L’odeur de la piscine

Tout au long de ma vie j’ai nagé. Que se soit au primaire, au collège, ou au lycée, la natation faisait et fait toujours une partie intégrale de ma vie. Pendant plus de de sept ans j’ai nage en équipe, participant au courses et aux événements. Ainsi, l’odeur de la piscine, un mélange de chlore et de sueur a été très présent pour une bonne partie de mon enfance. Les souvenirs que j’ai attaché à cette odeur sont inoubliables, et resteront avec moi tout au long de ma vie. Ça me fait penser a passer des bon moments avec ma famille, au temps d’entraînements particulièrement difficiles, et aux concours auquel j’ai participé.

Cette odeur remplie les narines et pique le nez. Elle est partout, remplissant la salle à ras bord et elle reste avec toi pour des heures après que tu quittes la piscine. C’est pour tous cela que cette odeur reste important pour moi.

La recette du parfum

La recette de parfum :
Notre parfum est composé d’un mélange de trois essences subtiles :
     –  rose(0,75ml)
     –  citron (0,5ml)
     –  verveine citronnée (0,5ml)
     –  15ml d’éthanol pour 16,75 ml de parfum
Pour notre parfum nous avons utilisé 3 fois cette formule.

L’Odeur de la Piscine

Tout au long de ma vie j’ai nagé. Que se soit au primaire, au collège, ou au lycée, la natation faisait et fait toujours une partie intégrale de ma vie. Pendant plus de de sept ans j’ai nage en équipe, participant au courses et aux événements. Ainsi, l’odeur de la piscine, un mélange de chlore et de sueur a été très présent pour une bonne partie de mon enfance. Les souvenirs que j’ai attaché à cette odeur sont inoubliables, et resteront avec moi tout au long de ma vie. Ça me fait penser a passer des bon moments avec ma famille, au temps d’entraînements particulièrement difficiles, et aux concours auquel j’ai participé.

Cette odeur remplie les narines et pique le nez. Elle est partout, remplissant la salle à ras bord et elle reste avec toi pour des heures après que tu quittes la piscine. C’est pour tous cela que cette odeur reste important pour moi.

Comment extrait-on les odeurs?

Comment extraire un parfum? C’est une question qui a troublé l’humanité depuis ses commencements primales. De l’Antiquité jusqu’aux temps modernes les moyens d’extraction du parfum ont évolués, passant de l’enfleurage traditionnel jusqu’à l’extraction par le CO2 supercritique. Cependant, certaines méthodes sont toujours utilisés aujourd’hui. Dans cet article nous allons vous expliquer les différents moyens d’extraction d’odeurs.

L’enfleurage est la technique la plus ancienne, datant jusqu’aux temps égyptiens. Ces deux types d’extraction (enfleurage a froid et enfleurage a chaud) sont les plus coûteuses et sont souvent utilises pour traiter des fleurs fragiles

Lors d’une enfleurage a froid, la graisse inodore est étalée sur les deux faces en verre d’un châssis en bois. Ensuite, des fleurs sont piquées dans la graisse. Tous les jours, on retourne les châssis et on remplace les fleurs, pour faire tomber les fleurs qui vont “céder” leurs essences aux lipides de la graisse. La graisse absorbe donc l’odeur des fleurs pendant des mois, jusqu’à sa saturation. Par cette méthode, 1 kilogramme de graisse peut absorber le parfum de 3 kilogrammes de fleurs. Finalement, on recueille la graisse appelé maintenant « pommade » avec une spatule. On le fait fondre et ensuite on le décante avec de l’éthylène. Durant cette période, les molécules odorantes se dissolvent dans l’alcool. Après il faut juste décanter l’alcool de la solution.

L’enfleurage à chaud est une spécialité de la France, ou pour être plus précis, de la Grasse. Les parfumeurs de cette région sont célébrés pour leur talent dans ce domaine, et de leurs techniques spécialisées. En voici une : D’abord on met à fondre de la graisse dans des grandes marmites, puis on y jette des fleurs. On remue le mélange pendant deux heures. Le lendemain, on enlève les fleurs de la veille. On répété au moins 10 fois l’opération. Lorsque la graisse ne peut plus absorber le parfum des fleurs, on filtre pour séparer la graisse des fleurs. On obtient une pâte parfumée appelée pommade que l’on traite. Le reste de cette procédure s’appelle l’absolu, qu’on utilise dans des parfum

L’hydrodistillation ou plus précisément la capacité de la vapeur d’eau à capturer les molécules odorantes de certaines matières végétales date des temps médiévales. Dans ce processus les matières végétales, sont placées dans un récipient contenant de l’eau. Ce récipient est chauffé jusqu’à ce que l’eau s’évapore et les molécules d’odeur sont séparer de l’eau. Le reste de cette processus est melangee avec d’autres ingrédients pour faire le parfum

Vous pouvez bien voir que l’extraction du parfum n’est pas très compliqué !

Sources:
http://odeursparfumsetlhomme.blogspot.fr/p/ii-les-techniques-dextraction-des.html
https://en.wikipedia.org/wiki/History_of_perfume#France
http://www.chaalis.fr/fr/les-parfums-dans-lantiquite
http://www.cameline.org/article-le-parfum-a-la-renaissance-70275185.html
http://www.chaalis.fr/fr/les-parfums-au-moyen-age
http://www.gallowglass.org/jadwiga/herbs/scents.html
https://en.wikipedia.org/wiki/History_of_perfume#France
http://tpe-parfum1s4.e-monsite.com/pages/fabrication-1/page.html

Odeur et Sensation

Nous travaillons sur le Parfum, et nous nous sommes spécialisé dans un domaine qui est celui de l’Odeur et de la Sensation. Nous avons fait un diaporama dans lequel nous avons expliqué ce qu’était une odeur et une sensation en donnant leurs définitions.

Odeur :

-une odeur est une molécule et susceptible de provoquer chez l’homme ou chez l’animal une sensation. C’est sa détection par le corps qui engendre une sensation.

Sensation :

-la sensation est la réaction du corps en réponse à une stimulation physique, qu’elle soit interne ou externe. La sensation peut être physique (ex : douleur) ou psychologique (ex : stress, angoisse…)

Nous avons expliqué pourquoi nous n’aimions pas tous les même odeurs grâce à des études produites par des scientifiques. On a présenté ce qu’était des phéromones. Ce sont des hormones, tous les êtres vivants en ont, elles servent à attirer les êtres vivants du sexe opposé, chez les plantes cela sert à attirer les animaux (ex : pollen). Nous avons tiré certaines informations d’un livre sur le parfum.

Notre but en début de cycle est d’étudier le Parfum sous toutes ces formes, en travaillant sur l’Odeur et les Sensations notamment. Mais pas que, nous voulons créer un parfum. La création de cet échantillon sera l’aboutissement de notre projet communs. En parallèle, nous travaillerons sur un blog internet. Qui sera là pour présenter notre projet à tout le monde, en détaillant l’élaboration de notre essences, les recherches le concernant. Ainsi que des descriptions personnelles.

 

Les sites que nous avons utilisés sont :

 

  • Wikipédia
  • Le dictionnaire français
  • Medisite

Odeurs et littérature

On retrouve un bon nombre de description d’odeur dans la littérature. Certaines sont brèves et précises, d’autres plus complexes et vagues… Aujourd’hui nous avons choisi quatre extraits qui nous ont différemment marqué.

“Un extrait fleuri et campagnard” choisi par Louise:

“Ils traversaient des résédas qui leur montaient jusqu’aux genoux comme un vrai parfum. À côté d’eux était un champ d’héliotropes, d’une haleine si douce de vanille, qu’elle donnait au vent comme une caresse de velours. Alors ils s’assirent au milieu d’un bouquet de lis qui avait poussé là. Les lis leur offraient un refuge de candeur au milieu de la sollicitation ardente des chèvrefeuilles suaves, des violettes musquées, des verveines exhalant l’odeur fraîche d’un baiser, des tubéreuses soufflant la pâmoison d’une volupté mortelle… Des cortèges de pavots s’en allaient à la file, épanouissant leurs lourdes fleurs d’un éclat fiévreux. Des daturas trapus élargissaient leurs cornets violacés, où des insectes venaient boire le poison du suicide… Et les jacinthes et les tubéreuses se mouraient dans leur parfum…”

Emile Zola, 1875, La faute de l’abbé Mouret

« L’odeur de l’internat » choisi par Iris :

Cette première pièce exhale une odeur sans nom dans la langue, et qu’il faudrait appeler l’odeur de pension. Elle sent le renfermé, le moisi, le rance; elle donne froid, elle est humide au nez, elle pénètre les vêtements; elle a le goût d’une salle où l’on a dîné; elle pue le service, l’office, l’hospice. Peut-être pourrait-elle se décrire si l’on inventait un procédé pour évaluer les quantités élémentaires et nauséabondes qu’y jettent les atmosphères catarrhales et sui generis de chaque pensionnaire, jeune ou vieux. Eh bien ! malgré ces plates horreurs, si vous le compariez à la salle à manger, qui lui est contiguë, vous trouveriez ce salon élégant et parfumé comme doit l’être un boudoir.

Balzac, 1835, Le père Goriot,

« Le parfum des fleurs » choisi par Rose :

c’était vers la fin de mai et des odeurs délicieuses voltigeaient, pénétraient dans les wagons…
Les orangers et les citronniers en fleurs, exhalant dans le ciel tranquille leurs parfums sucrés, si doux, si forts, si troublants, les mêlaient au souffle des roses poussées partout. (…)
Elles sont chez elles, sur cette côte, ces roses ! Elles emplissent le pays de leur arôme puissant et léger, elles font de l’air une friandise, quelque chose de plus savoureux que le vin et d’enivrant comme lui.

Guy de Maupassant, 1884, Idylle.

« Une odeur d’amour » choisi par Zhiyuan :

Certains parfums, en revanche, sont comme des gifles. On marchait, on riait, on se croyait bien avec quelqu’un et soudain une odeur… n’importe quoi, un autre passant, un peu de peinture fraîche, un arbre fraîchement coupé, vous font brusquement réaliser que ce n’est pas lui, le vrai, l’autre; avec qui vous vous promenez, vous parlez… et qu’importe si cet autre, vous le connaissez depuis vingt ans…
Françoise Sagan et Guillaume Hanoteau, Il est des parfums…

L’histoire ou on en prend plein dans le nez

Pour un de mes anniversaire, mon père avait allumé le four a pain et nous avons mangé des pizzas au feu de bois. Je me souviendrai très longtemps de cette odeur : un mélange de brûlé, de fromage fondu et de jambon cuit. Quand on mangeait ces pizzas, il y avait aussi dans le goût cette odeur mais aussi l’odeur de suie la suie qui était en dessous des pizzas. Tout les copains et la famille étaient heureux et les deux anniversaires suivants c’était la même chose, mon père qui allumait le four a pain, les pizzas et l’odeur de suie etc…

Cette odeur est une odeur « collante » c’est a dire qu’elle reste accrochée à la peau et aux vêtements et donc on la garde longtemps, mais ce n’est pas désagréable ; on dirait que l’on a allumé une chaudière à bois et que l’on a enfumé toute la pièce, mais on dirait aussi que l’on a cuisiné. Et le mélange des deux est … indéfinissable, il faut le sentir et non l’expliquer…

Décrire une odeur…

Une odeur, c’est parfois difficile à décrire, complexe. Parfois on ne se fait pas comprendre, on ne transmet pas les bonnes émotions… Aujourd’hui nous avons décidé de vous faire découvrir nos odeurs préférées, ainsi que les sentiments qu’elles nous procurent. Bonne lecture !

« J’aime beaucoup l’odeur d’un aliment de Chine. C’est comme une fondue mais c’est avec du jus de coco et de l’eau. On cuit le poulet, les légumes et beaucoup de choses avec ça. Cela sent très bon. C’est très délicieux. Quand je le sens je me rappelle ma famille, parce qu’on en mangeait lors de fêtes. Je suis triste parce que je ne peux plus en manger. »

L’odeur du « Coco poulet » de Zhiyuan

« Je me rappelle des moments que je passais souvent avec ma grand-mère, surtout l’odeur de son parfum. C’est un souvenir génial que j’ai d’elle. C’est une odeur que j’aimais beaucoup car cela sentait tellement bon! Je la reniflais souvent, surtout quand elle venait nous rendre visite à moi et mes parents. Je mettais ma tête dans sa robe pour respirer l’odeur de son parfum. Je me souviens du jour où j’avais pleuré pour avoir son parfum: j’avais tellement envie de le mettre sur moi. Quand elle me l’a mis, mon père m’a dit que je n’avais pas du tout envie d’enlever mes habits. Ce parfum a une odeur de rosée qui sent l’amour. Depuis qu’elle est décédée, à chaque fois qu’il a du vent qui souffle je ressens encore son odeur qui vient chatouiller mes narines. »

« Parfum de grand-mère » par Rose

«Je me souviendrai toujours de son odeur si particulière. Une odeur à la fois chaude, douce et rassurante, cette odeur protectrice qui me rappelle tous les bons moments que l’on a passés ensemble. Je me plaisais à enfouir ma tête dans le creux de son bras, pour humer son parfum si spécial. Il n’a jamais changé, et dégage toujours autant de sentiments contradictoires. Lorsque je respirai son odeur, l’essence chaude et musquée de sa peau me pénétrait jusqu’aux os et me plongeait dans un état second. A ses côtés je me sentais bien, j’étais chez moi. Et lorsque cette béatitude poignante me quittait, la fraîcheur de la lessive pointait enfin le bout de son nez. Pas l’odeur synthétique des lessives de supermarché, non, plutôt l’odeur fraîche et brute d’une lessive artisanale. Nous passions de longues heures main dans la main, marchant côte à côte sans jamais nous séparer. Et pendant tout ce temps passé ensemble à profiter l’un de l’autre, jamais je n’ai cessé de humer son parfum. Cette légère pellicule de sueur sur son front, une senteur acide qui témoignait de la chaleur ambiante et qui me faisait grimacer, je ne l’oublierai jamais. Parfois lorsqu’il arrivait vers moi, une essence nouvelle imprégnait ses habits. Mais celle qui me faisait le plus sourire, et qui, je n’en doute pas, me rendait heureuse, c’était l’odeur toute fraîche du pain au chocolat qui s’était collée sur sa peau, et dont nous étions très friand. Et maintenant que je suis partie, son parfum me manque. Je ne passe plus autant de temps avec lui, et le franc-sourire qui se peignait sur mon visage lorsque je le voyais n’est plus aussi grand qu’avant. »

«Mon meilleur ami » par Louise

«Je me rappelle que mon collège avait organisé un voyage à Londres et que à Londres plusieurs odeurs m’avaient rendues soit heureuse, curieuse ou Mon collège avais un jour organisé un séjour d’une semaine à Londres et comme nous étions partis le dimanche soir, nous étions obligés de dormir dans le bus, ce qui nous réjouissaient peu. La faim et la fatigue nous hantaient la semaine et le lundi soir, une odeur me venait au nez dont je ne connaissez pas la provenance. Cette odeur ressemblait à celle des crevettes mélangée à l’odeur de la pollution. Je me rappelle avoir été malade à cause de cette odeur et la maison dans laquelle nous étions hébergées sentait sans arrêt la graisse, l’huile et le porc. Cette maison était macabre, elle me paraissait hantée et la semaine m’avait rendue difficile d’accès parce que j’avais pensée à une maison plus jolie et plus grande en plus de la famille qui ne nous donnait pratiquement rien à manger . Quand j’y pense, cela me rend triste et me rapproche plus de mes parents que je me suis promise de ne plus quitter pour aller en voyage. Une fois dans le hall d’entrée de ma maison, une odeur humide et de neuf me chatouillait les narines et je retrouvais enfin l’entourage familial toujours aussi confiant et c’est là où je me suis rendue compte de la chance que j’avais d’avoir une famille sur qui compter, une vie remplie de joie et de mystères que l’on résout au cours de la vie.»

«London’s trip» par Iris

Source de l’image :

https://lh3.googleusercontent.com/KyVPWEOwezlNY7yc6E34uu8b_hvgkMtEfWp2Yz-7yzupKP3zltt2FZc0S4RxCDDPU5Q5=s144