La discrimination positive est un traitement préférentiel visant à lutter contre la discrimination aux États-Unis en favorisant l’accès de groupes minoritaires à 3 secteurs principaux , celui du travail, du marché public et enfin l’admission aux études supérieures. Les groupes minoritaires sont définis par la couleur de peau , l’origine ethnique et les femmes, l’objectif étant de supprimer le terme de race dans la société.
En 1961 le président John F. Kennedy crée un programme dans le but de s’assurer que les institutions financées par le gouvernement ne commettent pas de discrimination à l’embauche. Puis son successeur Lyndon B. Johnson crée le civil right act qui va interdire toutes discriminations envers les groupes défavorisés. Ces lois ont pour but de renforcer l’égalité des chances dans le pays.
Cependant ces traitements préférentiels sont depuis un certain temps discutés, notamment dans le cadres de l’admission dans les établissements supérieurs où les quotas d’admission de ces groupes minoritaires sont discutés a partir des années 80 et progressivement supprimés dans la plupart des établissements supérieurs, car un individu noir avec des résultats inférieurs à un individu blanc pouvait y accéder plus facilement. Puis finalement le 28 juin 2007 la discrimination positive est interdite par la Cour Suprême bien que le critère ethnique reste un avantage pour un candidat car il apporte une diversité raciale dans l’établissement ou il est admis.