KIFFE LA PLANETE

Puis-je avoir quelques précisions sur cette future charte : avez-vous cerné ce que ça sera et quelles formes prendra la notre ? Avez-vous caractérisé un tel écrit ? Peut-être pouvons-nous en parler un peu sans anticiper sur ce qui n’a pas été encore fait… Ça donnerait des éléments qui nous guideraient.

Voici par exemple, la charte créée par les enfants et les adultes d’une école suisse, l’école climatique de Boveau :

Vous pouvez cliquer dessus pour la lire.

M. Quillivic

Juste quelques mots pour vous dire que nous allons, dès jeudi 13 janvier, mener à bien la rédaction de la charte éco-citoyenne de l’EREA Nous la mettrons en ligne dès que possible !

Et puis quelques élèves seraient ils tentés par un article sur les débuts de notre livre ” Panique sur la rivière”? Qu’ils nous racontent donc ce que nous avons découvert des aventures de Julie , Erwann et Marine…

A bientôt donc…

Mme Ducoudray

Depuis 4,4 milliards d’années, la quantité d’ eau sur la Terre n’a pas varié. Cependant, les échanges sont permanents entre les quatre grands réservoirs d’ eau de notre planète que sont les océans, les eaux continentales, l’atmosphère et la biosphère. L’ eau se renouvelle donc dans un cycle sans fin qui fonctionne grâce à l’énergie du Soleil. Mais les réserves d’ eau douce restent limitées et il convient de ne pas les gaspiller.

L’ eau est un bien précieux inégalement répartie autour du globe et bien que, globalement, il y ait suffisamment d’ eau pour tous les habitants de la Terre, certains coins du monde, notamment en Afrique, manquent d’ eau. Mais surtout, l ‘eau n’est pas inépuisable… Alors pour éviter que la source ne se tarisse, apprenons les gestes qui vont éviter la pollution de l’ eau et la préserver !

valentin

Suite au commentaire de M. Quillivic au sujet de mon article du 25 novembre
“L’Amazonie, c’est bien la forêt équatoriale de l’Amérique du sud ? Comment ça se fait qu’elle soit pelée comme ça, Nicolas ?  je ne pige pas, que s’est-il passé ?”
Je vous donne 3 indices pour vous aider à trouver l’erreur.

• Indice 1 : Ecouter cet extrait d’une émission de radio sur l’environnement

[audio:https://blogpeda.ac-poitiers.fr/proteger-la-terre/files/2010/11/Extrait-de-TERRE-A-TERRE-du-09.10.2010-sur-France-Culture.mp3|titles=Extrait de TERRE A TERRE du 09.10.2010 sur France Culture]

(Émission “Terre à Terre” par Ruth Stégassy sur France Culture du 09/10/10. Ce jour là Sylvain Angerand parlait de l’exploitation du bois dans les forêts tropicales. )

• Indice 2 : Extrait d’un article intitulé : De l’utilité du papier recyclé

“On croyait que l’apparition des modes de stockage numériques (via l’ordinateur) allaient sérieusement faire diminuer notre  consommation de papier : il n’en est rien, nous imprimons à tout va pour profiter d’une lecture plus agréable qu’à l’écran.
Plusieurs solutions peuvent être mises en œuvre pour diminuer l’impact sur notre environnement de la fabrication du papier  dont l’utilisation de papier recyclé.

La fabrication de papier non recyclé :
– nécessite d’importantes quantité d’eau pour extraire la cellulose …
– contamine l’eau utilisée avec des matières organiques … dangereuses, souvent cancérigènes, qui persistent dans l’environnement et s’accumulent dans les chaînes alimentaires.”

• Indice 3 : Extrait d’un site qui s’appelle “Les Amis de la Terre“

“Utilisation de l’Eucalytus : Fabrication de papier essentiellement.

Les vastes monocultures d’eucalyptus aboutissent à une simplification de l’écosystème et à une érosion de la biodiversité … surtout lorsque les plantations sont réalisées après la coupe rase d’une forêt primaire …

Les eucalyptus sont des arbres à croissance rapide qui consomment énormément d’eau (près de 300L/jour !) et qui épuisent rapidement les sols. En Amérique du Sud, l’eucalyptus est appelé “l’arbre de la soif” car lorsqu’il est planté sur de vastes superficies, il assèche les rivières et prive les villageois d’eau potable.”

Nicolas Censier

En regardant “Home” vous avez pu voir comme notre planète est belle mais aussi qu’elle est fragile et menacée par les hommes et leur manière de vivre. Depuis je regarde autour de moi et je me dis que nous aussi à l’EREA nous devrions faire quelque chose pour participer à la préservation de notre environnement.
Il est toujours mieux de montrer le bon exemple plutôt que d’attendre que les autres fassent les efforts à notre place, non ?

Cherchez l’erreur !

Que pourrions-nous proposer pour être plus vertueux ?

Nicolas Censier

Juste un petit mot pour remercier tout d’abord M. QUILLIVIC d’avoir créé ce blog qui va nous permettre d’échanger à distance sur notre projet de cette année.

J’aime beaucoup le titre de notre blog , “Kiffe la planète“, qui me semble bien refléter ce que nous voulons faire. Pour moi, si chacun essaye de faire des efforts pour préserver notre planète en participant à la rédaction de la charte, en respectant  et en faisant respecter ce que nous avons écrit dans cette charte, eh bien je pense que nous aurons réussi quelque chose d’important : faire prendre conscience à beaucoup d’élèves et d’adultes de notre collège que notre planète est fragile et qu’il est du devoir de chacun de la protéger.

Alors, Madame DUCOUDRAY, j’espère que l’on va très vite commencer l’écriture de la charte écocitoyenne de l’EREA Anne Frank.

Christophe Huteau

Les profs avaient travaillé à la recherche d’un titre évocateur et fédérateur, les élèves ont ensuite fait leur choix. Ce sera donc “KIFFE LA PLANETE”, un nom qui plaît à une majorité, comme une main tendue entre les générations pour le bien de la planète et donc, aussi, le notre !

J’espère qu’on va donner au plus grand nombre l’envie de la kiffer encore plus, cette petite planète qui nous accueille dans l’absolue immensité…

M. Quillivic

Pour commencer à travailler et à réfléchir, nous avons regardé ensemble un film. Celui-ci nous amènera à nous poser des questions et à tenter d’y répondre.

Home est un film documentaire sorti en 2009, écrit et réalisé par Yann Arthus Bertrand et produit par Luc Besson.

l’affiche du film d’aprèshttp://leelouve.bloguez.com/leelouve/page6/

Ce film de 120 minutes, raconte  le lien qui unit l’homme à la terre ;  il a eu la particularité d’être diffusé en français, en anglais, en espagnol, en allemand et en arabe. Conçu comme un carnet de voyages, il est constitué uniquement d’images aériennes.

Ce film montre la pression que l’Homme fait subir à l’environnement et les conséquences que cela entraîne sur le changement climatique. Yann Arthus Bertrand ne le présente pas comme un film catastrophe mais comme un message d’espoir, en rappelant qu’il reste 10 ans pour agir.

Avec Home, l’académicien Yann Arthus-Bertrand signe un premier film, à la fois alarmant et plein de promesses. En quelques décennies, l’homme a rompu un équilibre fait de près de 4 milliards d’années d’évolution de la Terre et met son avenir en péril.

Mme Ducoudray