Une journée à la ferme.

Mardi 2Mai, nous sommes partis à la ferme pour répondre à notre problématique : “Est-ce que l’on agit sur notre territoire lorsque nous mangeons ?”
Grâce à Cécile, la fermière, Loïc et Erwan, 2 intervenants, nous avons pu valider quelques unes de nos hypothèses.

Avec Loïc et Cécile :
Nous avons tout d’abord appris que notre environnement a besoin des animaux pour lutter contre la pollution mais aussi pour permettre diverses chaînes alimentaires.
Les vaches par exemple de Cécile (des Limousines), qui sont élevées pour être mangées font des bouses, mangées par des mouches, mangées par les grenouilles, mangées par les buses…
Cet élevage est fait pour nos consommations de viande, et il enrichit notre environnement.
Cécile les vend directement aux consommateurs, c’est du local. Cela évite les intermédiaires et donc la pollution. Manger local est important pour notre planète.
Pour nourrir ses vaches, Cécile est autonome, elle cultive des champs pour produire ses graines, son foin. Nous avons donc des paysages en lien avec les besoins de chacun.

Avec Erwan :
Nous avons étudié notre territoire des Deux-Sèvres où l’on voyait une différence de sol entre le Nord et le Sud.
Les cultures des champs varient selon les sols, selon les demandes des consommateurs, et selon le climat qui se réchauffe (certains arbres apparaissent aujourd’hui avec les chaleurs).
Par exemple, nous trouvons aujourd’hui plus de champs de lentilles, de blé, car les consommations sont plus importantes.

Pour conclure :

Nous pouvons dire que nous agissons sur notre territoire lorsque nous mangeons. Nos consommations évoluent (se diversifient / augmentent / diminuent) et cela créé un changement dans nos paysages : plus ou moins de champs cultivés ; diversité des cultures ; présence d’élevages (vaches / moutons / chèvres ….).
La présence de fermes, et le métier de fermier joue un rôle très important dans nos consommations et sur notre territoire.

Vous aimerez aussi...