L’acte de publication dans les programmes et pratiques des enseignants est interrogé par Odile Chenevez dans le n°62 ( juin 2008) de la revue les Dossiers de l’ingénierie Educative

Publier est-il une démarche d’apprentissage ? quels risques peut-on prendre ?

Écrire en ligne suppose de tenir compte de l’inconfort de la lecture sur écran, des usages du lecteur potentiel (recherche, lecture-plaisir,…)

“Toutes les études indiquent que, sur Internet, contrairement à la presse imprimée, les utilisateurs accordent beaucoup plus facilement attention aux textes et hypertextes qu’aux images fixes ou animées ! Les trois premières “fixations oculaires” qu’effectueraient les internautes sur une page web porteraient, dans 22% des cas seulement, sur des images, contre 78% pour les textes.” d’après le site belge Rédaction.

Écrire en ligne impose donc :

  • concision
  • utilisation d’une mise en page claire (titres, intertitres, paragraphes, numérotation,…)
  • utilisation des hyperliens
  • adaptation au public ciblé (types de connections, capacités techniques, centres d’intérêts,…)

Le blog “Plume Interactive” propose en particulier une étude du site Aufeminin.com, très populaire.