“Le printemps Arabe” suite aux demandes de beaux principes démocratiques tels que la liberté et l’égalité, en Tunisie, en Egypte, s’est étendu à la Libye (ce qui n’est pas une découverte) . Les Libyens ont voulu acquérir le pouvoir afin d’y instaurer une démocratie, confisquée par le colonnel Kadhafi depuis plus de 40 ans. Une armée d’insurgés, jeunes lycéens ou encore commerçants quarantenaires non formés, s’est constituée afin de le destituer. Seulement elle ne dispose pas de moyens techniques aussi importants et performants.
Les troupes révolutionnaires se basent à l’Est, Benghazi, et s’était rendues jusqu’au centre, Ras Lanouf, mais ont reculé face aux forces armées de Kadhafi, composées de mercenaires étrangers, des professionnels.
C’est devant la défaite du vent de liberté que la France et le Royaume-Uni ont développé le désir de venir en aide aux insurgés. Avec l’accord des Émirats arabe, de l’Union africaine, une résolution de l’ONU, appelée “1973”, a été mise en place. Elle permet, aux forces française, britanniques et américaines d’intervenir afin de mettre en place une zone d’exclusion aérienne, et d’éviter le génocide de son propre peuple par Kadhafi.
Par ailleurs les pays occidentaux cherchent aujourd’hui une situation post-Kadhafi satisfaisante pour instaurer une Démocratie.
(Résumé de plusieurs articles papiers de Libération)
Camille L & Lauren