Mais derrière cela c’est aussi un message fort que souhaite envoyer Bruxelles aux États membres, à quelques mois de l’échéance électorale, la Commission considère que la corruption terni l’image de L’UE, qui n’a pas besoin de ça après près de 5 ans de crise. De plus, comme évoqué précédemment, ce fléau fait perdre (ou plutôt ne fait pas gagner) beaucoup d’argent à des institutions déjà peu dotées de recettes fiscales.
Dans le cas plus précis de la France, elle se retrouve dans les “élèves moyens”, devant les pays d’Europe du sud et centrale, mais loin derrière les pays Nordiques, l’Allemagne ou encore le Royaume-Uni.
Ainsi, les marchés publics, qui représentent à eux seuls 20% du PIB français sont souvent le lieux de conflits d’intérêts. De plus la corruption pèse sur la concurrence et donc sur l’économie en générale. La France sait maintenant quoi faire, à savoir redoubler de vigilance et de contrôle!