Odeur de cheminée

L’odeur de cheminée est agréable car c’est le début de l’hiver et on se sent bien pendant qu’il pleut à l’extérieur. Quand on allume la cheminée la fumée s’engouffre et cela commence à nous piquer les yeux et l’odeur de la fumée se disperse dans toute la maison.

Puis quand la cheminée est allumée on entend des craquements des bois et en commence à sentir de la chaleur, c’est bien chaud dans toute la pièce.

L’odeur de l’hiver

J’aime l’odeur de l’hiver. C’est une odeur particulière pour moi. Celle du froid, des feuilles mortes et du vent frais. Pour moi c’est quelque chose subtil, qui se rapproche de l’odeur de la glace. Ça me rappelle de la période de Noël. Quand j’étais petite je me souviens du jour de Noël: il y avait de la neige et tout était blanc. J’aime bien aussi l’odeur de la neige. Je me souviens aussi quand j’étais petite j’avais mangé la neige parce que c’était bon pour moi et je croyais que la neige est une chose qui se mange. Ça me rappelle aussi le cadeau que m’a offert le père Noël. Ça me rappelle aussi le feu du bois dans la cheminée.

Description d’odeur personnelle DP

 

Maison brûlée

Quand j’étais en sixième, ma maison a brûlé. Je dormais lorsqu’une odeur est venue me piquer les narines et la gorge. Je me suis levé, je suis sorti de ma chambre et là, j’ai vu des flammes qui sortait du mur, une forte fumée grise et épaisse un peu partout dans la cuisine.

Pour sortir dehors, j’ai été obligé de passer par une porte où il y avait de la fumée. Au moment même où j’en ai inspiré, j’ai senti que ça me piquait dans la gorge, ça m’aveuglait. L’odeur était un mélange de feu de bois puisque la maison était constituée au trois-quarts de bois. Et une autre odeur que je ne pourrais expliquer. Cette odeur et cet événement m’a vraiment marqué, et je me souviendrai toujours du goût qu’avait l’odeur de la fumée.

Cette odeur c’était celle qui pique, celle qui brûle la gorge. Celle qui aveugle. Celle que tu ne dois pas respirer longtemps sinon tu meurs d’asphyxie.

 

Description littéraire TH

Le chocolat chaud :
Quand j’étais petit, les matins de Noël rimaient toujours avec le chocolat chaud.
Ce festival d’odeur était si bon, on pouvait y reconnaitre toutes sortes de sensations
comme celle de la chaleur qui envahit ton corps.
Dans cette odeur on y retrouvait des notes lactées, les touches de lait contribuaient à mon réconfort : on se sent doux et impuissant face à une odeur aussi consistante. Et le chocolat qui l’accompagnait, rendait cette odeur de plus en plus fascinante.
Avec cette odeur si précise je pouvais m’imaginer des histoires entières sur le froid de l’hiver et le chaud du chocolat. Pouvoir imaginer la rencontre de ces deux éléments. Le rouge de cette chaleur et le
bleu de cette froideur me faisait frissonner.
Plus je descendais mes escaliers, plus cette sensation de frisson était puissante. Le feu de cheminée pouvait renforcer cette chaleur en moi, Noël était un bon moyen de penser à des choses heureuses et
positives. Ces matins de noël sont les meilleurs et sont ceux qui me permettent de
savourer mon chocolat chaud le plus intensément qu’il est possible d’imaginer.