisé en deux  parties : la première moitié avec une professeure d’histoire, et la seconde (et actuelle) avec un professeur de français.
Pendant la première partie, nous avons parlé des discours d’hommes célèbres (Pétain, De Gaulle, André Malraux en hommage à Jean Moulin, Luther King, François Hollande !). C’est dommage de n’avoir pas eu le temps d’en parler au collège à l’occasion des cours d’histoire ou de français, mais l’année est courte et les programmes sont longs…
Puis, comme notre professeure apprécie l’époque de la Shoah, notre objet d’étude (au « collège titre de séquence ») a été « La Shoah au cinéma ». Et alors imaginez trente-cinq Adolescentes dans une salle aux sept fenêtres aux volets fermés (pour ceux qui fonctionnent…), avec devant eux « Nuit et Brouillard » (doux souvenirs…), « Au revoir les enfants », « le pianiste », « Amen », « la liste de Schindler », « la rafle »… Très joyeuse période !
          Actuellement, notre objet d’étude avec le professeur de français est : « les représentations du pouvoir du XVIIe au XIXe siècle ». Alors, nous devons, les autres zélèves de L.S. et moi, faire par groupes de trois un exposé sur un tableau qui représente le pouvoir d’un homme,  d’une femme, d’un régime politique. Tandis que certaines de mes comparses ont eu la chance d’étudier les tableaux de Napoléon, de Louis XIV ou d’Henri IV, mon groupe doit étudier la « Réception des ambassadeurs siamois par l’empereur Napoléon III », de Jean-Léon Gérôme… Autant dire que les renseignements sont plus rares dans les livres….

Enfin, vous avez le choix entre de multiples options, choisissez ce qui vous plaît : pour ma part, j’ai choisi L.S. parce que je voulais faire S et donc profiter pendant un an de toute la beauté de la littérature française.

Cela me permet alors d’aborder le sujet de l’orientation !  Eh oui, encore elle ! Et vous en entendrez parler à nouveau en Terminale (les pauvres, quelle pression ils ont avec les APB, admission post bac ou le choix de l’école qu’on veut faire après le lycée).
En seconde, c’est le choix de la filière. Alors, pour les générales, il y a les classiques L, S et ES, mais un nombre complètement fou de filières technologiques, à commencer par la STMG. Mais ce n’est pas la seule : il y a aussi ST2I, STI2D, ST2A et c… Autant dire qu’arrivé devant la feuille, soit on a fait les recherches et on sait ce que veulent dire ces acronymes, soit on est complètement perdu, puisqu’au lycée, l’autonomie veut aussi dire « Débrouillez-vous pour choisir votre orientation, et si nous pensons que vous pouvez le faire vous le ferez ».
Je ne veux pas bifurquer dans une première technologique, du coup, pour définir mon avenir, j’ai le choix entre Scientifique, Littéraire et Economique.
 
          J’ai toujours voulu faire S. Je voyais mon avenir déjà tracé : Bac S, Faculté de médecine puis médecin. Mais… Le lycée c’est aussi une remise en question de tout ce qu’on pensait depuis le début. Voyez-vous, en fonction de leur discipline, les professeurs essaieront de vous convaincre que telle filière est mieux que telle filière… Mais… Voilà j’hésite ! Je me sens plus littéraire que scientifique ! Je préfère commenter des textes plutôt que de résoudre des équations à une inconnue…
« Mais en L, on trouve moins de métiers qu’en S ». Pas forcément si l’on a une idée précise de ce que l’on veut faire… Et voici que je me retrouve à rêver de Sciences Po, une école où l’on peut étudier beaucoup de matières intéressantes, et que beaucoup
  de politiciens ont fait avant de faire l’ENA (école nationale d’administration, qui forme les hauts fonctionnaires)… Mais voilà, j’aimerais faire du droit international, pour une ONG un jour peut être… Mais ce n’est pas mon seul « rêve »…

Le lycée, c’est un sacré chamboulement de tout ce qu’on est… Bon courage à vous, futurs lycéens, futurs apprentis, bon courage aux futurs-ex troisièmes…

(Pardon pour les 1065 mots !)

Jan
17
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 17-01-2017

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Cernée par les zados : au collège, à la maison, les zados sont partout ! A la maison, domaine privé : tabou, secret, pudeur, nous n’évoquerons pas les zados-persos. Contentons-nous des zados-boulot : il y a déjà assez à dire…

Une histoire de fenêtres

Faites entrer 26 zados dans une salle de cours comptant 4 fenêtres : on apprécie la grandeur d’une salle de cours à son nombre de fenêtres : 4, c’est pas mal, quand on a  commencé sa carrière dans une salle à 3 fenêtres, laquelle a, depuis, été décloisonnée pour fusionner avec la salle voisine, et arbore crânement ce jour 7 fenêtres – 4 + 3, tiens…-, mais c’est la salle de Mme Etienne, pas la mienne 😉 Le problème, c’est, le soir, de fermer à la main les volets des dites fenêtres puisque, non, du côté Mosquée du couloir, nous n’avons pas de volets électriques : tout à la force du biceps… Côté Targé du couloir, ils ont des volets électroniques, mais ce doit être pour les zanciens : mon vénéré collègue et néanmoins ami Mastorgio fait cours côté Targé, je dis ça, je dis rien… M. Aimé doit bien avoir 5 ou 6 fenêtres, côté Mosquée… Notre cher Santa Cruz en totalise au moins 9, côté Targé. Je m’égare.

Faites entrer 26 zados compressés dans une salle de cours de 4 fenêtres, disais-je. Déjà, ça tient. Depuis que Steve est arrivé, plus de chaise de rab, on affiche complet.

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Enfin, bienvenue à Steve, on n’aime pas les chaises vacantes 😉

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Cinéma Epishoah

26 zélèves, 4 fenêtres, volets clos : cet après-midi, c’était cinéma en salle 305. Dans le cadre de notre Epishoah (EPI Shoah pour les non initiés), nous regardions La Vague : ou comment des zados peuvent-ils tomber dans le piège du totalitarisme ? La Vague, un film validé par le susdit Mastorgio, plaît aux zados. On y trouve tous les ingrédients du bon film d’ados, et ceux-là savent le reconnaître :

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  • des zados
  • une intrigue politique
  • une intrigue amoureuse
  • un registre de langue familier
  • un univers ado un brin trash
  • des figures adultes peu responsable, voire déviantes
  • un coup de feu inattendu pour clore la scène et mener l’intrigue au point de non retour (combien d’entre mes zados ont sursauté, naïfs qu’ils sont… Ce coup de feu était pourtant si prévisible…)

Catharsis, bruit et fureur

En bref, la catharsis fonctionne à merveille !   L’idée de catharsis, telle qu’Aristote la formule dans sa Poétique, fait partie des concepts traversant l’histoire du théâtre. Les actions des personnages et leurs issues souvent funestes, dans la tragédie, susciteraient la crainte et la pitié et le spectateur se verrait alors allégé, purgé, des passions dont il vient de voir la représentation scénique. (merci Wikipédia)

La plupart de ces zados-là ont, dès les premières scènes, compris le piège dans lequel tombaient les protagonistes du film : les mots “influençables”, “propagande” et “manipulation” fusaient dès la première demi-heure… Pour les autres, allez, estimons “les autres” à… 10 chaises peut-être ? ils (elles ?) ont passé deux heures à ricaner, bavarder, pester, à tort d’ailleurs, contre le personnage de Mona, la première, pourtant, à avoir décelé le danger du jeu de rôle proposé par le prof,  à se faire remarquer quand il aurait fallu, peut-être, simplement se taire.

J’ai mal à mes zados nombrils de classe, à mes zados bruyants, à mes zados remuants : de là à imaginer en passer un(e) par la fenêtre (la 4ème, bien sûr), il n’y a qu’un pas que la déontologie ne me permettrait pas de faire 😉 A moins que ce ne soit la loi… Enfin, quel métier difficile que celui qui ne permet même pas de regarder un film en paix 😉

 

 

 

Mes chers zélèves de 3è2 comprendront le message : contrairement à ce que je leur disais cet après-midi, on trouve des traductions du tristement célèbre Mein Kampf sur Internet… Mea culpa : je me suis trompée… D’ailleurs, le sujet de sa réédition fait fureur (sans jeu de mots) en Allemagne : o tempora, ô mores…

“L’édition commentée de Mein Kampf d’Adolf Hitler, ouvrage publié en Allemagne en janvier 2016 pour la première fois depuis 1945, s’est imposée comme un succès en librairie avec 85.000 exemplaires écoulés, a indiqué mardi son éditeur.”

http://www.directmatin.fr/monde/2017-01-03/allemagne-mein-kampf-rencontre-le-succes-en-librairie-745882

http://www.lci.fr/livre/l-edition-critique-de-mein-kampf-d-hitler-a-ete-un-succes-editorial-en-allemagne-2019982.html

Que n’a-t-il réussi le concours d’entrée à l’Ecole des Beaux Arts, décidément ?…

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Oct
26
Classé dans (Des nouvelles des anciens) par Le P'tit Blédart le 26-10-2016

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Au lycée, en cours de patrimoine (c’est un enseignement d’exploration), on devait faire un exposé sur le sujet que l’on voulait, à condition que ce soit un sujet patrimonial. Certains groupes ont choisi l’histoire de la ville de Paris ou encore la gastronomie et d’autres même, un thême sur les collectionneurs. Mais moi, mon groupe, de TOUS les sujets existant sur Terre, elles ont choisi les Barbies.

C’est juste le sujet le plus ennuyeux pour un garçon (en général). C’est barbant. Franchement, je m’en fiche complètement de savoir à quoi ressemblait la première Barbie ou encore combien de films ont existé sur cette poupée adorée des jeunes filles… Mais le pire dans cette histoire, c’est que cet exposé n’est même pas noté, ça veut dire que je me “tue” à rechercher des informations sur une chose pour qu’au final je ne sois même pas récompensé. Sérieusement, c’est honteux.

Bon, il y a quand même un point positif dans l’histoire (et encore y avait intérêt), c’est qu’on m’a pas forcé à regarder un film de cette mini star. Bref, un petit conseil ; ne vous mettez jamais avec des filles quand un sujet est libre !! Elles sont folles ! 😵

Sep
29
Classé dans (Des nouvelles des anciens) par barongremillet le 29-09-2016

Le jeudi 15 septembre, nous avons eu la visite d’une ancienne élève “Stella Rivière”qui, elle aussi, a fait l’option média voici quelques années.

Elle nous a raconté toutes les étapes de son parcours professionnel :

  • Elle a eu son brevet avec mention bien.
  • Elle a ensuite été à Branly pour faire littérature et société.
  • Elle a ensuite fait un bac ES.
  • Elle est entrée à L’IUT de Châtellerault, en technique de commercialisation.
  • Elle est actuellement présidente du Bureau des Etudiants de l’IUT.
  • Elle a fait un stage dans Women Curve pendant 1mois (à Paris), sa première cliente était une journaliste américaine, ensuite “Marianne James” (chanteuse française) et elle compte faire un 2éme stage chez eux.
  • Elle va passer son diplôme universitaire technologique (D.U.T)
  • Elle va ensuite s’orienter vers une licence pro pour aller dans un lycée de mode.

Elle, c’est Stella. Elle nous a parlé de ce que l’option media lui avait apporté, à l’époque où elle était en 3ème. Pour comprendre, lisez un de ses poèmes :

Nous, les rondes

On s’trouve trop grosses et pas belles

Mais notre sourire est éternel

On n’a pas besoin de rembourrage

Mais par rapport à d’autres on se lâche

On a le droit de s’exprimer que je sache ?

Qu’on soit mince, grosse, noire ou blanche

Alors, courage !!

Finis tout ces complexes

Ils ne sont plus que poussière

Bonjour monsieur le miroir

Ca y est, je te sors du placard

Pour enfin me voir

Sans me tracasser des autres regards

On fait peut-être du quarante six

Et non du trente six

Mais on n’a pas besoin de ceci

Pour être jolie !!

(Stella à 15 ans)

Grâce à cet article, elle a un déclic et décide de s’assumer car, il faut le dire, elle ne fait pas partie de toutes ces filles minces. Le déclic provient de tous les commentaires encourageants sur son poème, elle va donc poursuivre en faisant des stages dans la mode grande taille et va donc de mieux en mieux s’assumer.

Physiquement, Stella est grande (trois têtes de plus que Louis !), forte, elle en impose, on la remarque. Elle s’habille bien, elle a un très joli visage, elle est maquillée, mais pas trop (on sait pas trop, les yeux charbonneux ? Contouring ? On n’est pas à la pointe de l’info mode, mais Stella avait les yeux maquillés 😉 ). Son sourire (elle sourit tout le temps de l’interview), son visage respirent la joie de vivre (comme Louis, mais en plus mûr…). Par rapport à la photo de ses 15 ans, elle a peu changé : elle s’attache les cheveux… Elle dit qu’elle assume aujourd’hui ses rondeurs.

(Stella entourée des vos zhumbles rédacteurs)

Ca nous a touchés d’entendre son témoignage : elle s’assume en tant que femme, elle s’assume en tant que femme sans complexes. Il y en a d’autres qui ne s’assument pas du tout. Elle fait abstraction du regard des autres. Elle a réussi à faire d’une faiblesse une force !

Kelly et Louis, pour Le Torchon.

Sep
16
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 16-09-2016

Quel bonheur de recevoir en séance extraordinaire d’option media une ancienne élève : Stella est revenue ! Comme la Mathilde de la chanson… Stella est revenue, et son éternel sourire aussi.

Ce qu’elle nous a raconté, ce sont les zélèves qui vous l’écriront, mais qu’ils n’oublient pas d’évoquer ce sourire, cette lumière quand Stella raconte…

Un très grand merci à toi, Stella, pour avoir eu le courage de (re)venir jusqu’à nous, et d’avoir exprimé avec autant d’intelligence et de sincérité tes émotions : on retiendra la joie, celle d’avoir dépassé les angoisses liées à l’adolescence et réussi à faire d’une difficulté un atout 😉 Félicitation à toi, la vie te sourit, et on aime que la vie soit juste !