Description de notre parfum

Quand nous avons créé notre parfum, au début nous avions mis trop d’huiles essentiels différentes ce qui donnait un résultat plutôt désagréable à sentir, alors nous avons décidé de réduire le parfum à 3 huiles essentiels : la rose (60 %), la vanille (35 %) et l’algue (5 %) qui donna un résultat plutôt pas agréable à sentir.

“Le parfum”, de Patrick Süskind

Le parfum, Patrick Süskind

Durant les premières semaines de notre Module Inter-disciplinaire, nous avons étudié les aventures de Jean-Baptiste Grenouille. Chaque élève avait un passage assigné de 5-10 pages.

Voici les extraits intéressants que nous avons sélectionnés pour vous :

Voici la page 5 du livre. Ici l’auteur nous décrit la puanteur de la ville et des rues.

Voici la page 15 du livre. Ici, l’auteur nous raconte le moment où la nourrisse présente les flacons d’odeurs à Grenouille.

Voici les pages 39-40 du livre. Ici on nous présente le ressenti de Grenouille lorsqu’il sent une certaine d’odeur.

La création de notre parfum…

Un parfum ne se fait pas en un claquement de doigt. Il faut du temps, de la patience mais également une bonne dose d’imagination. Comment savoir si une odeur s’accordera bien avec une autre ? Et si c’est le cas, quelles doses seront les meilleures ? Oui, voici le « compte-rendu » de notre création. Toutes les étapes que nous avons suivies, nos échecs, nos surprises, nos choix et nos obligations.

Numérotées, étiquetées et rangées, toutes nos distillations se trouvaient devant nous. Au départ, notre idée était assez floue : nous voulions un parfum doux et frais. Parmi les flacons, il y en avait deux qui pouvaient correspondre à notre envie de fraîcheur : la menthe et la verveine citronnée, deux odeurs qui plaisaient à tout le monde. Mais comme on dit : « trop de fraîcheur, tue la fraîcheur ! ». Menthe et verveine sont des odeurs fortes, on les qualifie de « notes de tête ». Ce sont celles que l’on sent en premier et qui disparaîtront assez vite. Après cette fraîcheur un peu forte, il nous fallait un peu de douceur, une douceur sucrée. La vanille.

Il nous fallait tout de même vérifier le résultat, avant de produire notre propre flacon. Une petite dose d’essence sur un papier essuie-tout pour sentir notre esquisse de parfum. Ça sentait bon, mais il manquait quelque chose. La vanille couvrait bien la menthe et la verveine, mais elle était encore trop présente. Et si elle était présente sur ce petit bout de papier, elle le serait encore plus dans le flacon. Finalement, nous avons rajouté une touche de citron. Il était parfait !

La semaine suivante nous « assemblions » les odeurs. Il manquait deux personnes et nous avions oublié certains composés… Nous avons donc commencé avec ce dont on se souvenait : La menthe, la vanille et le citron. Comme nous ne savions plus quel était le dernier ingrédient, nous avons choisi de la rose. Ce qui est vraiment différent de la verveine… Nous savions que la vanille et le citron auraient une odeur forte, alors nous avons diminué leurs doses. Premier essai : Il y avait une trop grande odeur de menthe, ce qui gâchait tout le parfum. La vanille donnait une odeur trop sucrée et la rose ne sentait pas. Bon, tout ne pouvait pas être parfait du premier coup. Nous avons donc diminué la menthe, le citron et la vanille pour augmenter un peu la rose et la mettre en valeur. C’était différent de la touche d’essai que nous avions, mais le rendu était à peu près identique. La menthe procurait bien la fraîcheur attendue, et la vanille servait de base sucrée avec la rose.

Voilà comment le Parfum des âmes perdues est né.

Source de l’image :

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Compte rendu de l’extraction de parfum

Nous avons distillé des pétales de roses séchés. Pour distiller les pétales de rose dans un ballon avec de l’eau puis nous avons fait chauffer l’eau pour faire ressortir les odeurs avec de l’eau afin de récupérer les huiles essentielles. Cette technique est intéressante. Sinon certaines personnes de la classe ont utilisé une autre technique pour extraire l’odeur des algues : l’enfleurage.

Odeurs des bois

Les souvenirs affluaient par longues vagues : toutes les odeurs des bois, l’âcreté du terreau mouillé sur quoi fermentent les feuilles mortes, les effluves légers des résines, l’atome farineux d’un champignon écrasé en passant : tous les murmures, tous les froissements, toutes les envolées dans les branches, les fracas d’ailes traversant les futaies, les essors au ras des sillons.

 

MAURICE GENEVOIX, Raboliot, (Grasset, édit.).

Souvenir de l’odeur de la pluie

L’odeur de la pluie me rappelle un souvenir, ce souvenir c’est tous ses moments passer à l’intérieur en jouant pendant que je regardé les gouttes d’eau qui coulaient le long de la vitre. Avec le sentiment de l’air chaud dans la chambre alors que quand je touchais les bords de la fenêtre ils étaient froids et l’air des fenêtres mal isolé faisait qu’il y a eu un sentiment humide lorsque que l’on se rapprocher. S’ajoutant à cela une odeur de poutre de cette vielle maison ,les poutres sentais le bois sec, la vieillesse du temps qui reposait sur le vernis séché.

L’odeur de l’hiver

J’aime l’odeur de l’hiver. C’est une odeur particulière pour moi. Celle du froid, des feuilles mortes et du vent frais. Pour moi c’est quelque chose subtil, qui se rapproche de l’odeur de la glace. Ça me rappelle de la période de Noël. Quand j’étais petite je me souviens du jour de Noël: il y avait de la neige et tout était blanc. J’aime bien aussi l’odeur de la neige. Je me souviens aussi quand j’étais petite j’avais mangé la neige parce que c’était bon pour moi et je croyais que la neige est une chose qui se mange. Ça me rappelle aussi le cadeau que m’a offert le père Noël. Ça me rappelle aussi le feu du bois dans la cheminée.

Souvenir d’odeur d’hôpital

Je me souviens de l’odeur particulière des chambres et des couloirs de l’hôpitaux, où je rendais visite à mon grand-père après qu’il soit devenue gravement malade. Cette odeur était écœurante, rappelé l’odeur du vieux plastique et des désinfectants. Cette odeur me met mal alaise et me rappel se mauvais souvenir dès l’instant ou je la sens.

Le Pain, Alain Leygonie

Le pain

Le pain sent bon quand il est chaud. Quand il sort du four, le pain a un parfum délicieux. Un parfum de dimanche matin de fête au village (le charme opère aussi les jours de semaine : grâce à lui, c’est un peu tous les jours dimanche).
C’est une odeur dorée, généreuse, optimiste.

Extrait du recueil Les Odeurs d’Alain Leygonie