Archives mensuelles : février 2020

Du végétarien dans nos cantines

Avec la loi Alimentation adoptée fin 2018, les repas végétariens devront être proposés, dès le début du mois de novembre, au minimum une fois par semaine au sein des établissements scolaires.

Les acteurs de la restauration collective seront accompagnés, via le Conseil national de la restauration collective (CNRC), pour mettre en place ces dispositions et les évaluer. Pour les équipes de cuisine, la principale difficulté consiste à insérer le menu végétarien dans un plan alimentaire respectueux des exigences relatives à la qualité nutritionnelle des repas (arrêté du 30 septembre 2011). De plus, elles seront formées aux repas végétariens et doivent apprendre à élaborer des repas à partir d’ingrédients peu utilisés de nos jours : les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots…) associées à des céréales, des œufs, des produits laitiers.

Nous avons interrogé notre chef cuisinière Marylène Morisset.

“Pour manger équilibrer sans viande, il faut remplacer la viande par les oeufs et les protéines par des céréales.

L’équipe de cuisine a bénéficié d’une formation depuis quelques mois mais les cuisiniers serons formés sur le long terme.

Tous les selfs d’établissements de plus de 200 élèves sont obligés de faire des menus végétariens une fois par semaine.”

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  • C’est mieux pour votre santé. Un régime végétarien équilibré est l’un des régimes les plus sains que l’on puisse adopter.
  • C’est mieux pour l’environnement. L’un des choix les plus efficaces est de manger végétarien : dans certains cas, il permet de diviser par 2 « l’empreinte écologique » de son alimentation. L’industrie de la viande utilise d’énormes quantités de terres, d’eau et des combustibles fossiles, tout en produisant 18 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et d’autres formes de pollution.

 

Témoignages  :
  • “Moi, je suis pour les menus végétariens car je ne mange pas de viande et je trouve ça bien de montrer à tous le monde comment nous, on mange, les végétariens.” 🙂
  • “Moi, je n’aime pas trop les légumes, alors il y a certains plats que je n’aime pas. Mais sinon, c’est plutôt bon.”
  • “Il ne faudrait pas que ce soit plus d’une fois par semaine, parce que moi je suis plutôt carnivore !”
  • “Pour moi, ça dépend du repas ! Parfois c’est bon, parfois moins…”
  • “C’est bien de montrer aux enfants qu’on peut faire un repas sans viande même si ce n’est pas ce que je préfère”

Le téléphone qui fait oublier le livre

Le téléphone fait oublier le livre

 

Nous avons remarqué grâce à un questionnaire que nous avons distribué à des élèves du collège Jean Vilar que le téléphone a largement écrasé le livre dans les pratiques quotidiennes des jeunes. 25 élèves ont répondu, en majorité des 6e et des 5e.

Appareils personnels :

-88 % des élèves qui ont répondu ont un téléphone

-56 % ont une tablette

-40 % ont un ordinateur

-16 % ont autre chose

seulement 1 personne n’a pas d’appareil personnel

Temps consacrés aux appareils personnels par jour :

-20 % des personnes passent moins de 1h

-32 % entre 1 à 2 heures

-40 % entre 2 à 5 heures

-16 % plus de 5 heures

Lis tu ?

-80 % des personnes lisent

-16 % des personnes ne lisent pas

Temps consacrés aux livres par jour ?

-70 % passent moins de 1 heure à lire

-35 % y passent plus de 2 heures

-10 % y passent entre 3 à 4 heures

Aucune personne lit 5 heures ou plus.

Tu es plus ?

-60 % préfèrent lire un roman

-24 % les magazines

-12 % les contes

-24 % les mangas

-40 % préfèrent lire autre chose

Tu es plus téléphone ou livre ?

-8 % préfèrent le livre

-44 % préfèrent le téléphone

-48 % ne peuvent pas choisir

Énormément de personnes ont des appareils personnels et seulement 4 personnes sur 25 lisent.

En quelques années, internet et les réseaux sociaux ont pris de l’ampleur et nous influencent beaucoup.

-Un livre a l’avantage de faire progresser notre orthographe et notre culture (selon nos goûts bien sur)

-Un téléphone a l’avantage de trouver une réponse à nos questiosn en seulement quelques seconde.

Un humain peut utiliser 10 à 20 % de sa capacité cérébrale mais à cause de toute cette technologie notre capacité va beaucoup baisser. “Quand leur utilisation tourne à l’addiction, cela a des conséquences néfastes sur le corps et l’esprit: entrave au développement psychomoteur, social et même osseux des enfants, risque accru de myopie, démultiplication du risque d’obésité, dérèglement du sommeil, bouleversement de l’humeur, mise à mal des capacités d’attention, périls sociaux en tout genre, tendance aux comportements à risques.” (planetesante.ch)

Article fait par Kalvin , Manon et Lily