Les expériences d’Oyonnax nous ont permis de mettre en évidence certaines caractéristiques qu’un planeur doit avoir pour pouvoir planer.
1ère expérience:
Nous avons froissé une moitié de feuille de papier, et nous n’avons pas froissé l’autre. Ensuite nous les avons fait tomber en même temps de la même hauteur. Nous avons remarqué que la feuille froissée tombait plus vite que la feuille non froissée.
Un planeur peut ressembler à une feuille de papier non froissée. L’air a plus de place pour porter la feuille, et de la même façon l’air « porte » le planeur grâce à ses grandes ailes.
2ème expérience:
Nous avons laissé tomber une moitié de feuille pliée en deux dans le sens de la longueur, puis nous avons recommencé plusieurs fois sans bouger de l’endroit où elle était déjà tombée et de la même hauteur . Nous avons remarqué que la feuille ne tombait pas très loin de l’endroit où elle était tombée la première fois.
Ce pliage nous a permis d’orienter la chute de la feuille.
De la même façon, les ailes d’un planeur forment un « Vé » pour orienter sa chute.
3ème expérience:
Nous avons plié une moitié de feuille en deux dans le sens de la longueur puis nous l’avons pliée en deux dans le sens de la largeur.
Nous l’avons ensuite lâchée d’une certaine hauteur. Puis nous avons recommencé plusieurs fois la même chose.
Ce deuxième pliage nous a permis de stabiliser la chute de la feuille.
Un planeur possède une queue (en forme « de croix ») qui lui permet de stabiliser son vol.
4ème expérience:
Nous avons alourdi la feuille en ajoutant des trombones d’un côté. Nous avons constaté que la feuille planait. Il a fallu choisir le bon nombre de trombones pour avoir le « meilleur » vol plané.
Un planeur semble avoir plus de masse à l’avant alors que l’arrière semble plus fin et plus léger.
Juliette MOREAU – 6C
Tags: ailes, orientation de la chute, planeur, répartition des masse, stabilité