Odeur de la plage

Cette odeur si particulière à mes yeux est celle de la plage. Et à chaque fois que je suis sur cette plage, celle de Saint Palais sur Mer.C’est toujours la même sensation, celle de replonger en enfance lorsque pendant les vacances j’allais dans cette petite villes avec ma grand-mère, cette plage à une odeur particulière et pas celle d’une vulgaire plage basique. Cette odeur est composé d’une odeur de sable et de sel mais pas de beaucoup, juste ce qu’il faut puis rajoutait à sa celle de l’eau salé si pure et pour finir pour pimenter ce parfum et pour la relever une petite odeur de vent marin qui vient vous sécher les narines lorsque vous la respirer l’aire et si pur avec peu de pollution .Ce parfum si doux qui vous met de bonne humeur le matin, le moment où je la préfère, c’est lors des mois de octobre à février lorsqu’il y a personne sur cette plage si parfaite ni trop grande, ni trop petite, cette plage où on si sent bon d’y venir.
Ce que j’aime c’est aussi le bruit des vagues claqués sur le sable comme celui du vent s’engouffrer sur cette plage et coincé à tout jamais. Cette odeur mélanger à celle de la civilisation et à celle de la nature perdue vous rendrez heureux à tout jamais .Lorsque la nuit arrive ce parfum devient encore plus doux, avec cet aire pure et si froid. Lorsque vous le respirer vous avez l’impression de prendre un dose pure de plaisir.

Extrait littéraire

XXII – Parfum exotique

Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne,
Je respire l’odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone ;

Une île paresseuse où la nature donne
Des arbres singuliers et des fruits savoureux ;
Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,
Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne.

Guidé par ton odeur vers de charmants climats,
Je vois un port rempli de voiles et de mâts
Encore tout fatigués par la vague marine,

Pendant que le parfum des verts tamariniers,
Qui circule dans l’air et m’enfle la narine,
Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.

     Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal

L’odeur de la piscine

Tout au long de ma vie j’ai nagé. Que se soit au primaire, au collège, ou au lycée, la natation faisait et fait toujours une partie intégrale de ma vie. Pendant plus de de sept ans j’ai nage en équipe, participant au courses et aux événements. Ainsi, l’odeur de la piscine, un mélange de chlore et de sueur a été très présent pour une bonne partie de mon enfance. Les souvenirs que j’ai attaché à cette odeur sont inoubliables, et resteront avec moi tout au long de ma vie. Ça me fait penser a passer des bon moments avec ma famille, au temps d’entraînements particulièrement difficiles, et aux concours auquel j’ai participé.

Cette odeur remplie les narines et pique le nez. Elle est partout, remplissant la salle à ras bord et elle reste avec toi pour des heures après que tu quittes la piscine. C’est pour tous cela que cette odeur reste important pour moi.

Comment extrait-on les odeurs?

Comment extraire un parfum? C’est une question qui a troublé l’humanité depuis ses commencements primales. De l’Antiquité jusqu’aux temps modernes les moyens d’extraction du parfum ont évolués, passant de l’enfleurage traditionnel jusqu’à l’extraction par le CO2 supercritique. Cependant, certaines méthodes sont toujours utilisés aujourd’hui. Dans cet article nous allons vous expliquer les différents moyens d’extraction d’odeurs.

L’enfleurage est la technique la plus ancienne, datant jusqu’aux temps égyptiens. Ces deux types d’extraction (enfleurage a froid et enfleurage a chaud) sont les plus coûteuses et sont souvent utilises pour traiter des fleurs fragiles

Lors d’une enfleurage a froid, la graisse inodore est étalée sur les deux faces en verre d’un châssis en bois. Ensuite, des fleurs sont piquées dans la graisse. Tous les jours, on retourne les châssis et on remplace les fleurs, pour faire tomber les fleurs qui vont “céder” leurs essences aux lipides de la graisse. La graisse absorbe donc l’odeur des fleurs pendant des mois, jusqu’à sa saturation. Par cette méthode, 1 kilogramme de graisse peut absorber le parfum de 3 kilogrammes de fleurs. Finalement, on recueille la graisse appelé maintenant « pommade » avec une spatule. On le fait fondre et ensuite on le décante avec de l’éthylène. Durant cette période, les molécules odorantes se dissolvent dans l’alcool. Après il faut juste décanter l’alcool de la solution.

L’enfleurage à chaud est une spécialité de la France, ou pour être plus précis, de la Grasse. Les parfumeurs de cette région sont célébrés pour leur talent dans ce domaine, et de leurs techniques spécialisées. En voici une : D’abord on met à fondre de la graisse dans des grandes marmites, puis on y jette des fleurs. On remue le mélange pendant deux heures. Le lendemain, on enlève les fleurs de la veille. On répété au moins 10 fois l’opération. Lorsque la graisse ne peut plus absorber le parfum des fleurs, on filtre pour séparer la graisse des fleurs. On obtient une pâte parfumée appelée pommade que l’on traite. Le reste de cette procédure s’appelle l’absolu, qu’on utilise dans des parfum

L’hydrodistillation ou plus précisément la capacité de la vapeur d’eau à capturer les molécules odorantes de certaines matières végétales date des temps médiévales. Dans ce processus les matières végétales, sont placées dans un récipient contenant de l’eau. Ce récipient est chauffé jusqu’à ce que l’eau s’évapore et les molécules d’odeur sont séparer de l’eau. Le reste de cette processus est melangee avec d’autres ingrédients pour faire le parfum

Vous pouvez bien voir que l’extraction du parfum n’est pas très compliqué !

Sources:
http://odeursparfumsetlhomme.blogspot.fr/p/ii-les-techniques-dextraction-des.html
https://en.wikipedia.org/wiki/History_of_perfume#France
http://www.chaalis.fr/fr/les-parfums-dans-lantiquite
http://www.cameline.org/article-le-parfum-a-la-renaissance-70275185.html
http://www.chaalis.fr/fr/les-parfums-au-moyen-age
http://www.gallowglass.org/jadwiga/herbs/scents.html
https://en.wikipedia.org/wiki/History_of_perfume#France
http://tpe-parfum1s4.e-monsite.com/pages/fabrication-1/page.html

L’histoire ou on en prend plein dans le nez

Pour un de mes anniversaire, mon père avait allumé le four a pain et nous avons mangé des pizzas au feu de bois. Je me souviendrai très longtemps de cette odeur : un mélange de brûlé, de fromage fondu et de jambon cuit. Quand on mangeait ces pizzas, il y avait aussi dans le goût cette odeur mais aussi l’odeur de suie la suie qui était en dessous des pizzas. Tout les copains et la famille étaient heureux et les deux anniversaires suivants c’était la même chose, mon père qui allumait le four a pain, les pizzas et l’odeur de suie etc…

Cette odeur est une odeur « collante » c’est a dire qu’elle reste accrochée à la peau et aux vêtements et donc on la garde longtemps, mais ce n’est pas désagréable ; on dirait que l’on a allumé une chaudière à bois et que l’on a enfumé toute la pièce, mais on dirait aussi que l’on a cuisiné. Et le mélange des deux est … indéfinissable, il faut le sentir et non l’expliquer…