D’après la reforme scolaire initialement proposée par le gouvernement, le temps de travail serait de 4 jours et demi au lieu de 4 actuellement, “Seuls Européens à n’aller en classe que quatre jours par semaine, assommés par six heures d’apprentissage journalier quand les spécialistes les jugent incapables de fournir une attention soutenue plus de quatre heures et demie par jour, contraints surtout depuis 2008 d’avaler le même programme avec deux heures de cours en moins par semaine, nos enfants épuisés mettent tout le monde d’accord” (selon Lepoint).
Cette reforme a reçu plusieurs avis défavorables (selon Le Monde) dont celle de l’Association des Maires de France (L’AMF) qui “ont fait part de leurs fortes réserves notamment sur le coût de sa mise en œuvre”. En effet cette reforme rajouterait des coût financiers pour les collectivités locales, car “le changement des emplois du temps se répercute sur les activités périscolaires et le transport scolaire assurés par les collectivités territoriales.” Et cela requiert plus de personne pour encadrer les élèves.
Verdict le 23 janvier lors du vote au conseil des ministres.