« le Parfum » de Patrick Süskind, extrait 2

” Il allait faire un parfum selon toutes les règles de l’art, et l’odeur de la jeune fille derrière le mur en serait l’âme.

Mais pour en constituer le corps, la base, le torse et la tête, pour lui fournir ses notes aiguës et lui donner un fixateur, les adjuvants idoines n’étaient pas le musc et la civette, ni l’huile de rose ou le néroli, c’était bien clair. Un tel parfum, un parfum humain, exigeait d’autres ingrédients. ”

page 214 , Le Parfum, 1988, Patrick Suskind