Juin
24
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon, Non classé) par Eleve Dp3h le 24-06-2015

L’option DP3

La DP3 (Découverte Professionnelle 3h), est une option facultative en 3ème.

Cette option ajoute 3h de cours supplémentaire par semaine, mais il faut savoir qu’il n’y a pas de travail à la maison.

Cette option nous permet aussi de gagner des points facilement, au contrôle continu pour le brevet.

Tout élève de 4ème peut demander cette option (en rédigeant une lettre de motivation).

Nous avons pu effectuer différentes sorties :

  • ZI Nord : prospection des différentes entreprises, nous avons questionné des professionnels.
  • Leclerc : première visite pour découvrir toute la partie non visible aux clients (réserve, boulangerie, pâtisserie, boucherie, zone d’entrepôts des produits frais, poste de surveillance), une deuxième visite au cours de laquelle nous avons interrogé des salariés sur leur métier.
  • Exploitation Agricole à Saint Sauveur: céréalière et bovine. Découverte d’un robot de traite automatique (la vache est traite à sa demande, sa masse s’affiche automatiquement, et son lait est analysé en direct. Autonomie électrique des fermes, grâce aux panneaux solaires.
  • Snecma: visite de l’usine de réparation de pièces de moteur d’avion. Visite des différents cycles de réparation de pièces de moteur d’avion.
  • IUT de Châtellerault: Mesures Physiques, Réseaux et Télécommunication, Techniques de Commercialisation.

Dans ce groupe, cette année, nous sommes peu nombreux, ce qui favorise une bonne ambiance de classe et de travail, la bonne humeur est présente et nous avons pu faire de nouvelles rencontres. Il y a un bon esprit de la classe.

 

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Juin
04

Compte rendu de la sortie à l’exploitation céréalière :

Le Jeudi 9 Avril, la classe de DP3 à été visiter une exploitation céréalière. Elle était accompagnée de Madame Brunel et de Monsieur Dargenton.

Pendant cette sortie, nous avons pu interroger Charles agriculteur et propriétaire de cette exploitation il nous a renseignés sur différentes caractéristiques. Il travaille également en maintenance industrielle. Il a deux métiers à la fois.

Il a choisi ce métier car, c’est un beau métier et parce qu’il aime le contact nature et la polyvalence. La polyvalence signifie que dans ce métier on touche à tout.
Pour devenir exploitant agricole il faut un BAC +3 agronomie. L’agronomie signifie :
“Étude des relations entre les plantes cultivées, le sol, le climat et les techniques de culture, dont les principes régissent la pratique de l’agriculture” (source Larousse).
Il aime vraiment son métier parce-que on touche à tout. Charles, n’a pas effectué ces études sur Châtellerault il les a effectuées à Angoulême et il a eu la chance d’effectuer un stage aux Etats-Unis (Du Nord Dakota à la Floride). Ses horaires varient selon les périodes. En période de moisson, il travaille de 5h00 du matin à 1h00 du matin. Pour faire ce métier il faut de la rigueur, aimer la nature…

Une journée type se passe de la manière suivante :
-Bureau
-Tour des cultures
-Adaptation du travail selon la météo.
Ce qu’il aime le moins dans son métier c’est le contexte géo-économique (ne pas savoir combien il va vendre de céréales). Les céréales qu’il cultive sont le blé, le colza et le lin.
Impressions des élèves :
Constance : C’était intéressant. Cette sortie nous a permis de découvrir ce que l’on mange, le décor de la campagne etc.
Marjoline : C’était bien car nous avons vu des animaux.
Flora : C’était bien car on nous a vu comment cultiver des céréales etc.
Malcolm : C’était bien.
Christopher : C’était bien.
Matis : C’était bien.
Jules : C’était bien.
Lætitia : C’était intéressant.
Marius : C’était bien mais les odeurs étaient un peu gênantes.

Océane, élève de 3èmeDP3.

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La première semaine de Décembre, nous, les élèves de troisième devons effectuer un stage de cinq jours. Pour cela il faut faire des recherches et demander à plusieurs entreprises en leur donnant des lettres de motivation et/ou CV.

Le stage vu par les élèves

J’ai interrogé certains élèves d’option média pour savoir si ils en avaient trouvé un :

– Ophélie alias “La rêveuse” me confie être en attente de réponse pour faire un stage dans une école maternelle ou un centre de loisirs, elle a été acceptée dans un centre de loisirs à Cenon

– Maeva alias “La basketteuse” me dit avoir été faire signer sa convention au centre de soins des infirmières

– Mathilde alias “Poussin” m’apprend avoir fait une demande de stage dans la crèche Capucine et a enfin été acceptée.

– Léa alias “La zappette” m’explique en trouver un dans une école maternelle à Senillé

– Yannick alias “kinay” me raconte avoir trouvé son stage à la SPA de Châtellerault.

– Léa alias “Nando’s” me réplique avoir trouvé un stage dans un cabinet d’avocat à la cour.

Le stage vu par ma famille et moi-même

Par exemple, mon frère n’avait pas de projet pour son orientation, il a fait un stage de carrosserie et grâce à cela il a trouvé ce qu’il voulait faire.

Moi personnellement j’ai trouvé un stage dans une agence de voyages Richou en ville, cela a été dur car je voudrais devenir hôtesse de l’air, j’ai demandé à l’aéroport de Poitiers mais je n’ai pas été prise et je voulais me rapprocher du tourisme. Je voudrais être hôtesse de l’air car j’aime bien être en contact avec les gens et je vous avoue que j’adore voyager. Je suis allée voir des personnes qui travaillent dans un aéroport, elles m’ont affirmé que plus tard je n’aurais pas de vacances en même temps que les personnes qui m’entourent, ni le week-end, ou en tout cas parfois. Tout ça parait démoralisant cependant elles m’ont aussi confié que par rapport au salaire, les voyages sont un peu moins chers, bref il y aquand même des avantages et des inconvénients comme dans tous les métiers qui existent. Malgré tout le métier d’hôtesse de l’air m’intéresse toujours autant.

Juin
22

cadre 2eprix frontinus 2014
Le collège a participé cette année au concours national du Trophée Frontinus : c’est un projet qui a été mené par les élèves de la dp3 et des lycéens du lycée Le Verger en partenariat avec une entreprise de maintenance (ACTEMIUM) : il s’agissait de réaliser un petit film pour faire découvrir le secteur de la maintenance.

Madame Vaillant, Chef des travaux du LP Le Verger, est venue début janvier avec ses élèves et Romain, animateur culturel spécialiste en vidéo, pour nous présenter le projet ; Ils avaient déjà participé l’an dernier et remporté le 1er prix ! Nous avons donné notre avis, et nous avons accepté de participer. Plus tard, nous sommes allés retrouver madame Vaillant et ses élèves au Verger ; on a visité les ateliers et le secteur de la maintenance ; on a discuté de nos idées puis de la façon de les mettre en place pour en faire un film. Le scénario a été construit sous la forme de “micro-trottoirs” et nous avons réalisé plusieurs petits questionnaires. Romain est venu ensuite deux fois pour faire des séquences de tounage durant les cours de dp3.

Vendredi 13 juin, nous sommes allés à la remise des prix, organisée à l’amphithéatre du Lycée Branly :
il y avait quatre régions représentées : Alsace, Rhône-Alpes, Poitou-Charentes et la bourgogne
Nous avons visionné les quatre films puis le jury s’est retiré pour faire le classement des régions :
– La bourgogne remporte le 1e prix
– Poitou-Charentes est n°2 (c’est nous !)
– Alsace n°3
– Rhône-Alpes termine dernier, avec quelques soucis techniques dans la réalisation et la diffusion de leur film.

l.b.

Juin
29
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon) par Eleve Dp3h le 29-06-2013

Le 11 mars 2013, nous avons fait une sortie à l’usine Mécafi qui est située dans la Zone Industrielle Nord de Châtellerault. Nous étions douze 3èmes constitués d’élèves de dp3 et de 4 élèves volontaires de notre classe, la 3ème1.

Cette entreprise produit des pièces d’aéronautique principalement, pour plusieurs entreprises clientes (ex : Snecma , Thalès, Dassault …).

Nous sommes arrivés à 10h30 et nous sommes repartis vers 12h00.  La visite a donc été assez courte. Dès notre arrivée nous avons été accueillis par M. Viroulaud, un responsable de production, mais nous n’avons pas rencontré le patron qui est M. Accorsini.  Nous avons commencé par visiter l’atelier de production, en nous concentrant notamment sur les îlots d’usinage et de contrôle. Puis nous avons terminé en salle de réunion ou une autre personne nous a présenté un diaporama et apporté des explications sur son entreprise.

Durant la visite, nous avons vu plusieurs machines comme des tours et fraiseuses traditionnels ou à commandes numériques, mais aussi des robots industriels et plusieurs centres d’usinages capables d’usiner à grandes vitesses et comportant un très grand nombre d’outils ; ces machines produisent des pièces principalement en métal, pour l’aéronautique, l’automobile, et le secteur médical.

Voici un échantillon des pièces actuellement en production :  

Echantillon Mécafi 

Les pièces pour le secteur aéronautique sont usinées avec une extrême précision puis contrôlées de façon très rigoureuse pour respecter les exigences des clients. Les pièces pour le secteur médical sont des implants et subissent des traitements très particuliers pour pouvoir être acceptées dans le corps humain.

Un robot de production, en plein fonctionnement : il réalise ici l’ébavurage d’une pièce.

Ebavurage

Ebavurage

En résumé : Mécafi est une entreprise de production, c’est une PME, (Moyenne entreprise avec 160 salariés) de type privée, appartenant au secteur secondaire.

Nos impressions :

Noémie, Pauline : J’ai beaucoup appris sur la vie d’entreprise, j’ai apprécié la visite des robots de production.

Judicaël : J’ai bien aimé cette expérience car j’ai appris pleins de choses. J’ai apprécié de voir fonctionner les machines dans cette entreprise.

Lucie : J’ai beaucoup appris sur la vie d’entreprise, ça m’a beaucoup plu.

Nathan : J’ai bien aimé cette sortie car ça m’a monté le fonctionnement d’une entreprise et des machines.

Eloïse : J’ai bien aimé, j’avais déjà effectué un stage  d’une semaine la bas.

Julie : J’ai bien aimé. Cette sortie nous a permis de découvrir quelques métiers de l’entreprise.

Remarque  du professeur : Après cette visite, les élèves de dp3 ont effectué un deuxième stage en entreprise ce qui a retardé l’exploitation des informations recueillies. Ils ont cependant réalisé puis envoyé une lettre de remerciement, fait un diaporama, un panneau descriptif et cet article pour le blog. Un élève parmi les volontaires a également réalisé un compte rendu de sortie très complet. Nous remercions une nouvelle fois MECAFI pour nous avoir consacré du temps et pour leur accueil, en espérant pouvoir renouveler l’expérience une autre fois, avec un autre groupe.

Jan
14

Mon stage de quatre jours s’est déroulé à L’atelier de Maxime, qui est une boulangerie, située sur le Boulevard Blossac à Châtellerault. Ils sont 7 personnes dans l’entreprise, deux boulangers, un pâtissier,   un traiteur, la patronne et deux vendeuses. J’ai beaucoup aimé faire mon stage chez eux, c’était une très bonne expérience, il y avait une bonne ambiance, j’ai beaucoup fait de vente. Enfin je suis juste tombée sur une entreprise bien, la vendeuse m’a dit que dans certaines entreprises, on ne rigolait pas autant ! si cela avait été le cas, je pense que je n’aurais pas si bien apprécié. Sinon j’ai beaucoup appris sur le métier de vendeuse que je souhaite faire. Le premier jour où suis arrivée, je ne stressais pas.

Pour l’oral de stage, je ne stressais pas non plus, et je pense que cela s’est vue ; je n’avais rien préparé, j’ai juste dit comment  mon stage c’était déroulé, quand je ne savais plus quoi dire, je jetais un coup d’œil à mon rapport de stage sans le lire.

Elève DP3, L.

Jan
14

Présentation de mon stage.

J’ai effectué mon stage, dans une école primaire qui se situe à l’Est de Châtellerault, à St Sauveur.

J’ai plutôt bien apprécié cette semaine, même si ce n’était pas ce que j’aurais aimé faire. Suite à ces quelques jours dans le “monde du travail”, les 3° ont dû faire un rapport de stage et le présenter aux oraux. Personnellement «j’ai galéré». L’appréhension prenait un peu le dessus.

Pour le prochain stage, je m’organiserais mieux. ! ( :

Elève de DP3.  P.♥

Jan
14
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon, Non classé) par Eleve Dp3h le 14-01-2013

Julie et Eloïse :

Nous allons vous expliquer notre matinée spécialement consacrée aux métiers ferroviaires et qui était réservée uniquement pour les filles. Et pour finir nous vous dirons nos appréciations.

Nous avons pris le bus à 9h, accompagnées de notre professeur, pour aller jusqu’à la gare et pour partir au final à 9h30 de Châtellerault. Arrivés à Poitiers nous avons été accueillis par les professionnels de la SNCF. Nous sommes partis dans une salle regarder des vidéos qui nous expliquaient comment fonctionnaient les métiers ferroviaires ; nous sommes restés dans cette salle 1h30. Ensuite nous sommes partis voir des personnes travailler dans des bureaux. Pour aller ensuite dans une des cabines d’un conducteur de TER qui nous a expliqué le fonctionnement de toutes les manettes… Puis nous sommes partis au poste d’aiguillage qui se trouvait de l’autre coté des rails. Nous avons été pris en charge par un agent de sécurité de la SNCF qui nous a prêté des gilets fluorescents. Il nous a expliqué que l’on devait être silencieux pour ne pas déranger les personnes qui y travaillaient. Puis, une dame est venue nous chercher pour ensuite nous amener au poste. Arrivés en haut la dame nous a expliqué approximativement toutes les manettes, comment on devait les utiliser puis une fois dehors la dame nous a fait essayer une ancienne manette qui servait à bouger les rails. Nous avons redonné au bout du chemin le gilet jaune au monsieur.

En remontant vers le pont de la gare, nous commençâmes à manger nous avons fini notre repas dans la salle qui était faites pour passer les films. Pour finir nous sommes revenus après cette demi-journée bien remplie à la gare de Châtellerault en TGV. Puis arrivés à la gare nous sommes repartis au collège pour 13h45, juste à temps pour nos cours de l’après-midi !.

Les Appréciations :

Alicia : C’était intéressant, mais ils parlaient trop. Plus tard je prefererais me lançer dans d’autres métiers que j’ai déja en tete depuis longtemps .

Pauline : C’était cool.Je ne veux pas etre dans les métiers ferovières.

Lucie : C’était bien. Je voudrais aller dans une autre voie que dans celle-ci.

Noémie : J’ai bien aimé. Moi c’est pareil je veux me lancer dans une autre branche.

Eloïse : Bien, expérience à refaire. Je ne ferai pas forcément ce métier mais si je devais le faire je serais conductrice de Tgv .

Julie : C’était super, j’ai appris plein de choses, mais je ne ferai pas ce métier plus tard car j’ai peur de me lasser.

Nous vous mettrons des photos prochainement.

Jan
07

Demain, c’est la rentrée.  J’ai pu me reposer un peu pendant les vacances parce que, comment dire ? Le lycée, c’est épuisant.

Cela change tellement du collège ! Et d’un autre côté, pas tellement. Je pense que le gros changement, c’est le travail. Autant être sincère, au collège, 10 minutes de travail le soir me suffisaient amplement. Les travaux de compositions en français, c’était vraiment de la composition, quelque chose qui sortait de notre imaginaire. Maintenant, on fait des commentaires, des analyses littéraires, utilisant nos connaissances sur les procédés stylistiques.

On prend nos cours sur des feuilles, tout est dicté, ou presque.  Les cours sont beaucoup plus variés : Ayant prist l’option patrimoine, je me promène à Châtellerault pour en apprendre son histoire. Il y a l’ECJS : Education Civique Juridique et Sociale, qui approfondit nos déjà vus du collège.  Et le lycée, c’est aussi la liberté. On sort, on rentre, c’est un vrai moulin ! Et c’est assez plaisant.  On nous plus comme des adultes désormais.

Et pour parler du social, la maturité des élèves est changeante. Au collège, un pas de travers et tout allait mal ! Elle a ses talons? Elle se sent supérieure.  Elle est a fait ceci ? Donc elle est cela.  Au lycée, les gens sont un peu plus ouverts et acceptent les différences de style. Avoir les cheveux verts ? C’est pas si choquant.  Même si tu es en seconde, tu peux facilement être amie avec des terminales s’ils t’apprécient.

En conclusion, j’aimerais dire que le lycée est un changement positif. Quoi que, pour moi, ma moyenne en a pris un coup… Je vais travailler encore plus !

J’espère que votre année à vous sasse bien, faites les bons choix. 🙂

Déc
12
Classé dans (Les DP3 écrivent pour le torchon) par tdargenton le 12-12-2012

Le 12/12/12, il est plus de 12h12 et la journée est très singulière, surtout pour les superstitieux. La journée du jeudi 29/11/12 fût quant à elle une journée comme les autres… sauf peut-être pour un petit groupe d’élèves (au féminin pluriel) de notre collège, sélectionnées pour participer à une opération très spéciale… intitulée “les Girls’day”.

Les critères de recrutement pour cette mission ?
Etre des jeunes filles, donc, et faire partie de l’option dp3 heures (une option choisie pour le désir d’en savoir un peu plus sur les professions).

La mission pour ce petit groupe, en quelques mots ?
S’informer sur les possibilités de carrière dans un secteur encore peu féminisé et dans lequel une grande variété de métiers est possible autant aux femmes qu’aux hommes. Je n’en dirai pas plus sur le secteur en question qui concerne le transport ferroviaire…�
Car la mission consistera aussi a exploiter les informations recueillies pour réaliser un affichage prochain au CDI, et un article dans le torchon, afin de retransmettre la bonne parole aux camarades qui n’ont pas eu la chance de participer et qui pourraient être intéressés…

En attendant ces travaux, voici l’article paru dernièrement dans notre quotidien préféré, concernant cette mission qui n’est ni secrète, ni impossible :

http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2012/12/10/Des-girls-bientot-sur-les-bons-rails