Ce mercredi 6 janvier 2018, la naufrage d’un pétrolier Iranien en mer de Chine orientale a généré quatre nappes d’hydrocarbures s’étendant sur une surface de plus de 100km² soit a peu près la superficie globale de la ville de Paris.
Le “Sanchi” est le nom du pétrolier Iranien qui transportait 136.000 tonnes de condensats, des hydrocarbures légers (pétrole), et qui a sombré dimanche 14 janvier 2018 après avoir brûlé pendant une semaine sur une des mers les plus fréquentés de la planète, à la suite d’une collision avec un cargo Chinois à environ 300km à l’est de Shanghai, et gît à présent à 115 mètres de profondeur, a annoncé le ministère chinois des Transports, en ajoutant que des “robots sous-marins seront déployés pour explorer l’épave”. jusqu’à présent, seuls trois corps ont été retrouvés sur les 31 membres d’équipages présent sur le navire.
Le naufrage du pétrolier iranien pourrait engendrer des catastrophes écologiques majeures en mer de Chine orientale, notamment par la pollution de l’eau, et les cétacés, poissons ou oiseaux entrant en contact avec cette pollution peuvent mourir, contracter des maladies ou infirmités. De plus, l’épave qui gît au fond de l’océan, va relâcher des centaines de tonnes de diesel lourd contenu dans ses réservoirs.