Le mercredi 19 février, nous nous sommes rendus avec les 6ème A pour la seconde fois au CPIE de Coutières. Alexis et Hervé nous attendaient déjà.
Ils nous ont aidés à comprendre la question « le succès reproducteur des amphibiens est-il dépendant du maintien de leur mare de naissance ? ». On a regardé un diaporama sur certains amphibiens de chez nous (triton marbré, triton palmé, salamandre, crapaud commun, rainette arboricole, grenouille agile, grenouille rousse, grenouille verte et alyte accoucheur). On a appris des choses sur la reproduction des amphibiens et on a pu remplir un tableau où il fallait marquer pour chaque espèce leur habitat favorable, leurs caractéristiques propres. On a aussi relié les amphibiens aux différents types de pontes.
Après le diaporama et quelques explications, on est sorti dans le jardin et on s’est séparés en deux groupes, le groupe d’Alexis a rempli la feuille sur les œufs des amphibiens au cadran solaire et l’autre groupe aussi avec Hervé en s’installant sur des bancs.
Chaque groupe s’est séparé en 4 groupes plus petits et on a fait un petit jeu de piste : on s’est mis dans la peau d’un triton pour trouver leurs habitats. La règle de ce petit jeu était de partir d’une mare puis de faire autant de mètre qu’un amphibien et il fallait qu’on trouve des lieux de reproduction, d’hivernage, des zones de passage protégés, des endroits où se nourrir mais tout ça à moins de 100m de la mare de naissance. Mais il y avait aussi des dangers ! C’était plutôt rigolo !
Pendant ce jeu, un groupe a trouvé deux poches d’œufs de grenouilles…
On a reformé les deux groupes. Le groupe d’Alexis s’est assis sur le cadran solaire pour remplir la carte des habitats favorables aux amphibiens. Le groupe d’Hervé a fait pareil, mais à un autre endroit.
On a remarqué qu’il y avait beaucoup de zones favorables dans le coin ! Nous nous sommes réunis dans la salle du diaporama, puis nous sommes repartis en bus au collège.
On a retenus que les amphibiens ne peuvent pas se déplacer trop loin pour aller de mare en mare et que les amphibiens sont des espèces protégées et que certains sont plus fragiles que d’autres.