L’ancienne passerelle : que de bons souvenirs !

Entre Poitiers sud-ouest et Poitiers centre se trouvait la passerelle, la vieille, la vraie ! Construite en béton dans les années 50, elle servait aux piétons et aux cyclistes, qui se promenaient en famille. Pour Marie- Noëlle, la balade de nuit était plus drôle, le parking Toumaï, éclairé la nuit, lui faisait l’effet  ’’d’arbre de noël ’’ qu’elle s’amusait à prendre en photo.  Jacques, lui, la trouvait pratique pour aller au centre à vélo. Et Séverine aimait,  se promener avec ses enfants. Elle se sentait libre sur la passerelle où ses enfants pouvaient s’amuser en sécurité, vu que les voiture y était interdites.

Pour remplacer l’ancienne qui était un peu abîmé une nouvelle passerelle est en construction. Une passerelle toute neuve… pour des souvenirs tout neufs.

Perrine Chollet

K’eskon Attend à Poitiers

A Paris, avec Okapi, à Châtellerault, bien sûr avec Radio Arc-en-ciel, la NR ou le Châtelleraudais, le journal K’eskon Attend aime sortir en ville avec des journalistes pro. Mais, curieusement, depuis 7 ans qu’il existe, il n’a jamais connu cette expérience à Poitiers. Il y a bien eu deux ans de participation aux assises du journalisme mais jamais en situation de produire quelque chose. C’est donc avec curiosité qu’il attend la première édition de “Un jour à Poitiers” qui va accompagner les premiers pas de la nouvelle équipe 2013.

Car les équipes engagées dans l’opération sont encore des novices malgré l’expérience du journal dont ils sont les promoteurs. Chaque année renouvelée, la rédaction est composée d’élèves de 3ème volontaires, regroupée en une classe média dont la charge principale est de produire un mensuel. Dont le premier numéro de l’année 2013 est encore dans l’antichambre de leur bloc-notes tout neufs.

Un jour à Poitiers marque donc le lancement du travail de cette nouvelle aventure d’un journal qui en est à son numéro 36 : l’équipe compte sur cette opération pour faire ses premières erreurs, comprendre sur le terrain la notion de reportage et connaître aussi ses premiers émois de journaliste.  Rendez-vous tout à l’heure !