Le 17 octobre
Nous avons lu un article de la « Nouvelle République ».
On y parle de poissons migrateurs. Ils arrivent tout petits de la mer. On les appelle civelles ou « pibales » dans notre région. Les civelles passent de l’eau salée à l’eau douce. C’est difficile parce que des barrages bloquent le passage. Alors des techniciens ont équipé les barrages de passes à poissons et de tapis-brosses. Ainsi les civelles peuvent poursuivre leur voyage.
Elles entrent dans la Sèvre Niortaise. Certaines s’installent dans le marais Poitevin et d’autres remontent le fleuve. Elles grandissent dans les rivières, des mares ou des étangs. Quand elles sont adultes, les civelles deviennent des anguilles. Quand les anguilles sont prêtes, elles repartent dans l’autre sens. Elles rejoignent la mer pour aller se reproduire.
L’anguille est une espèce protégée et très surveillée. Sophie Der Mikaelian effectue cette surveillance pour le Parc du Marais Poitevin. Depuis quelques années, elle constate que les civelles sont de moins en moins nombreuses à entrer dans la Sèvre, en particulier les années de sécheresse, comme cette année.
Quelques questions
Trouve-t-on des anguilles à Saint Maixent ?
Comment les civelles remontent-elles le fleuve ?
Comment les anguilles se nourrissent-elles, comment vivent-elles ?
Pourquoi sont-elles de moins en moins nombreuses ?
Pourquoi y a-t-il des barrages dans le marais Poitevin ?
Le 7 novembre
Lors de notre première sortie avec la classe de sixième A , à Tempête, nous avons constaté que la Sèvre Niortaise et ses rives en bas de Saint Maixent sont occupées par des aménagements de l’homme : une passerelle, des planches de retenue des berges, la base de canoë, les bassins d’une ancienne piscine, une frayère à brochets, une plantation de peupliers, des moulins à eau avec leurs canaux et leurs chaussées en pierre.
Est-ce que ces constructions ont un effet sur la présence des anguilles dans la rivière ?
CM2 Wilson Saint Maixent