Selon Lemonde.fr, Vladimir Poutine, le ” président” de la Fédération de Russie accentue de plus en plus son contrôle sur les médias. Ce lundi 9 décembre Vladimir Poutine vient de dissoudre  l’agence de presse “Ria Novosti” pour la remplacer par un nouvel organisme se nommant “Россия Сегодня” ( la Russie d’aujourd’hui). Jusqu’ici rien d’anormal mais en se penchant sur le sujet on s’aperçoit que Poutine a attribué le poste de dirigeant au présentateur très controversé Dmitri Kisselev connu pour ses positions anti-oppositions, anti-américaines et surtout anti-gay. Même si les conseillers du président essaient de camoufler cette décision sur une réelle volonté d’ouverture du système économique russe au monde, la vérité ne paraît pas être celle-ci. Avec ce nouvel organe de presse, Vladimir Poutine souhaite accentuer considérablement son emprise sur l’ensemble de la presse russe.

Certains journalistes comme Pavel Goutiontov accueillent “Россия Сегодня” avec un certain scepticisme en soulignant le caractère propagandiste de ce nouvel organe de presse. En attendant Vladimir Poutine assoit son emprise sur la presse..

Selon lemonde.fr, le Sénat à rejeté le projet de loi visant à taxer à 75% les hauts revenus ce Lundi 25 Novembre. Malgré ce rejet par le Sénat, l’Assemblée Nationale ne s’est pas résolue à abandonner le projet de loi. Du coté des partisans de l’UMP on se félicite de ce rejet de la loi  “Il a fallu trouver une issue de secours”, a déclaré le sénateur Union pour un mouvement populaire, Philipe Dallier. Ce projet de loi posait de nombreux problèmes notamment avec les clubs de football Français qui ne comprenaient pas le manque d’équité entre les différents clubs puisque un club comme Monaco ne paye pas d’impôts puisque Monaco ne dépend pas du système d’imposition français.

Ce projet de loi n’est certainement pas abandonné, il reste à voir la riposte du parti de la majorité.

Selon lemonde.fr la dette publique de l’Espagne s’élèverait à 100% de son produit intérieur brut en 2014. Pour indication son endettement était de 68.5 % en 2011, depuis la récession a frappé et la dette publique a pris 23 points… La dette publique de l’Espagne atteindra les 243,888 milliards d’euros en fin d’année 2014. Mais le ministre du budget espagnol préfère rester positif en annonçant que 2013 “est la dernière année de récession” et que l’on assisteraient à une relance d’ici peu.

Cependant on imagine qu’il faudra du temps afin de retrouver un P.I.B en augmentation alors que celui-ci est en baisse de 1.3 % cette année. Il faudra espérer une reprise plus franche de la croissance pour faire baisser le taux de chômage qui est de 25.9%. Pour sa défense on assiste au sein de la zone Euro à une croissance atteignant 0.1 à 0.2%. Et des prévisions admettraient une croissance de 0.7 % pour l’Espagne en 2014.  Est-ce le début d’une nouvelle période de croissance ? Seul l’avenir nous le dira…