Le robot Curiosity sur Mars

Le projet d’exploration du cratère Gale

Le coût du projet

Comparaison du coût de programmes spatiaux. Sources : lemonde.fr

http://www.lemonde.fr/sciences/infographie/2012/08/07/curiosity-un-programme-spatial-pas-si-couteux_1743236_1650684.html

En noir, zone d’aterrissage visée, au pied d’une montagne de plus de 5000m. En bleu, trajet prévu pour aller chercher des argiles dans un canyon à flan de montagne. Source : mars.jpl.nasa.gov

 

Le robot Curiosity

Le robot Curiosity. Source : Wikipedia

Source : i47.servimg.com

Atterrissage réussi le 5 aout 2012

L’élipse bleue au bas de la montagne représente la cible. Le point vert est le point d’aterrissage du robot. Objectif : monter sur la montagne (Mont Sharp à 5500 m d’altitude !)

Planning de début de mission

Le rover est à 8 km de la zone cible à étudier au pied du Mont Sharp

Déploiement de l’antenne grand gain (vers la Terre)
Déploiement du mat
Test des instruments
Transmission de données
Acquisition d’images panoramiques
Mise à jour logicielle
Test des actuateurs pour faire pivoter les roues
Premiers déplacements

Qualification des instruments du rover (premier mois)
Premières analyses et prélèvements
Environ 50 m par jour : il faudra près de 6 mois pour atteindre le pied de la montagne.

 

Vues du cratère Gale par les caméras de Curiosity

http://www.360pano.eu/show/?id=731

http://www.youtube.com/watch?v=HYHc2alzdUk&hd=1

 

Autoportraits de curiosity

Les caméras et instruments de Curiosity

17 caméras !

4 petites cameras aux 4 coins : vision autour des roues, en cas de blocage ou d’ensablement.

Hazcam (Hazard Avoidance Cameras) : permet l’analyse du terrain avant les déplacements.

Quatre paires redondantes

Objectif très grand angle (fisheye) : champ optique de 124°, jusqu’à 3 mètres de distance et sur une largeur de 4 mètres.

Images en noir et blanc permettant de reconstituer une image tridimensionnelle.

Image Mastcam 34 mm

http://marsprogram.jpl.nasa.gov/msl/multimedia/interactives/learncuriosity/index-2.html

17 aout 2012

 

CNES

 

 

13 sept 2012

http://www.youtube.com/watch?v=JQiB2Nkj6ng&hd=1

 

28 sept 2012

Première découverte de graviers et de galets sur Mars. Comparaison avec ceux sur Terrre. Source : nasa.gov.

http://www.youtube.com/watch?v=HYHc2alzdUk&hd=1

 

12 oct 2012

http://www.youtube.com/watch?v=rLmHedIEbus&hd=1

 

1er nov 2012

http://www.youtube.com/watch?v=2jy52AUjRHM&hd=1

 

N°14 du 9 nov 2012

http://www.youtube.com/watch?v=hPUJ6XJCvfY&hd=1

 

N°15 du 15 nov 2012

http://www.youtube.com/watch?v=0t0LWFHB8Qo&hd=1

 

N°16 du 29 nov 2012

http://www.youtube.com/watch?v=BspOIRV_ifg&hd=1

 

N°17 du 7 déc 2012

http://youtu.be/dvrw486cFsI

 

Le rover

 

Le bras de Curiosity

Les mires de positionnement. Cela permet de déterminer où se trouve très précisément la tourelle après déploiement du bras, et mesurer les écarts par rapport aux tests faits sur Terre, ou en simulation.

Lorsque les instruments seront utilisés sur le sol, il faudra savoir pointer la foreuse, par exemple, au millimètre près – voir mieux.

Avant cela, le mouvement du mat – et de sa tête – et donc le pointage des différentes caméras, a été analysé de la même manière par rapport à des mires fixées sur le corps du rover*.

http://www.youtube.com/watch?v=Fix1pJknjbo

 

Ordinateur de bord

mise à jour des capacités logicielles du rover : suppression des logiciels de l’EDL, remplacés par une version R10 qui contient un version améliorée pour la conduite autonome, l’utilisation des instruments sur le bras, etc… Et il faut mettre à jour le logiciel pour les deux environnements informatiques redondées.

Précisons que le rover est équipé de deux ordinateurs certes, mais, qu’un seul n’est actif à la fois.

Tous deux sont conçus avec le même processeur “BAE RAD750” d’une puissance maxi de 200 mégahertz. Chaque ordinateur est équipé de 2 gigaoctets de mémoire flash, 256 Mo de mémoire vive et de 256 kilo-octets de mémoire effaçable programmable en lecture seule. Aussi, le nouveau logiciel en question a été envoyé alors que le vaisseau spatial était encore sur la route le conduisant à Mars. Depuis vendredi soir les ingénieurs ont commencé à installer la mise à jour R10, d’abord sur un ordinateur, puis sur l’autre. Les quatre jours de mise à jours s’expliquent par le fait qu’ils auront a effectuer des tests sur chaque systeme au fur et à mesure que la MAJ avance, afin de s’assurer que tout va bien.

La suite ici et anglais: http://www.spaceflightnow.com/mars/msl/120810computer/#.UCa0NRo1nrE.twitter

Oui des données peuvent être perdues ou corrompues pendant le transfert, mais il y a des systèmes de vérification de données qui permettent de savoir si une donnée est valide ou manquante. Dans ce cas ces parties sont réémises.

Ensuite en cas de bug ou autre, c’est tout l’intérêt d’avoir deux UC en parallèles. Ils font la MAJ (après avoir téléchargé et vérifié l’ensemble du prog) sur l’un pendant que l’autre tourne sur l’ancienne version. Ensuite il font tous les tests de l’UC mis à jour et si ça plante ils peuvent reprendre la main avec l’autre et recommencer. Si par contre tout est bon, ils passent à la MAJ du deuxième.

LA MAJ à distance est une méthode qu’ils maitrisent depuis pas mal d’années, et sur certaines missions ils ont même été capable de reprendre la main sur des sondes plantées (bug ou défaillance technique) juste avec un simple “ping”.

 

Les moyens de télécommunication

 

L’antenne grand gain fonctionne, l’antenne omnidirectionnelle lui bloque la vue sur une très faible partie de l’arc que fait la Terre dans le ciel martien. C’est juste pas de bol, très peu handicapant, et ça sera réglé dès la première manoeuvre au sol du rover.

une antenne à haut gain (= gros débit) qui est directionnelle (doit être pointée),

– une antenne à faible gain (= faible débit) qui est omnidirectionnelle (pas de pointage).

 

La seconde sert de “secours” car elle ne nécessite pas d’être déployée ni de bien connaître l’orientation de la sonde.

http://www.youtube.com/watch?v=yKDBojlncss&hd=1

 

L’énergie de Curiosity

Le principe de base est très simple, le combustible (Plutonium dans ce cas), dégage de la chaleur, le plutonium chauffe et est en contact avec une multitude de thermocouples monté en parallèle/série (utilisation de l’effet thermoélectrique- transformation de la chaleur en courant électrique). Le principe est tellement simple que la fiabilité est maximum, c’est tout sauf une usine à gaz !!!! Faut juste soigner le conditionnement, pas question qu’un atome de 238PuO2 sorte de sa boite…

C’est sûr que ce n’est pas extra puisque la différence de température entre la source chaude et la source froide n’est pas très grande vu que la température d’un RTG plafonne à 1000 °C (soit moins de 1300 K) Toutefois heureusement que les températures sur Mars sont plus basses que sur la Terre , ce qui permet pour la source froide de se retrouver vers -100 °c pendant les nuits (moins de 200 K)

C’est plutôt le rendement des thermocouples qui grève les perfos, c’est la contrepartie à la fiabilité.

Le générateur GTR est prévu pour une durée de 2 ans, mais l’énergie fourni ne permet au rover de ne fonctionner que 6h par jour.

au dela des 2 ans, la puissance va décroitre au point que le rover ne pourra plus trop se déplacer mais plutot envoyer des données basiques (T°, photo, etc) et ce durant 14 ans.

Le MMRTG fournit 120 W en debut de mission, et 100 W au bout de 14 ans.

Le générateur isotopique recharge les batteries la nuit, faire déplacer le Rover de nuit, en même temps que la recharge s’avérerait trop gourmant en énergie…

Il est précisé qu’avec une performance de 42 Ah (x2), ces batteries viendront compléter le générateur nucléaire ( pour simplifier, mais c’est un MMRTG) pour assurer les besoins énergétiques de tous les systèmes de la sonde lors des pics d’activités. Il est attendue que plusieurs cycles de recharges/décharges se produiront chaque sol

En clair, c’est pour rappeler que MSL consomme plus que ce que peut fournir son RTG. Il faudra donc, comme pour Oppy et Spirit, faire le plein d’énergie régulièrement pour assurer les opérations journalières : chauffage électrique des divers actuateurs, fonctionnement des moteurs (de roues par exemple), les instruments scientifiques, le bras, le laser… A la différence des MER toutefois, Curiosity devrait moins craindre l’hiver et les tempêtes de poussière, et son manque d’ensoleillement.

 

La station météo embarquée sur Curiosity

Tout restera calme d’un point de vue météo sur le site d’atterrissage de Curiosity au cours des prochaines heures. Un ciel clair devrait dominer Gale, mais des tempêtes de poussière seraient désormais évoquées pour un avenir pas si lointain que cela. «Pour la journée de demain nous nous attendons à une journée calme sur Mars avec juste quelques nuages de glace à l’horizon. Les températures extérieures devraient rester douces, c.a.d. – 28°c Celsius, mais du jour au lendemain nous pourrions recenser des températures vraiment plus froides c.a.d. jusqu’à -128°c » annonce Manuel de la Torres. J’ajoute que les vents devraient être calmes et que le ciel devrait être rose.

 

Notons également que la saison d’hiver touche prochainement à sa fin sur la planète rouge. Au printemps et durant l’été, des tourbillons de poussière/ colonnes tourbillonnantes de poussière agissent comme des tornades. Curiosity est doté d’une station météo sophistiqué qui permettra aux météorologues et autres scientifiques d’étudier ce type de phénomènes.

 

Deux capteurs seraient reliés à une station météo installés sur le mât du Rover (Là où se trouve sa chemCam), ce qui permettra de mesurer la vitesse du vent, la direction du vent, la température de l’air ainsi que son humidité relative. En outre la température du sol sera également mesurée par ce système. La station météo du robot comporte aussi un dispositif qui mesure la pression de l’air et un capteur qui enregistre six bandes de longueurs d’onde différentes. Les données météo martiennes joueront un rôle clé pour déterminer si la planète est, ou a jamais été, habitable, mais encore si les conditions météo seraient un éventuel conducteur à la formation d’une vie primitive.

 

Fabriqué en Espagne, la station météorologique du rover pourra également fournir aux scientifiques des données essentielles pour le bon déroulement de sa mission. Le rover Curiosity a atterri lundi matin, sa station météo ae été mis sous tension presque immédiatement. Au cours des deux prochaines années, la station météo enregistrera des données sur moins cinq minutes toutes les heures. (belle perfo). De T.Hadvorson traduit et adapté par Sidjay pour FCS.

 

La station météo du Rover (Rover Environmental Monitoring Station (REMS)) est d’origine espagnole comme je le disais plus plus haut. (elle serait déjà en route depuis le 06 Aout à priori)

 

Elle a été conçu pour enregistrer six paramètres atmosphériques différents:

– Vitesse du vent / direction.

– Pression.

– Humidité relative.

– Température de l’air.

– Température du sol.

– Rayonnement ultraviolet.

 

Elle se compose de:

– Deux capteurs fixées à environs 1,5 m au-dessus du niveau du sol via le mât mobile principal du Rover.

– D’un capteur de rayonnement ultraviolet (UVS) situé sur le pont supérieur du rover.

– D’unité de contrôle (USI) située à l’intérieur.

 

Les deux rampes de capteurs sont séparés par un azimut de 120 degrés pour aider à assurer qu’au moins l’un d’eux puisse enregistrer les données de vent. La figure ci-dessus illustre cela par ailleurs. Notez également qu’il ya une différence de hauteur de 50 mm entre les deux rampes de capteurs (ou Boom), afin de minimiser toute perturbation relative entre deux vents.

 

La Rampe 2 (à droite sur le dessin) a été installé dans l’axe d’entraînement du robot.

Elle est muni de capteurs dédié aux études éoliennes, mais intègre également le capteur d’humidité.

 

La rampe 1 (à gauche sur le dessin) est très légèrement installée en direction de l’arrière droit du rover. Elle intègre une autre série de capteurs-vent et mais aussi le capteur de température du sol. Les deux rampes intègrent en revanche un capteur de température de l’air chacune.

http://msl-scicorner.jpl.nasa.gov/Instruments/REMS/

 

Un problème avec l’un des capteurs REMS :

Il y a deux sondes placées perpendiculairement sur le mat, l’un d’entre eux – et l’un des capteurs de mesure de la vitesse des vents – semble avoir été endommagé par la projection des gravillons lors de l’atterrissage : les connections avec ce capteur semblent avoir été rompues.

 

– Une page sera mise en ligne avec les données météo

http://cab.inta-csic.es/rems/marsweather.html

 

Sources

http://www.forum-conquete-spatiale.fr/t14089p780-curiosity-msl-l-exploration-du-cratere-gale

http://www.spaceflight101.com/msl-landing-special.html

http://www.db-prods.net/marsroversimages/curiositypresentation.html

 

L’avenir du vidéoprojecteur et des tablettes tactiles dans notre enseignement au LP2I

Dans notre lycee, le LP2I, nous avons le projet d’utiliser des tablettes tactiles dans notre enseignement. Cela pose beaucoup de questions, dont celle-ci : quelle sera la place du videoprojecteur au côté des tablettes tactiles ?

Impact sur l’environnement et consommation électrique
L’impact sur l’environnement d’une tablette ou d’un vidéoprojecteur dépend notamment de leur consommation énergétique lors de leur usage. D’autres aspects ont un très fort impact sur l’environnement tels que la production de ces appareils, mais aussi les déchets qu’ils représentent en fin de vie (avec une assez faible durée de vie).

Consommation électrique pour produire de la lumière
En ce qui concerne la consommation énergétique de ces appareils, l’essentiel de l’énergie consommée est lié à la production de lumière pour obtenir une image lumineuse : lampe pour un vidéoprojecteur et LEDs (diodes électroluminescentes) pour le rétroéclairage de l’écran LCD des tablettes actuelles.

Vidéoprojecteur NEC VT590 utilisé au LP2I : il consomme 255 W (Source : doyoo.de)

Lampe d'un vidéoprojecteur (source : LDLC.com)

Principe d'un vidéoprojecteur : un écran LCD est utilisé comme une diapositive (Source : homecinema-fr.com)

Rétroéclairage à LED d'un écran LCD, ici par le côté avec un guide de lumière (source : shop.panasonic.com)

L’énergie nécessaire est directement liée à la surface de l’image.
Un écran de projection a une surface environ 100 fois plus grande que celle d’une tablette 10 pouces.

Une tablette tactile (sur le bureau) reliée à un vidéoprojecteur au plafond (Source : ralentirtravaux.com, le blog d'un professeur de Français)

Une tablette tactille sur un bureau (Source : www.ralentirtravaux.com/le_blog/)

Le rendement lumineux d’un vidéoprojecteur (et de l’écran) est beaucoup moins bon que celui d’une tablette. L’écart de rendement va s’accroitre à l’avenir avec l’arrivée prochaine des écrans OLED (pas de rétroéclairage car chaque pixel produit sa lumière, en fonction de l’image, qui plus est avec un bon rendement). Il faudrait comparer aussi le rendement de l’alimentation des tablettes avec celui d’un vidéoprojecteur, mais les écarts doivent être assez faible malgré l’utilisation d’une batterie pour une tablette.

Tablette 10 pouces de Toshiba à écran OLED = Organic Light Electroluminescent Diode (Source ubergizmo.com)

Consommation électrique totale
Si on considère la consommation électrique totale, pas seulement la production de lumière, elle est de l’ordre de 200 W à 300 W pour un vidéoprojecteur et de l’ordre de 10 W pour une tablette. Mais en fait la consommation d’une tablette n’est pas la même si on regarde un film (le processeur doit décompresser la vidéo, il faut de la puissance sonore, …) ou si on se contente de consulter un document fixe et de taper quelques lignes de texte. La puissance consommée par le processeur diminue fortement dans ce dernier cas et c’est à nouveau le rétroéclairage qui consomme presque toute l’énergie de la tablette. Je n’ai pas de chiffres précis mais dans ce cas la consommation totale doit tomber aux alentours de 2 à 3 W pour une tablette 10 pouces. On arrive à nouveau à un écart de l’ordre de 100 avec le vidéoprojecteur.

Utilisation d'une tableete tactile en TP de SVT (Source : www.tablette-tactile.net, lien vers l'article de Sébastien Verbert, professeur de SVT)

Bilan sur la consommation électrique d’un vidéoprojecteur comparée à une tablette
Un vidéoprojecteur consomme de l’ordre de 100 fois plus d’électricité qu’une tablette 10 pouces lorsqu’on la sollicite peu (cas général pour un usage pédagogique en terme de temps d’utilisation). Ceci restera vrai à l’avenir même si on parvient à produire des systèmes plus efficaces avec des rendements énergétiques proches de 100 %.

Une tablette ça consomme peu, mais une classe équipée de tablettes nettement plus. Et tout un lycée équipé ... (Source : compas.risc.cnrs.fr)

Incidence sur l’utilisation du vidéoprojecteur en classe
Dans une démarche de développement durable (qui s’imposera tôt au tard à nous tous), il me semblerait raisonnable de limiter l’usage du vidéoprojecteur au profit de solutions moins énergivores comme des tablettes tactiles.
Il ne s’agit pas de nous priver d’un outil intéressant sur le plan pédagogique mais de faire évoluer nos pratiques en recherchant le meilleur compromis. L’avenir nous montrera peut-être qu’on peut avoir une meilleure efficacité pédagogique en utilisant plus les tablettes et beaucoup moins le vidéoprojecteur. Les interactions pédagogiques avec une image projetée restent assez limitées par rapport à ce qu’on pourrait faire sur une tablette.
Pour compenser l’absence du document vidéoprojeté, on peut réfléchir à d’autres solutions utilisant les tablettes :
. utiliser des onglets comme sur les navigateurs Internet,
. scinder l’écran en deux (en mode portrait de préférence, comme sur la DS de Nintendo, pour garder visible le document commun à la classe qu’on voulait projeter,
. utiliser une tablette sur deux pour le document qu’on voulait projeter, dans le cas d’un travail en binôme,

Des nouvelles puces pour Windows 8

Comment fonctionne les puces?

Qualcomm a créé une puce à quatre cœurs snapdragons S4

les nouvelles puces 4 cœurs de chez Qualcomm: www.lemondeinformatique.fr

qui remplace ses précédentes S1, S2 et S3

Les ancienne puces de chez Qualcomm : qualcomm.fr

Les quad-core qui apparaitront chez la plupart des fondeurs ARM, seront capables d’animer les tablettes équipées de Windows 8. Les puces sont basées sur l’architecture ARM, ces processeurs tourneront à des vitesses comprises entre 1,5 et 2,5 Ghz. Elles sont prévues milieu 2012. Le cœur graphique Adreno de Qualcomm, soutiendra la technologie multimédia de Windows 8.

Fonctionnement des puces Snapdragons sur des tablettes tactile.

Le Snapdragon S4 MDP tablette est l’une des premières que nous avons vu de Qualcomm qui est assez élégante pour fonctionner comme une tablette primaire. elle ne sera pas bon marché, si le prix n’a pas encore été annoncé, mais pour les développeurs qui ont besoin d’une plateforme complète pour le test de leurs applications Android, il n’y a aucun doute que c’est une excellente option.

Ses fonctionnalités

La classe Snapdragon S4 comprendra la nouvelle génération de processeurs Snapdragon et mettra en vedette un nouveau processeur et une micro-architecture 3G/LTE intégrés multimodes. La S4 restera fidèle à ses racines en fournissant la puissance de travail et la faible consommation d’énergie, soit une diminution de 65% de sa consommation avec une augmentation en même temps de la performance de 150%. Ce combo va créer des produits mobiles qui offrirons un graphisme comparable aux consoles de jeu actuelles. Le Snapdragon processeur S4 sera un nouveau facteur de forme et de l’exécution d’un système complet d’exploitation de bureau.

 

Pour des informations plus complètes allez voir sur: lemondeinformatique.fr