L’article de Edith Boulo, sur le site Docs pour docs, propose une analyse intéressante de l’usage pédagogique que l’on peut faire de Wikipédia.Il doit être actualisé avec les diverses fonctionnalités de l’encyclopédie qui n’existaient pas en 2006, date de la rédaction de l’article : portails thématiques par exemple.
Sur le site de l’encyclopédie en ligne, un espace “projets pédagogiques” est d’ailleurs réservé. Les professeurs sont invités à inciter leurs élèves à améliorer l’encyclopédie : répondre à des demandes de pages, vérifier les sources de pages, traduire, compléter des ébauches,…. Une manière de collaborer à l’élaboration d’un contenu de connaissances.
Une encyclopédie en ligne “pour enfants” a été mise en place : Vikidia. Elle peut également servir à des activités en classe de production et publication de contenu.
Wikiversité est aussi un projet de wiki collaboratif, pour partager cours, documents pédagogiques et connaissances.
Pour mieux comprendre le fonctionnement administratif de Wikipedia : un article de la revue Médias, n°21, été 2009.
Pour entrer dans le débat sur la qualité des informations produites par l’encyclopédie en ligne, la revue Books n°12 , mars-avril 2010 : Internet et démocratie.
Et le contenu, sous forme de vidéos, de la formation proposée à l’université de Poitiers en 2009 : “Wikipedia : censurer ou former ?”
Le site Internet Sans Crainte développe un espace réservé aux adolescents dans lequel le réseau social tient une large place. Des vidéos mettent l’accent sur les règles à respecter pour utiliser correctement Facebook.
Le jeu 2025 ex machina, lancé à l’occasion du Safer Internet Day 2010, met le joueur en position de gérer un profil Facebook (Amisdamis) de manière à ne laisser qu’un minimum de traces et aucune photographie qui pourrait compromettre l’avenir.
Le Webpédagogique a lancé sa page Facebook, lors de la semaine de la presse.
Danah Boyd, Chercheuse américaine sur les médias sociaux à la Microsoft Research New England, insiste sur la nécessité de reconnaître les réseaux sociaux comme lieu de la socialisation adolescente et donc de la construction de la citoyenneté.
La tentative de Facebook de s’approprier les droits sur les données mises en ligne par les Internautes en février 2009 invite à éduquer les jeunes aux traces qu’ils laissent sur Internet, à être responsables des informations qu’ils déposent.
Les Etats Généraux de l’identité numérique ont eu lieu en janvier 2009.
Twitter peut être utilisé pour faire de la veille sur certains sujets, comme le suggère le site Docs pour Docs
Le même site propose des tutoriels pour commencer sur Twitter.
Twitter peut devenir un outil de suivi et de communication entre élèves et entre les professeurs et leurs élèves.
Une expérience est menée au LP Doriole de La Rochelle par Laurence Juin : un compte rendu détaillé en est réalisé sur le blog Ma dixième année
D’autres expériences sont menées aux Etats-Unis, par exemple à l’université de Columbia.
Myspace a été le premier réseau social, fondé en 2003.
Facebook l’a détrôné en 2006. Facebook a atteint en 2009 les 250 millions d’utilisateurs. En 2010, ils sont environ 400 millions, dont 15 millions de Français (1 personne sur 4) d’après la société Odomia
Twitter, site de micro blogging qui permet de savoir, “ce qui se passe en ce moment partout dans la monde”, est en progression constante mais ne concerne en 2009 que 10 % des Internautes.
L’étude du Credoc sur la diffusion des TIC dans la société française (décembre 2009) montre une forte progression de l’usage des réseaux sociaux par les jeunes : 52 % (12-17 ans) et 65 % (18-24 ans). 75 % des jeunes de 12 à 17 ans estiment qu’Internet est un outil d’intégration sociale.
Une autre étude, américaine, synthétisée par ReadWriteWeb, montre une augmentation nette du temps consacré aux médias numériques par les jeunes.