A la découverte des plantes sauvages sur les bords de la Sèvre

en bord de sèvres

en bord de sèvres

Mauve

Mauve

Grande Ortie

Grande Ortie

Le plantain montré par Katia

Le plantain montré par Katia

la bourrache

la bourrache

De jolies fleurs de bourrache

De jolies fleurs de bourrache

La Chélidoine

La Chélidoine

Avec Katia de l’association les Jardins d’Isis, nous avons exploré l’univers des plantes sauvages, de manière très concrète. Katia nous a permis de découvrir la face cachée de certaines plantes à côté desquelles nous marchons sans y prêter attention:

–          La bourrache : avec ses feuilles velues et ses petites fleurs violettes, cette plante va fournir une jolie décoration pour une salade, un dessert.. Ses fleurs se détachent facilement, et se mangent : un petit gout iodé qui ne laisse pas indifférent.

 

–          L’ortie : un remède miracle ! et un comestible exceptionnel.

–          La mauve : reconnaissable à la tache pourpre situé au centre de sa feuille, elle est comestible ! ses fleurs sont à l’origine du nom de la couleur.

 

–          Le pissenlit : ses graines sont le symbole de la connaissance pour les livres Larousse. Elles font la joie des petits (et grands) qui soufflent dessus. En latin taraxacum dens léonis, littéralement « dent de Lion », c’est une plante qui se mange ! Les fleurs pour la décoration ou la confection d’un miel de pissenlit, les feuilles en salade. Le mit Pissenlit (« pisse au lit ») indique que cette plante est aussi diurétique que ludique !

 

–          La chélidoine : ses petites fleurs jaunes égaillent souvent sur les bords des chemins. Quand on casse une tige, un suc jaune en coule, remède très connu contre les verrues

 

–          Le lierre terrestre : modeste par la taille mais grande par ses qualités ! on la reconnait avec sa tige carrée. Ses feuilles et fleurs font un sirop qui lutte contre la bronchite, elle est aussi utilisée pour la cuisine. Mais chut, nous découvrirons ça plus tard dans la journée

 

–          La berce spondyle : de la famille de la rhubarbe, sa tige a une odeur de mandarine quand on la casse. Elle est comestible !

 

–          Le grand plantain : cette plante pullule dans les pelouses piétinées. Elle se reconnait à ses feuilles en forme d’oreille de lapin aux nervures parallèles. Elle cache bien des qualités, en particulier le fait qu’elle soit comestible et que ses feuilles pressées entre les doigts soient un remède souverain contre tous types de piqures. Cela nous servira bien lors de la cueillette des orties !

 

Une belle matinée ensoleillée et une balade ludique sur les bords de la sèvre. Nous rentrons vite avec une moisson de plantes sauvages à cuisiner.