Jeux Vidéos : passion VS addiction

D’abord, des chiffres qui parlent à eux seuls !

Près de 7 Français sur 10 jouent aux jeux vidéos régulièrement, et à tout âge.                                                                                               « En 2017, 46 % des Français de plus de 55 ans ont déclaré jouer à des jeux vidéos. La tranche d’âge la plus jeune, soit celle des 10-14 ans, est aussi celle qui joue le plus. En effet, 95 % des 10-14 ans ont affirmé être des joueurs ». (source : httpsfr.statista.com/statistiques/481002/proportion-gamers-francais-age-jeux-video/ )

Pourquoi cet engouement ?

Les jeux vidéos sont tout particulièrement en vogue grâce aux graphismes époustouflants qui rendent les jeux très réalistes, mais pas seulement.

Les jeux vidéos nous plongent aussi dans des histoires réalistes comme surréalistes, où nous pouvons contrôler un personnage auquel nous nous attachons, avec son caractère et sa vision du monde, qui se rapproche de ce que pourrait penser et faire une personne lambda.

Mais les jeux vidéos ont tous quelque chose qui les rendent uniques : leurs thèmes futuriste, fantastique ou encore historique nous transportent dans différents univers tous plus distrayants les uns que les autres.

Imposés par les créateurs, les différents modes de jeux : campagne, solo, multi-joueurs, ou en ligne, nous offrent également la possibilité de jouer seul ou entre amis.

De nos jours, les jeux vidéos sont le plus souvent en ligne, ce qui impose une certaine compétition rythmée. Plusieurs équipes s’affrontent, le suspense nous envahit et l’envie de gagner augmente. Gagner et gravir les échelons mondiaux nous rend fier de nous-mêmes, mais aussi de notre équipe envers laquelle nous sommes reconnaissants.

À l’heure où l’Organisation Mondiale de la Santé va jusqu’à qualifier l’addiction aux jeux vidéos de maladie, il serait bon aussi de tenir compte de l’avis des gameurs.

Sauf votre respect Messieurs-Dames de l’OMS, pour nous les gameurs, il n’est pas question d’addiction mais de passion !

Calista BAUDINE, 4°.