La classe de 6eG du collège et la classe de CM2 de Celles sur Belle doivent relever le défi de répondre à la question scientifique suivante:
” Le maintien d’une diversité de plantes sauvages aux alentours et dans le potager favorise-t-il la qualité de la production alimentaire? “
Nous avons d’abord essayé de bien comprendre la question pour formuler nos hypothèses:
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Garder plusieurs plantes sauvages dans le jardin ne va pas aider à avoir plus de légumes ou fruits car: |
Garder plusieurs plantes sauvages dans le jardin va aider à avoir plus de légumes ou fruits car: |
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1) Ce sont des mauvaises herbes:
2) Les racines des plantes sauvages peuvent boire l’eau, prendre toute la nourriture et ralentir la croissance des plantes du jardin. 3) Des animaux vont être attirés par les plantes sauvages et vont manger le potager. PROBLEME: 4) Si on met des pesticides, des produits chimiques sur les plantes sauvages, ça va faire mourir le potager. |
1) Les plantes sauvages peuvent être mangées. Elles sont utilisées pour fabriquer de la nourriture. Il y a beaucoup de fruits qui poussent dans la nature sauvage, cela fait des économies d’argent. 2) Garder des plantes sauvages cela fait fuir les escargots et les insectes comme les pucerons avec l’odeur. 3) Garder des plantes sauvages cela attire les insectes qui butinent, les insectes comme les coccinelles qui mangent les pucerons. 4) Les plantes sauvages seront de la nourriture pour les animaux et le potager sera ainsi protégé. 5) Les plantes sauvages aident car elles peuvent donner de l’engrais naturel (exemple la paille). 6) La lavande et l’ortie aident à faire pousser le potager. 7) Si nous mettons des plantes carnivores, elles pourront défendre les légumes contre les insectes qui veulent les manger. |
Pour commencer à savoir qui avait raison, nous avons fait appel à Katia de l’association ISIS.
Les découvertes que nous avons faites ensemble nous ont permis de faire une conclusion:
“Les plantes sauvages ne sont pas toxiques sinon nous n’aurions pas pu les manger. Nous avons fait des pestos d’orties au gruyère , au chèvre et au parmesan. Nous avons aussi mangés de la confiture de cynorhodon, du coulis de prunelle et pour décorer les pestos , nous avons utilisés de la bourrache et des pâquerettes . Les plantes sauvages font des économies d’argent car nous pouvons les cueillir nous-même. Les plantes sauvages peuvent faire de l’engrais naturel comme le purin fait avec des orties . Cela peut aider à faire pousser quelques fruit et légumes!”
A bientôt!
😀
