Exposition des 5ème à Mignaloux
Ce week-end les 5ème présentaient une exposition de leurs travaux sur le développement durable et l’éco-citoyenneté à la fête de la nature de Mignaloux-Beauvoir.
Bravo à tous.
Nicolas Censier
Ce week-end les 5ème présentaient une exposition de leurs travaux sur le développement durable et l’éco-citoyenneté à la fête de la nature de Mignaloux-Beauvoir.
Bravo à tous.
Nicolas Censier
Quels commentaires vous inspire cette affiche ?
En France, plus de la moitié des rivières et des nappes phréatiques sont polluées.
L’urbanisation, l’essor de l’industrie et de l’agriculture intensive ont accru, de manière chronique ou accidentelle,
la pollution des cours d’eau.
La moitié des fleuves et rivières de la planète sont pollués.
Cette pollution chimique provient entre autres des engrais de synthèse et des pesticides utilisés par l’agriculture, et des rejets toxiques de l’activité industrielle et minière.
Le ruissellement des pluies et les infiltrations dans le sol entraînent la pollution vers les cours d’eau et l’océan.
De plus en plus, les nappes phréatiques, théoriquement moins vulnérables que les eaux de surface, sont également contaminées, souvent pour une longue durée du fait du lent renouvellement des eaux souterraines.
Par ailleurs, sur les quelques 10 000 espèces connues de poissons d’eau douce dans le monde, une espèce sur cinq (une sur trois en Europe) est en danger d’extinction pour ces raisons.
Face au problème de la pollution, agriculteurs, entreprises et collectivités se mobilisent pour trouver des solutions, à la fois correctives et préventives. En France, un important effort de dépollution est en cours.
Nicolas Censier
Mercredi s’est terminé le 2ème festival de film sur l’environnement organisé par l’ENSIP (Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers).
Ces étudiants sont des cracks en maths. Ils sont aussi concernés par les aspects environnementaux de nos sociétés. Et quelques uns sont passionnés par la vidéo et le film.
On a été accueilli royalement : musiciens de la maison, lunch. Le maitre de cérémonie a conduit cette dernière soirée parfaitement. Bravo à cette équipe de copains motivés !
Les horaires n’ont pas été très favorables à un déplacement des élèves de cinquième de l’EREA, dommage…
Je vous dirai qu’on a pu voir 11 films de court métrage supers ! Quelques uns méritent d’être diffusés largement. Le thème environnemental est bien servi par ces films d’animation ou ces montages personnels d’étudiants adroits (une école de cinéastes animaliers était représentée).
Le 1er prix est revenu à un jeune qui a pastiché l’émission de télé bien connue “C’est pas sorcier”. Tout y était : le studio camion, les maquettes, l’homme de terrain et même la p’tite voix !
Le 2éme prix est allé à une équipe d’étudiants de l”ENSIP montrant les abus de la vie d’étudiants peu scrupuleux. J’ai beaucoup aimé aussi un clone de “Stars War” où les bons sont des légumes bio attaqués par les forces du mal (OGM et mal bouffe). Excellent !
Et puis va falloir que je vous fasse écouter le discours de la jeune Severn Suzuki devant la commission de l’ONU sur le thème des problèmes environnementaux et de la solidarité dans le monde. Sacrée jeune fille ! Et que ses idées sont fondamentales… !
Si vous voulez voir ces vidéos, passez voir le site de l’ENSIP : Le site officiel du Film Environnemental
Sélectionnez Films hors Compétition ou Films Concourants. Donnez-moi ensuite votre avis !
M. Quillivic
Les bords de cours d’eau, et les cours d’eau en général, ont été aménagés depuis longtemps, des siècles pour certains d’entre eux. Tous ces aménagements ont modifié fleuves et rivières d’une façon qui est généralement considérée comme négative, c’est à dire allant dans le sens d’une dégradation des écosystèmes. Il y aurait donc aujourd’hui nécessité non seulement de protéger l’existant mais aussi de restaurer ce qui a été dégradé.
L’artificialisation des cours d’eau se traduit d’abord par une modification du chenal lui-même. Le cours d’eau, continuum de la source jusqu’à la mer, peut être fractionné par les aménagements, comme dans le cas des barrages qui empêchent les poissons et les sédiments de transiter de l’amont vers l’aval et qui, en modifiant fortement les flux, bouleversent les écosystèmes. (Lire la suite…)
Chaque semaine nous vous proposons de réfléchir au développement durable par le biais d’une affiche.
Quels commentaires vous inspire cette affiche ?
Contrairement à d’autres ressources naturelles, l’eau ne s’épuise pas. La quantité d’eau sur Terre n’a pas varié au cours des temps géologiques.
L’eau recouvre les trois quarts de la surface de notre planète. Les réserves mondiales d’eau totalisent 1386 millions de kilomètres cubes.
La quasi totalité (97,5 %) de cette eau est salée et forme l’océan.
L’eau douce ne représente que 2,5 % de la quantité totale d’eau sur Terre, mais 70 % de ce stock est figé dans les calottes polaires et les glaciers de montagne.
L’eau est présente partout sur Terre,
sous forme liquide (pluie, rivières, lacs, océans), solide (neige, glaciers) et gazeuse (humidité, nuages).
Ces différents états se succèdent du fait des interactions entre le Soleil, l’atmosphère, l’eau et la croûte terrestre.
En fonction du relief qui reçoit les précipitations, de la saison et de la latitude, l’eau gèle, ruisselle ou s’infiltre.
Elle imbibe les sols, percole jusqu’aux nappes phréatiques, se concentre et s’écoule dans les rivières et vers la mer.
En raison du mouvement des masses d’air, des variations géologiques et de la diversité des reliefs,
l’eau est inégalement répartie à la surface des terres émergées.
Nicolas Censier
Notre planète est une couche assez instable posée sur un manteau magmatique. On connait les tremblements de terre ; ils sont aussi vieux que l’est notre planète !
Le japon vient de subir le plus fort séisme depuis 140 ans. La conséquence directe de ce séisme fut un tsunami qui a balayé les côtes basses du nord du japon. On imagine une vague de 10 m de haut qui déferle sur les côtes … Les images sont terribles.
Moi qui ait vécu au bord de la mer, je sais les colères de l’océan parfois meurtrières et j’ai une pensée pour ces hommes et femmes de la même planète que nous qui découvrent leur monde dévasté, leurs proches disparus.
Et la centrale nucléaire fragilisée qui s’ajoute à leur désarroi…
M. Quillivic
On peut composter:
On ne doit pas composter: le plastique, le bois traité, les produits chimiques, le verre et les métaux.cahm.elg.ca
Valentin
Chaque semaine nous vous proposons de réfléchir au développement durable par le biais d’une affiche.
Quels commentaires vous inspire cette affiche ?
Pourquoi la pollution terrestre se retrouve-t-elle dans les océans ?
Chaque année,
6 millions de tonnes de produits chimiques charriés par les fleuves,
sont déversées dans les océans.
Durant son parcours sur les continents, l’eau érode les roches et emporte des éléments minéraux dissouts qui deviendront le sel marin.
Le cycle de l’eau assure une circulation permanente de l’eau entre les océans, l’atmosphère et les cours d’eau terrestres.
Ainsi, les mers sont la destination finale de presque tous les cours d’eau terrestres, et en reçoivent toutes les pollutions, chimiques et organiques, liquides et parfois solides, qui s’y combinent et, pour partie, sont accumulées par les organismes marins.
Chaque jour, au niveau mondial,
2 millions de tonnes d’urine et de fèces humaines sont rejetés directement dans les cours d’eau auxquels s’ajoutent les lisiers des élevages et les engrais agricoles.
Le long du littoral, la pollution venue de la terre perturbe le fonctionnement des écosystèmes marins. Des zones marines de plus en plus vastes et nombreuses sont considérées comme mortes.
Partout dans le monde, des programmes de recherche et des initiatives politiques sont mis en œuvre pour trouver des solutions à ces problèmes.
Plus d’informations en allant sur le site : ledeveloppementdurable.fr
Nicolas Censier
Vous en aviez eu l’idée et nous en avons discuté en cours de physique. Je vous avais dit que c’était totalement irréalisable…
Ceci dit, en regardant l’émission de télé “Thalassa” ( qui signifie océan en grec et en berbère) ce vendredi 4 mars, vous apprendrez qu’un ingénieur français réfléchit à la façon d’utiliser la ressource en eau que représentent les icebergs des calottes glacières !
Voici la présentation qu’en fait S. Le Gall, journaliste à Télérama : “Depuis 40 ans, l’ingénieur français Georges Mougin rêve de faire dériver les icebergs jusque vers les pays chauds qui manquent d’eau douce“. La simulation informatique montre qu’un iceberg doit pouvoir voyager de Terre-Neuve (le nord-est du Canada, pas très éloigné du Groenland) jusqu’aux Canaries (au large des côtes sud-marocaines, dans le même océan Atlantique), soit en gros 4200 km.
C’est pas fabuleux, ça ? Quand je vous dis que la physique ça fait rêver !
Je vois déjà Christophe proposant distraitement en vie de classe qu’on calcule le volume qu’aura un iceberg de 10 000 tonnes une fois arrivé au large de l’Afrique, après quelques semaines de ballade dans l’océan… “Christophe, tu reprendrais bien un peu de glace sans Chantilly ?”
Ce sont les poissons africains qui vont être surpris…
M. Quillivic
Voici une vidéo qui n’a pas tout à fait les revendications que nous tâchons de développer. Elle montre plutôt la diversité des systèmes où vivent les hommes. “Human planet“, vous devinez ce que ça veut dire ? Ces images sont d’une beauté à couper le souffle, regardez ça ! Et merci à Caroline Jablonski qui a repéré ces images. Cliquez sur le lien direct ci-dessous :
Si vous voulez en savoir plus :
Voici la superbe présentation d’une série de documentaire de la chaine anglaise BBC One, appelé Human Planet qui vous emmène dans 80 endroits différents à travers le monde pour montrer la relation extraordinaire de l’humanité avec la nature. De superbes prises de vue en haute définition. (Lire la suite…)
Hébergé par
l'Académie de Poitiers et propulsé par WordPress MU
| Thème Aeros | TheBuckmaker.com WordPress Themes | Traduction WordPress tuto
Espace pédagogique de l'académie de Poitiers | Mentions légales | Traitement des données