Juin
13
Classé dans (Je suis Charlie) par Louis le 13-06-2017

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L’option média est un atelier qui est encadré par deux professeurs : Madame Dibot, professeur de français et Monsieur Aimé, professeur d’histoire. Cet atelier a lieu 1h00 par semaine en 4ème et 2h00 en 3ème. Ces heures supplémentaires nous sont bénéfiques :

1-  Enrichissement de la culture personnelle (en Histoire, en Français, sur le monde, l’actualité…)

2- Cela pousse à la curiosité.

3- On créé des liens avec des élèves que l’on ne connaissait pas forcément.

4- Une façon de ressortir sa créativité à travers l’écriture.

5- Des heures où les règles sont assouplies, “on peut se lâcher” tout en étant cadrés.

6- On est évalué sur nos productions, les notes tournent quasiment toutes aux alentours de 15 et 20, de plus, certaines compétences peuvent être validées.

Il s’agit vraiment d’une option qui peut rapporter gros d’un point de vue culturel, social et au niveau scolaire. Durant l’année, on participe à plusieurs formations sur les réseaux sociaux et leurs faces cachées, atelier montage photos … On participe aussi à des concours académiques de journaux scolaires.

Voila deux ans qu’on est en Atelier média : ce qui nous a attirés, c’était le fait d’avoir de bonnes notes facilement, juste avec 1 h de plus dans notre emploi du temps. Mais, au final, ça nous a vraiment plu, dans la mesure où on a aimé le fait de pouvoir s’exprimer à notre manière à travers l’écriture. Ça nous a aussi permis de progresser en orthographe, en écriture. Ça nous a poussés à nous intéresser à l’actualité et à des sujets auxquels jamais auparavant on ne se serait intéressés.

N’Aïssita et Louis.

 

 

 

Juin
13

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Selon moi, la politique, les politiciens et tout le tralala qui va avec, ce ne sont que des “hypocrites “, des “traitres” et des “infidèles “(je ne généralise rien, il faut le savoir, je caricature un peu la chose, rien de méchant ).

Certains me diront : “Tu ne fais que répéter ce que les gens disent”,  sachez que non. Je prends pour exemple M. Hollande qui avait promis “Le droit de vote des étrangers aux élections locales”, une promesse qui n’avait pas cessé d’être repoussée et les conditions pour y parvenir n’étaient pas réunies (un petit conseil, ne jamais promettre quelque chose si on n’est pas sûr d’y parvenir).

Deuxième exemple : “L’inversion de la courbe du chômage “. Cette promesse a été tenue à moitié sur 5 ans, au total, il n’y a eu ne baisse que de O,3% et le nombre de chômeur a augmenté de 550 000 depuis Mai 2012.

M. Valls, lui, c’est vraiment un cas à part : pour moi, c’est “un traitre”. Tu te présentes aux primaires, tu perds, tu dis soutenir le gagnant de TON parti pour ensuite faire quoi ? Le trahir et soutenir un autre candidat ! Le mot fidélité, je crois pas qu’il en connaisse vraiment la définition. Enfin bref.

Madame Le Pen, alors elle, je la comprends pas, mais du tout : elle dit que l’antisémitisme, le racisme, tout ça c’est fini mais c’est compliqué de la croire vu qu’elle est du Front National !Crédibilité zéro : entre nous, on  sait bien que si Madame Le Pen avait gagné, la seule chose qu’elle aurait provoquée, c’est une guerre civile…

Moi, personnellement, la politique, je m’y suis intéressée, mais après, je me suis très vite lassée. Il faut dire que ces derniers temps, il est compliqué d’éviter de parler du sujet, il est présent partout. La victoire de M. Macron, moi, je m’en contre fiche mais complètement, mais franchement. Moi, la seule chose que je fête, c’est la défaite de Mme. Le Pen et rien d’autre. Voila pourquoi la politique, je m’en contre fiche.

Mai
23
Classé dans (Je suis Charlie) par jaime le 23-05-2017

Tout a commencé par cette phrase prononcée par une de nos élèves suite à l’attentat de Manchester. “Avant, les attentats, ça me choquait mais, maintenant, les attentats, franchement, c’est banal”.

Oui, malheureusement, et même pour les plus jeunes, l’horreur devient banale. L’attentat contre Charlie Hebdo a surpris par sa cible, ceux du Bataclan par leur ampleur et celui du 14 juillet à Nice par son mode opératoire.

On s’habitue au pire, mais on a aussi une tristesse à géométrie variable. Plus l’évènement est proche, plus il touche des gens qui nous ressemblent, plus on se sent impliqué.

Ainsi j’ai été durement touché par l’attentat de Charlie Hebdo car c’est le journal de ma jeunesse, celui que j’achetais en allant au lycée, celui que je lisais sur les bancs de la fac et celui qui, avec humour, partage une grande partie de mes idées.

Lors de l’attentat du Bataclan, ce sont les trentenaires, les fans de musiques qui furent touchés dans un quartier où je dinais quelque jours avant. D’autant plus touché que des amis se trouvaient près des lieux et ont vécu l’horreur au plus près. Touché aussi car quelque jours plus tard, j’apprenais la mort d’un de mes anciens enseignants de géographie dans la fosse du Bataclan.

On appelle cela la “Mort Kilométrique” ou encore la “loi de proximité”. Ainsi, j’ai toujours été plus interpellé par les drames se produisant dans les lieux que je fréquentais ou que j’avais visité (Londres, NYC, Jordanie, Paris…).

 

 

 

Encore une fois, la fiction va rentrer dans la réalité : le projet de film, dévoilé lundi, risque de susciter beaucoup de réserves de ce coté-ci de l’Atlantique. En marge du festival de la Berlinade qui s’est tenu  jusqu’au 18 février, des producteurs américains ont annoncé préparer un long-métrage se déroulant durant les attentats du 13 novembre 2015. Des attaques au cours desquelles 130 personnes avaient trouvé la mort.

Son titre ?  «Violent Delights», soit littéralement «Plaisirs violents» cette expression est une référence à une réplique dans “Romeo et juliette” de Shakespeare «These violent delights have violent ends» (Ces plaisirs violents ont des fins violentes).

Le tournage est prévu pour cet été, d’après Hollywood Reporter, le film suivra les destins croisés de groupes de musiciens et d’étudiants en art d’un côté, et, de l’autre, un jeune homme issu d’une famille d’immigrés. L’un des rôles principaux sera celui du chanteur d’un groupe de rock, Jack Kilmer, le fils de Val Kilmer qui a été vu récemment dans «The Nice Guys», avec Russell Crowe et Ryan Gosling. Mais d’après Variety, la référence de l’actualité du cinéma aux Etats Unis, il se serait retiré du projet .

Le nom de Tim Magomedgadshviev  a été entendu pour le rôle du jeune homme immigré. L’acteur avait déjà fait son apparition dans un casting pour les deux derniers films des frères Dardenne, «Deux jours, une nuit» et «La Fille inconnue». Ceci devrait être donc le premier long métrage de Rachel Palumbo.

Le tournage est prévu pour cet été, entre Paris et Los Angeles. Et, apparemment, ce film ne plait pas beaucoup aux internautes, sur Twitter les internautes trouvent que la sortie de ce film ne sert à rien, que c’est une “idée de merde” (bonjour le langage sur Twitter)  de sortir ce film à propos de ces attentats, il y en a qui savaient que les américains allaient sortir un film sur ces attentats du 13 Novembre . Ceux-ci , je pense que ça les affecte de se remémorer les désastres du 13 Novembre dans un film.

Mais moi , je trouve ça intéressant que les américains fassent un film sur les attentats de Paris , ça prouve qu’il s’intéresse à la France et ce qui se passe dans d’autres pays. Rachel Palumbo n’est pas la première à faire ou plutôt à s’être inspirée des attentats, car, oui, d’autres films ont étés inspirés d’attentats : Redacted ( 2008), Au nom de mon père (1993) , et d’autres … La plupart de ces films sont inspirés de faits réels.

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Prisca

Fév
26
Classé dans (Je suis Charlie) par Louis le 26-02-2017

Le totalitarisme : le totalitarisme désigne un régime politique  dans lequel un parti détient la totalité des pouvoirs et ne tolère aucune opposition.

Prenons l’exemple de La vague , un film de 2009 : C’est un lycée en Allemagne dans lequel un professeur fait un atelier sur le totalitarisme et il demande à ses élèves si une nouvelle dictature est possible et les élèves disent qu’en Allemagne , une dictature ne verra jamais plus le jour.

Donc, le professeur va en créer une sous forme de jeu de rôle pour prouver à ses élèves qu’ils ont tort, en imposant des règles comme, par exemple, le port d’une chemise blanche ou encore un symbole, un salut. Ils décident ensemble de nommer cette dictature La Vague.

Nous voyons dans ce film que les élèves sont plus soudés mais ils rejettent les autres qui ne font pas partie de leur groupe. Je pense que le réalisateur a voulu passer un message à travers ce film  car ce film est tiré d’une histoire vraie et on voit bien que des élèves arrivent à se faire entrainer.

Aujourd’hui, si on prend une classe d’élèves de George Sand, je pense que les élèves ne se laisseraient pas faire. Je pense qu’il y en a qui ne voudraient pas porter la chemise blanche -un uniforme- et d’autres qui ne respecteraient pas les règles. Je pense que cela ne serait pas possible aujourd’hui.

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Voila une image explicite qui représente bien les effets du totalitarisme.

La main est disproportionnée par rapport aux humains, ce qui montre l’emprise des personnes qui lisent leur journal.

Louis.

Fév
21
Classé dans (Je suis Charlie) par Agnès Dibot le 21-02-2017

Évangile de Luc, 6, 41 : « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil à toi ! “

(La parabole de la paille et de la poutre par Domenico Fetti)

Diantre, fichtre, ciel ! Mais qu’arrive-t-il à notre Torchon laïque ? Voilà qu’on y cite les Evangiles, à présent ? T’endez, t’endez… Patience… Cette parabole, il faudrait aujourd’hui la prendre à l’envers : je m’en explique. Voici peu, j’avais rédigé dans ces colonnes mes doléances au sujet de mes zados, mes zélèves, à qui je reprochais de ne pas savoir suivre un film (La Vague, pour celles et ceux de nos zinternautes qui suivent) sans bavarder…

Je voyais la paille dans mon œil (d’où la parabole à considérer à l’envers). Je n’avais pas vu la poutre dans l’œil de mes voisins.  Je m’explique : mes zélèves sont bavards quand ils regardent un film, certes : et encore, il semblerait que je mette le curseur tolérance aux bavardages proche du zéro… Donc, mes zélèves seraient bavards, et je serais, en vieillissant, devenue intolérante au bruitage de bouche (“On parle pas, M’Dame !”).

Aujourd’hui, j’ai choisi d’emmener mes zados perso (par opposition aux zados boulot, toujours pour celles et ceux de nos zinternautes qui suivent) au cinéma, voir le film Un sac de billes, adapté du roman de Joseph Joffo.

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A Châtellerault, au Loft : salle vide à notre arrivée, mais notre tranquillité fut de courte durée. La porte s’est ouverte peu après que mes zados eurent ouvert leurs sachets de bonbons et leur boisson favorite, sur une fratrie gouaillante : “P… on a une salle de M… !” qui, sans se préoccuper de saluer qui que ce soit, s’est installée devant nous. Jusque là, rien de trop choquant. Non ? Les pieds sur les fauteuils de devant ? Non plus ? Soit. Mes pauvres zados persos n’ont pas intérêt, eux, à tenter un seul orteil sur les fauteuils de devant, mais chacun sa méthode éducative… Là où le bât m’a blessée, c’est quand la jeune ado, aînée de la fratrie (la plus haute de taille), a renchéri par un tonitruant : “Salle de M… Déjà qu’y a rien à faire à Châtellerault, ville de M…”. A sa mère qui tentait (mollement ?) de la faire taire, la gracieuse jeune demoiselle a répondu : “Déjà, si on virait tous les immeubles des Noirs, ça irait mieux”…

Nous sommes d’accord ? On peut être choqués d’un tel propos ? Son voisin (frère ? Copain ?) a tenté une réponse nuancée : “Laisse les Noirs, tu veux”. Réponse couperet : “Je n’ai aucun problème avec ce que je dis !”. Ah non, elle avait bel et bien dit ce qu’elle pensait.

Je me suis demandé dans quel collège de la ville cette jeune fille était inscrite. Pas le nôtre. Dans notre collège, ce genre de propos n’existe pas. Je n’ai donc plus mal à mes zados, finalement : ce que j’avais dans l’œil, l’autre jour, n’était qu’une paille, en comparaison de la poutre dans celui de mes collègues qui ont à instruire cette demoiselle-ci (ou de sa mère, peut-être ?)

Qu’a bien pu comprendre cette ado du magnifique film que nous avons vu cet après-midi ? Assurément rien. Mes zados boulot auront le bonheur de le voir dès la semaine de la rentrée : en silence 😉 par respect pour les autres spectateurs.

Fév
17
Classé dans (Je suis Charlie) par machirafi le 17-02-2017

En effet, le lycée pour filles de Pretoria en Afrique du sud , aurait appliqué un règlement raciste interdisant les coupes afros et aurait obligé ses élèves à se lisser les cheveux .

Tout serait parti d’une histoire de cheveux, Zoulaikha Patel une lycéenne de 13 ans aurait été menacée d’exclusion après avoir refusé de se lisser les cheveux pour les attacher .

Cette raison a fait bondir plus d’un membre de la communauté pour faire signer une pétition contre cette règle capillaire absurde et pour qu’elle disparaisse, mais Zoulaikha Patel n’est pas la seule à avoir été menacée pour sa coiffure, plusieurs élèves noires ont exprimé leur ras-le-bol.

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Je trouve très injuste d’expulser une élève pour sa coupe de cheveux. La question que je me pose est : pourquoi faire un tel règlement dans un pays africain où la plupart des jeunes filles ont les cheveux afros. Pour ma part, j’espère que dans mon collège il n’y aura jamais ce règlement vu que je ne serais pas d’accord étant donné que cela va à l’encontre de la nature de nos cheveux .

 

Les cheveux qu’ils soient crépus, lisses, bouclés… ça reste la beauté de la femme.

 

 

Fév
14
Classé dans (Je suis Charlie) par barongremillet le 14-02-2017

Un abécédaire consiste à piocher une lettre de l’alphabet et faire une fiche qui nous informe sur le mot qui a été choisi par apport à la lettre ; cette fiche est composée de photos et de petits textes, tout ça doit loger sur une feuille.

Quand, en Histoire, on parle de l’histoire de la première guerre mondiale, puis de la Shoah, ça commence à faire beaucoup : tout ceci nous bouleverse. Encore plus quand on se met à parler de tout ça en cour de Français!! Tout ça dans le cadre d’un E.P.I.

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(fosse à cadavres)

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(Rail de train qui arrivait dans le camp d’Auschwitz Birkenau)

 

 

 

 

 

 

 

 

Moi, par exemple, en Histoire, je dois faire un abécédaire sur la Shoah avec la lettre “F” comme le mot “Fosse à cadavres”, bien évidement, j’aurais préféré tomber sur un mot moins gore, piocher une autre lettre, comme I ou G pour Ida Grinspan, par exemple. Je ne me rendais pas vraiment compte de ce que c’était jusqu’à hier où j’ai commencé à faire des recherches, j’ai commencé tout d’abord par faire des petits texte en m’aident de mes connaissances apprises en Histoire, j’ai ensuite été sur internet afin de compléter mon travail mais en voyant tous ces morts, ces cadavres dans les fosses, tués dans de mauvaises conditions et de terribles conditions, cela m’a terrifiée et m’a fait froid dans le dos.

Une fosse à cadavres servait à y jeter les cadavres des juifs morts, après avoir été gazés au Zyklon B (gaz très toxique). Les cadavres des morts étaient sortis des chambres à gaz par les Sonderkomando  qui, eux aussi, étaient juifs mais aptes à travailler dans les camps de travaux forcés.
Il n’y avait aucun respect de la personne vivante comme morte car, après être gazés, ils étaient traînés jusqu’aux fosses. Les fosses à cadavres étaient très éloignées du reste du camp de travaux forcés et d’extermination afin que les déportés qui arrivaient ne se doutent pas de ce qui allait leur arriver.

On voit sur la photo ci-dessous des déportés attendant au fond du camp de Birkenau, sans se douter qu’ils sont près des chambres à gaz dans lesquelles ils vont mourir…

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Baron Gremillet Kelly.

Fév
09
Classé dans (Je suis Charlie) par parthur le 09-02-2017

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Le weekend  dernier,  à Aulnay-sous-Bois, en Seine Saint Denis, un jeune homme nommé Théo, s’est fait frapper et VIOLER par quarte policiers.

Au début, c’était juste les policiers qui étaient venus pour une interpellation. Théo, lui, a témoigné que les policiers l’avait frappé brutalement, qu’ils l’auraient traité de “bamboula, de négro et de salope”, ils lui ont même craché dessus. Le pauvre Théo a essayé de se débattre mais à 1 contre 4, ceci est bien difficile. Les policiers n’en sont pas restés là : l’un des policiers a sorti sa matraque, et la lui a enfoncée dans les fesses. La grande sœur de Théo, elle, qui rentrait du travail ce jeudi après-midi, raconte être arrivée juste après l’interpellation. Elle témoigne qu’un des jeunes du quartier est venu vers elle et lui a dit, “Théo a été embarqué, on n’a rien pu faire, on a été gazés. Désolé.” De plus, ce jeune lui a tendu une basket de Théo, c’est tout ce qu’elle a récupéré de son frère.

Sa sœur appelle donc ses frères, l’un deux s’est rendu au commissariat et dit avoir vu Théo le visage tuméfié partir en fauteuil roulant pour l’hôpital. En réalité, la famille va apprendre que leur fils n’a été pris en charge à l’hôpital que sur les coups de 22 h. Enfin, devant les médecins, Théo s’est plaint de ” saignements à la bouche et à l’anus”. Les infirmiers de l’hôpital ont bien trouvé des “lésions importantes” ce qui correspondrait à l’intrusion d’un objet.

Bien sûr, la version des policiers est vraiment différente. Les policiers disent clairement  que le jeune homme (Théo) aurait réagi comme ses amis et aurait donné une claque à l’un des fonctionnaires, mais ils reconnaissent avoir donné des coups de bâton télescopique car ils ne parvenaient pas à maîtriser ce grand costaud. Sur les caméras de surveillance, on peut voir que les policiers donnent des coups au jeune homme au niveau des jambes et on le voit tomber. Certaines personnes ayant vu la vidéo disent que cela ne ressemblent pas à des connotations sexuelles.

“Apparemment, une cinquantaine de personnes étaient présentes sur les lieux, explique un policier. Toutes les images de la video-surveillance sont en cours d’examen, tout comme la matraque télescopique du fonctionnaire qui aurait servi à commettre les violences. Tous ces policiers appartenaient à la brigades spécialisée de terrain (BST), ce sont des agents sectorisés sur les zones sensibles ou en cas de violences urbaines. Ils sont là pour faire de l’interpellation, précise un policier qui ajoute qu’il serait « consterné si les faits étaient avérés ».”

La famille de Théo a annoncé son intention de déposer plainte, «c’est inacceptable, nous ne pouvons pas en rester là.»

Si toute cette histoire est avérée, c’est vraiment horrible et honteux car on ne peut pas faire ça, surtout si on est de la police.

La police est sensée nous protéger…

#JUSTICEPOURTHEO                                                                                                                                       Prisca, Laila,Maria

“On dit que l’histoire est écrite par les vainqueurs, mais il ya quelque chose que je ne comprends pas: Pourquoi est-ce que nous sommes fascinés par les méchants ? Ils ont fait des choses horribles, et pourtant nous parlons d’eux comme de chefs militaires brillants et charismatiques. (…) Je déteste le fait que je ne connaissais rien sur les bonnes personnes mais tout sur les mauvaises. Je ne sais vraiment rien de le vie de Gandhi ni de celle de Nelson Mandela. Jusqu’à la coupe d’Afrique du Sud, je n’avais pas entendu parler de Mandela. Alors pourquoi j’en sais autant sur Staline et Hitler” ?

Nujeen Mustafa L’incroyable périple

Cette interrogation m’a réellement interpelée car je trouve ça vrai mais c’est mon point de vue. Moi pour ma part, j’ai mon petit côté vicieuse et méchante, je suis réellement fascinée par les méchants  et surtout les dictateur du style Hitler, Kadhafi, Staline ou encore Bahar el Assad et j’en passe, les terroristes et tout le trala car ils restent un réel mystère pour moi. Ce sont des hommes qui n’ont rien de spécial mais un petit rien peu faire qu ‘ils se retrouvent du le côté “obscur”. 
Prenant pour exemple Adolf Hitler : on entend parler de lui partout, il a été un des hommes marquants de la seconde guerre mondiale. Il est né le 20 avril 1889, son  père était  Alois Hitler et sa mère, Klara Polzl, mourira d’un cancer du sein, ce qui affectera profondément Hitler. Puis il voudra devenir artiste mais on l’a refusé à deux reprises à l’académie des beaux arts de Vienne et, vu qu’il n’était pas très futé mais très ingénieux pour trouvert des plans sadiques, bref, je m’égare, vu qu’il n’était pas très futé, il pensait que le comité de sélection était majoritaire ment composé de Juifs. Qu’est ce qui lui est passé par la tête pour penser ça ? Enfin bref, c’est ainsi que commencera  à naître son sentiment antisémite.
A l’école, dans les livres, aux infos, dans les films, les documentaires… On entend 7 jour sur 7 parler des “méchants”. Actuellement, les méchants, ce sont Donald Trump, Bachar El Assad, les décérébrés connus sous le nom de djihadistes ou terroristes, appelez-les comme vous voulez; c’est pas mon sujet. Pour en venir ou j’en étais sur la fascination pour les méchants : à vrai dire, ce sont des personnes instruites, de bon orateurs qui ont su mettre une stratégie en place, il faut le reconnaître, après tout… Mais malheureusement, ils n’ont pas su s’y prendre, ils n’ont pas su se comporter comme de bonnes personnes, des modèles. Au lieu de ça, ils sont des psychopathes assoiffés de sang, égoïstes assoiffés de pouvoir. Dans tous les cas, ce ne sont pas des bons motifs. En plus de ça, ils ont tué une masse de personnes dont on ne sait rien, ils ne sont que des chiffres, on sait juste qu’ils sont victimes d’un dictateur.
Je ne sais rien, je sais c’est qui s’est passé hier, je vis ce qui se passe aujourd’hui mais ce qui se passera demain est et restera un mystère, c’est comme ça et pas autrement .

 Nestoushh  3ème 2