Fév 19

La Grèce : coincée entre l’Union européenne et son peuple

L’article du Parisien évoque l’ultimatum que l’Europe impose à la Grèce : le pays doit accepter l’extension du programme d’aide financière qui se termine à la fin du mois de février.

Cependant, la Grèce refuse. En effet, le nouveau gouvernement grec a promis lors de sa campagne électorale une politique anti-austérité, ce qui est contraire à ce que souhaite l’Europe. Lire la suite

Jan 29

Changement de politique des salaires pour relancer la demande japonaise

D’après Lefigaro.fr, Toyota, grande entreprise japonaise, a revu sa  politique de salaire. En effet, celles-ci était basée sur l’ancienneté des salariés et non leur productivité comme toutes les autres entreprises japonaises. Cela a pour conséquence, une faible mobilité des salariés : si un salarié change d’entreprise, il voit alors l’augmentation de son salaire retardée puisqu’il perd de l’ancienneté. Il n’est donc pas encouragé à changer d’entreprise au cours de sa carrière. De plus, la concurrence entre les entreprises est faible. La firme transnationale a donc décidé de prendre plus en compte dans le salaire de ses employés leur productivité. Lire la suite

Jan 29

La baisse du prix du pétrole: profitable à la France et à la zone Euro

D’après lemonde.fr, le prix du pétrole ne cesse de baisser ce qui permettrait de relancer l’économie notamment dans la zone Euro puisque les économistes prévoient une hausse du PIB.

En effet, en France, le prix moyen d’un baril de pétrole est passé de 82 euros en 2013 à 75.20 euros en 2014 et continuerait de baisser en 2015 pour atteindre 45 euros. Son prix serait alors presque divisé par 2 en seulement 2 ans. Le premier avantage de cette baisse, pour notre pays, est la diminution de sa facture pétrolière ; il a économisé, en 2014, 5 milliards d’euros  et cela pourrait aller jusqu’à 22 milliards d’euros pour 2015. Bien évidemment cette somme aiderait la France dans plusieurs domaines comme par exemple le déficit de la sécurité sociale. Lire la suite

Nov 06

L’insertion des jeunes dans l’emploi dépend de la catégorie sociale de leurs parents

D’après une étude de Céreq publiée dans Lemonde.fr, les jeunes individus, quel que soit leur diplôme, trouvent plus facilement un emploi si leur parents sont cadres plutôt qu’employés ou ouvriers. En effet, un enfant d’ouvrier a trois fois plus de chance de se retrouver au chômage à la sortie de ses études qu’un fils de cadre.

Ce fait s’explique par la “reproduction sociale” mais aussi par le niveau d’étude des individus. La “reproduction sociale” signifie qu’un enfant d’ouvrier a de grandes probabilités de rester dans la même catégorie sociale que ses parents.  Aujourd’hui, ce phénomène est encore présent puisque c’est le cas pour 58% des enfants d’ouvriers, toutefois, 9% arrivent à devenir cadre dès leur première année de travail. Lire la suite

Oct 28

L’inégalité homme-femme au travail persiste

D’après Lefigaro.fr, malgré les mesures prisent pour lutter contre l’inégalité homme-femme au travail, elle persiste et ne prendra fin que dans 81 ans selon le rapport publié par le Forum économique mondial.

En effet, même si le nombre de femmes travaillant  dans le secteur de la santé ou de l’éducation a augmenté, il reste insuffisant dans d’autres secteurs tels que la politique puisque les femmes représentent seulement 21% des chefs politiques dans le monde. Alors que l’économie profiterait de cette égalité car elle encouragerait la compétitivité et la prospérité des entreprises. Lire la suite

Sep 25

La diminution du nombre de redoublements, pour quelles raisons ?

Selon Leparisien.fr , les redoublements seront désormais très limités voire quasiment inexistants pour les élèves des classes obligatoires.

En effet, un décret est préparé par le ministère de l’Éducation Nationale pour limiter cette pratique. Différentes raisons sont évoquées, les premières sont évidemment dans l’intérêt de l’élève. Certains élèves sont amenés à redoubler parce qu’ils ne sont pas au niveau de leur classe or ce n’est pas pour autant qu’ils ne sont pas au niveau du socle commun de connaissance : ceux-là pourraient donc être autorisés à passer dans la classe supérieure suivant les établissements.

D’autres élèves n’atteignent pas les objectifs par manque de travail, ce qui peut être dû au désintérêt pour le programme. Pour remédier à ce problème, les enseignants pourraient utiliser les nouvelles technologies.

A l’issue des classes de troisième et de seconde, les élèves doivent choisir une orientation, or celle-ci n’est pas toujours accordée. Par conséquent, les élèves ainsi que leur famille privilégient un redoublement pour espérer obtenir l’orientation voulue l’année suivante. C’est par ce choix que l’on observe les préjugés sur les filières professionnelles: celles-ci sont dénigrées.

De plus, les redoublements ne sont pas toujours efficaces puisque l’élève ne résout pas forcement ses difficultés et se sent par la suite rejeté.

Enfin, une raison économique vient appuyer cette diminution du nombre de redoublants vu que les redoublements coûtent près de 2 milliards d’euros à l’État chaque année.

Malgré toutes ces raisons évoquées, les redoublements sont efficaces dans certains cas et ne doivent pas être totalement supprimés.