Sitographie

     Vous trouverez ci-joint tous nos sites visités durant notre TPE, afin de réaliser le maximum de recherches les plus pointu possible.

I/ Les prémices

airmerter, « RECONNAISSANCE AERIENNE », Blog skyrock [en ligne], consulté le 29 septembre 2017. URL :

http://airmerter.skyrock.com/3250428734-RECONNAISSANCE-AERIENNE.html

Wikipédia, « Ballon d’observation », consulté le 29 septembre 2017.

URL: https://fr.wikipedia.org/wiki/Ballon_d%27observation

Carnet de Vol, « Ballons captifs d’observation », Blog Carnet de Vol [en ligne], consulté le 29 septembre 2017. URL: https://www.carnetdevol.org/ballons-captifs/avant-guerre.htm New URL: https://www.wokipi-aerostation.com/ballons-captifs/grande-guerre.html

II/ La première moitié du XXe siècle

Open édition, “Revues historiques des armées”, [en ligne], consulté le 22 décembre 2017. URL: http://journals.openedition.org/rha/7092#tocto1n1

Photo stereo, “Principe de fonctionnement de l’appareil photo”, [en ligne], consulté le  22 décembre 2017. URL: http://photo.stereo.free.fr/photographie/photographie-principe.php

artois1418, “La bataille de la Malmaison”, Blog skyrock [en ligne], consulté le 22 décembre 2017 URL: http://artois1418.skyrock.com/3213610541-LA-BATAILLE-DE-LA-MALMAISON-1917-23-OCTOBRE-AU-25-OCTOBRE-PRESENTATION.html

Plus les lien fourni au travers de nos différents article.

III/ La guerre froide

Jacques VILLAIN, « SATELLITES ESPIONS », Encyclopédie Universalis [en ligne], consulté le 10 novembre 2017. URL: http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/satellites-espions/

L’avionnaire, “Le principe de fonctionnement d’une turbine”, [en ligne], consulté le 22 décembre 2017. URL: https://www.lavionnaire.fr/MotorPrincipe.php

IV/ Aujourd’hui et à l’avenir

Thalesgroup, “AREOS – RECO NG”, PDF [en ligne], consulté le 22 décembre 2017. URL: https://www.thalesgroup.com/sites/default/files/asset/document/areos_-_reco_ng_8p_fr_062013_noref.pdf

Wikipédia, “RQ-2 Pioneer”, Article [en ligne], consulté le 3 janvier 2018. URL: https://fr.wikipedia.org/wiki/RQ-2_Pioneer

 

 

Une évolution dans l’imagerie de reconnaissance

     Au cours de la seconde guerre mondiale, les armées et surtout les alliés ont développé des technologies pour effectuer de l’imagerie du terrain ennemi. La Royal Air Force utilisait des appareils photo de ce type pour effectuer des maquettes du terrain ennemi. Nous baserons notre étude sur les appareils photo Richard Jules Altiphote ainsi que le modèle G45 Williamson.

I/ Quelques caractéristiques de cette appareil

     Cette appareil photo est d’origine française, il fut produit durant les années 30, 40 et 50. Selon nos recherches ainsi que les éléments trouvés, on trouve que ce type d’engin avait un poids de huit kilos. Il utilisait les “bobines normalisées Aviation N°1” de 15 m. de long, 178 mm de large et donne 100 photos de 13 x 17 cm. Le second est d’origine américaine, produit durant les mêmes périodes que le précédent. Il avait un objectif de 16 mm. Ces deux systèmes furent utilisés par la RAF afin de concevoir les maquettes du débarquement de Normandie.

Spitfire gun camera

II/ Le montage des ces appareils photos

     Ces appareils photo étaient montés sur les flancs des avions comme nous pouvons le voir sur cette image ou bien encore encastrés par le dessous visible sur cette image. Pour ce type d’image, on utilisait plus des appareils photo de ce genre.

III/ L’utilisation des images

     Avec les images prises par les pilotes de la RAF durant la seconde guerre mondiale mais plus particulièrement dans les préparatifs du débarquement de Normandie, l’état major anglais a crée des maquettes du sol pour permettre au parachutiste ainsi qu’au division d’infanterie de connaitre le terrain sur lequel ils évolueront lors du plus grand assaut jamais réalisé.

 

     En conclusion, nous avons pu voir que les systèmes utilisés durant la seconde guerre mondiale étaient quasiment similaire à ceux utilisés en première guerre mondiale. Par rapport à la grande guerre, la résolution des photos n’a pratiquement pas changé. Par contre, les constructeurs avaient tout de même travaillé sur la qualité de l’image formée par ces appareils. Ces évolutions permettront entre autre de pouvoir préparer le débarquement de Normandie.

Une évolution des avions

     Au travers de cette article nous allons étudier l’évolution des avions au cours du second conflit mondial, c’est à dire l’évolution de leur autonomie de vol, de leur performance en mission ainsi que leur fiabilité.

I/ Amélioration : Autonomie de vol

     Au début du XXe siècle, les avions avaient une très faible autonomie de vol mis à part les bombardiers longue portée ou bien les zeppelins (Stille um L 303) utilisés  lors de la fin de la grande guerre. Alors durant l’entre deux guerres, les constructeurs type Supermarine, Messerschmitt ou bien encore North American réfléchissent chacun de leur côté sur le fait d’améliorer l’autonomie de leurs appareils pour que les armées puissent effectuer de plus longues missions. Au cours de la seconde guerre mondiale, on passe d’une autonomie de quelques dizaines voir centaines de kilomètres à quelques milliers de kilomètres. Pour exemple, un Hawker Typhoon (1942) avait une autonomie de 1520 km, alors qu’un Morane-Saulnier AI (1917) avait une autonomie d’une centaine de kilomètres.

II/ Amélioration de leur performance en vol

     Au cours de la Grande guerre, les avions avaient un rôle bien défini. Pour certain, il s’agissait de faire de la reconnaissance, pour d’autre de la chasse… Alors chaque type d’appareils avait des rôles différents en fonction de leur performance en vol. Du coup, les avions de reconnaissance étaient peu armés ou même parfois pas du tout.

Au cours de l’entre deux guerres, les constructeurs réfléchirent sur le fait d’équiper leurs appareils pour permettre de faire de la reconnaissance tout en effectuant de la chasse anti-aérienne. Les constructeurs de ces appareils réfléchirent aussi sur le changement de type d’aile employé. Au cours de cette période on passa du type biplan à monoplan aile basse. Mais pourquoi les constructeurs ont-ils alors changé de type d’aile ? Ces derniers changèrent de type d’aile car les monoplans à aile basse étaient nettement plus rapide et avaient pour but d’augmenter fortement la vitesse en palier.

 

     En conclusion, nous avons pu voir que l’aviation a nettement été amélioré durant l’entre de guerre et même durant la seconde guerre mondiale, on passe d’avion dédié à un type de mission à des appareils pluri-disciplinaires. L’autonomie des appareils est nettement augmenté. On passe d’une petite centaine de kilomètres à des milliers pour certains. L’amélioration majeure dans ces avions est l’augmentation de leur vitesse avec un changement de type d’aile (Passage du biplan au monoplan à aile basse).

Les appareils photos (1914-1918)

Tous les schémas présents dans cette article sont à texiert par l’obtention des droits d’auteur de Valentin T

Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:RFC_aircraft_with_aerial_reconnaissance_camera.jpg

Pilote français réglant son appareil photo avant un vol (date inconnue)

     Au cours de la première guerre mondiale, les premiers escadrons de reconnaissance aérienne se développent et se munissent d’appareils photos (35e ESCADRON D’OBSERVATION). Ils les fixeront sur leurs avions pour mener des missions de reconnaissance afin de mieux connaître le terrain sur lequel évolue l’ennemi.

     Au Travers de cette article nous allons nous intéresser aux appareils photos utilisé du côté allié, puisque très peu d’informations sont ressorties sur ce système du côté de l’empire du Kaiser.

 

I/ Quelques caractéristiques sur ces appareils photos

Schéma Model 1916 – Auteur: Valentin T

     L’appareil que nous allons étudier dans cette article est le modèle 1916 de foyer 26 cm pour photo aérienne. La particularité intéressante de cette appareil est que les pilotes pouvez prendre des photos en vue verticale mais aussi en vue oblique. Il faut savoir que ce modèle est le plus utilisé pour prendre les vues expliquées ci-dessus. Cet appareil photo était muni d’une capacité de 12 plaques sur lesquelles les photos apparaissaient. Sur ce système, il y avait une Obturateur de plaque à fente et à vitesse variable. Le format des photos sur cette appareil était du 13 X 18 cm. Le constructeur des ces appareils photos est DEMARIA-LAPIERRE.

 

II/ Comment fonctionne ce système

     Avant toute mission de reconnaissance, les pilotes ainsi que leur copilote (ou observateur) devaient suivre toute un manuel d’instructions pour faire fonctionner ces appareils photos. En quelques mots, ils devaient s’assurer que l’objectif soit bien visser pour éviter de le perdre en vol, mettre l’écran jaune dans le magasin situé à l’arrière de l’appareil… Pour l’utilisation de ces appareils, l’utilisateur devait appuyer

Schéma appareil photo model 1916 – Auteur Valentin T.

sur le levier de déclenchement. L’obturateur s’ouvre afin de laisser passer la lumière par l’objectif qui va fournir une image du sujet à photographier à la plaque insérée dans le magasin sur laquelle l’impression sera faite. La quantité de lumière entrante est déterminée par le temps durant lequel l’obturateur va rester ouvert et par la taille de l’ouverture du diaphragme. A la fin de l’exposition, l’obturateur reprend sa position fermée initiale.

 

 

III/ Les utilisations

     Ces appareils furent utilisés dans un premier temps pour effectuer des prises de vue aérienne du front. Mais par la suite, ils furent utilisés pour donner des informations précises sur l’emplacement de l’ennemi afin que les bataillons d’artillerie puissent régler précisément leurs tirs. Ils furent aussi utilisés pour préparer des missions d’attaque au sol ainsi que de bombardement de position lourdement défendue, comme par exemple l’attaque du fort de Malmaison en 1917 dans l’Aisne (02) ou bien encore l’attaque de fort où les allemands entreposaient leurs munitions.

 

     En conclusion, ce système permit de pouvoir faire avancer le front de l’ouest car on relate principalement l’utilisation de ce système sur le front de l’Allemagne contre la France et l’Angleterre. Cette possibilité de pouvoir prendre des photos du terrain sur lequel évolue son ennemi permit de calibrer des millions de tirs d’artillerie, de préparer des assauts de grande ampleur… Ce type de système, nous le retrouverons durant la seconde guerre mondiale, bien sûr il sera nettement amélioré et il n’y aura pas autant de

contrainte que ce système datant de la première guerre mondiale.L’utilisation de sa modification pour la seconde guerre mondiale permettra notamment à la RAF (Royal Air Force) ainsi qu’aux américains, de pouvoir se renseigner sur les défenses du mur de l’Atlantique pour pouvoir préparer la plus grande offensive matériel que le monde est connue : l’opération Overlord.

 

 

 

L’aviation (1914-1918)

Bristol Fighter

     Durant la grande guerre l’observation et la reconnaissance aérienne gagne en efficacité. Durant ce premier conflit mondial, une avancé technologique majeur fut acquises. C’est l’arrivé des avions. Dans un premier temps, leurs buts était de faire de la reconnaissance aérienne. On utilisé des avions comme celui-ci

     Au départ, les pilotes devait dessiner ce qu’ils voyait en faisant leur patrouille de reconnaissance. Mais par la suite les appareil photos pouvaient être monté à bord. Alors il y avait un copilote pour gérer l’appareil photo mais aussi l’armement à l’arrière de l’avion ainsi que le pilote.

I/ Les avantages de l’aviation

     L’aviation a permit d’avancé dans le domaine de la reconnaissance aérienne. Par rapport au ballon d’observation expliqué dans un de nos articles, les avions avait une plus grande mobilité. Il pouvait se déplacer, alors que les ballons étaient statique. Ces derniers permettait aussi d’effectuer des plus long vole, pouvant aller jusqu’à une centaine de kilomètre. C’est aussi avec ces premiers avions que l’on ajoute les premiers appareil photo embarquée qui permettent de prendre de cliché du front ainsi que de lieu stratégique à détruire par l’artillerie.

II/ Les inconvénients de l’aviation

     Bien qu’un bond novateur dans l’histoire de la reconnaissance aérienne, les avions avait tout de même quelques défauts. Le rayon d’action de ces derniers étaient tout même très limiter du à la faible capacité des réservoirs de ces avions et à leur faible discrétion. Ils étaient aussi limité par la météo.

 

     En conclusion, nous avons pu voir au travers de cette article que l’aviation a permit de faire un bon dans le domaine de la reconnaissance aérienne. Cette innovation avait toute de même des avantages. Elle était mobile alors que le système vu dans un de nos précédent article était statique. Mais l’aviation du début XXe siècle avait tout de même des inconvénients tels que leur faible rayon d’action, leurs faible résistance aux défenses anti-aériennes mais aussi leur limitation à cause du facteur métrologique. Cette innovation aura permit d’avancer dans le domaine militaire puisque dans les conflits qui suivront la première guerre mondial, ils seront réutilisé surtout du coté allié pour la préparation du débarquement de Normandie.

Les ballons d’observations

     Les prémices de la reconnaissance aérienne remonte à la fin du XVIIIe siècle. La France a donné le pas pour quelques fondamentaux. En France, en 1794, elle crée la première Compagnie d’aérostiers.

     Le Comité du SALUT PUBLIC a en effet été informé de l’importance des ballons et autres montgolfières dans les armées . Pendant la bataille de FLEURUS , des ascensions sont réalisées à bord du ballon captifl’Entreprenat” et l’observation aérienne naît véritablement pendant les sièges de Maubeuge et de Charleroi . Le général MORLOT tient en effet informé le général JOURDAN des mouvements adverses pendant plus de 9 heures et contribue de façon déterminante à la victoire du 26 juin 1794.

    A partir de là, le brouillard de la guerre se dissipe peu à peu puisque maintenant, on peut observer l’ennemi à distance et manœuvrer en fonction des réactions de ce dernier. Mais cette invention sera abandonnée pendant un siècle à l’initiative de Napoléon. Cependant les ballons d’observation reviendront sur le front durant la première guerre mondiale. Nous allons vous décrire ci-dessous les raisons pour lesquelles ces ballons furent abandonnée par Napoléon et par la suite.

I/ Les avantages

    Les ballons d’observation, permirent dans un premier temps de pouvoir repérer les ennemis à distance puisqu’on pouvait monter en altitude à bord d’une nacelle pour environ deux à trois personnes. Mais l’un des gros points forts de ces ballons était de pouvoir donner des informations en temps réel sur la stratégie adopté par l’ennemi et donc de réagir en conséquence.

II/ Les inconvénients

     Bien que très bien, ces ballons d’observations avaient des inconvénients majeures ce qui leur vaudra d’être retiré des armées ou utilisé à des buts de protections par la suite. Tout d’abord ces ballons étaient statiques, mais de plus ils étaient extrêmement sensibles et peu résistants puisqu’ils étaient chargés en hydrogène, un composant chimique hautement inflammable. Le moindre tire dessus le faisait s’embraser et le personnel présent en son bord était anéanti.

    Un souci majeur aussi sur ce système était sa mise en place, très longue dû à son gonflage de longue durée car il fallait le gonfler en gaz. Un autre problème de ce système était son indiscrétion totale puisqu’il était repérable à très longue distance. Par la suite les systèmes qui remplaceront ce dernier auront pour but d’être plus discret.

III/ Déclin et réutilisation

    C’est au cours du début du XXe S., que les armées commencent à s’intéresser à l’aéronautique. Les ballons comme présentés ci-dessus furent progressivement remplacés par des avions. Au final les ballons d’observation furent réutilisés par les armées mais pas dans les sens originaux de leur conception. Comme on peut le voir sur cette photo, les ballons servirent de protections contre les attaques aériennes sur les bateaux (Les objets volants au fond de la photo). Ils furent utilisés pendant la première guerre mondiale dans un premier temps pour l’observation mais par la suite en protection.

     En conclusion, nous avons pu voir que les ballons d’observation bien que très bien avaient tout de même quelques inconvénients. Ces derniers, ont permis de faire avancer l’aéronautique. Ce sont les précurseurs de la reconnaissance aérienne.

L’histoire de la reconnaissance aérienne

Mis en avant

     Bienvenue sur notre “TPE sur L’Histoire de la reconnaissance aérienne”. Ce site est le résultat d’un travail de plusieurs mois effectué dans le cadre des TPE (Travaux Personnels Encadrés) par deux élèves de 1ère Scientifique au Lycée Pilote Innovant International . Il a pour but d’exposer nos recherches et notre réflexion menées tout au long de ce projet.

     Avec mon ami Tristan CARIUS, et moi même (Théo TEXIER), nous avons décidé de travailler sur un TPE, parlant de l’histoire de la reconnaissance aérienne.

     Tout d’abord pourquoi avons nous choisi ce thème ?

     Nous avons choisi ce thème car nous sommes des passionnés d’aéronautique et d’histoire en générale. Au travers de ce blog, nous vous parlerons de la reconnaissance aérienne au fil des siècles. C’est à dire du XVIIIe jusqu’à aujourd’hui et à l’avenir. Et à travers cela, acquérir des connaissances techniques et historiques sur un sujet auquel nous avions tout de même quelque base. Avec ce TPE, nous répondrons à la problématique suivante:

     Comment récupérer des informations par reconnaissance aérienne, et quelle est sera avenir ?