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C’est le passage Brady avec ses restaurants.

Grâce a Mme Jablonski, je suis allé chercher des documents sur le passage Brady: je sais que le passage Brady fait 216 mètres de long et qu’il a été fait en 1828 par M. Brady, commerçant. Une partie du passage est couverte par une verrière ( toit en verre). Ce passage se trouve dans le 10°  arrondissement de Paris.

On surnomme le passage Brady : la petite Inde ou little India.

jordan g

Bonjour nous allons partir le 31mars à Paris en train,  pour visiter le quartier Indien. Nous irons au musée de l’art postal ; on ira manger dans un restaurant indien et le soir on fera du  bateau mouche…on ira voir la tour Eiffel ; on ira même dans les magasins acheter des souvenirs et on rentrera le 1er avril en train .

Sarah

Mes loisirs sont la pétanque, le foot, le baskett, le catch anéricain, le hanb ball ….et à l’école c’est les maths, l’anglais, le sport…  et vous c’est  quoi?  répondez vite!

mickaël

Il reste  aujourd’hui 6 000 tigres dans  le monde, contre  100 000 au début  du siècle. Ils  ont été décimés par les chasseurs,  pour leur fourrure, et par les  paysans, dont  ils  menaçaient les  troupeaux. Beaucoup vivent en Inde, dans des parcs nationaux. En voici une carte.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Panthera_tigris

Tiger distribution3.PNG

et une photo :

Tigerramki.jpg

Kilian

A propos de l’exposition photos sur l’Inde et de notre visite à l’Hôtel de région.

Jeudi 12 novembre 2008, on est parti voir une exposition photos du sud de l’Inde, et surtout des régions du Tamil Nadu (région où habitent nos futurs correspondants) et du Kerala dont Madame Rodriguez nous avait parlé un jour.

On a vu de belles photos avec des explications. On a appris beaucoup de choses, par exemple sur des animaux puis on a vu un petit film sur l’Inde. Ils ont pris des photos à Kalalapuram en Inde du sud. On a vu des vaches peintes et fleuries pour certaines fêtes, des troupeaux de moutons et de chèvres dans les rues. On a vu aussi des femmes avec un point sur le front ( le BINDI ) : ça veut dire qu’elles sont mariées et protégées. Elles n’ont pas toutes la même couleur de peau …et ils ont une écriture différente de la nôtre. Il y a le tamoul et d’autres langues…..

On a vu des “Tuc-Tuc” qui sont des taxis ; Il y avait des mobylettes qui transportaient des “montagnes” de gamelles et des casseroles et des poêles pour faire cuire de la viande, de la nourriture, du riz, du bœuf ou des œufs…

Anthony et Cindy

Les glaneurs et la glaneuse

Les glaneurs et la glaneuse.

    Nous avons été voir un film dont le titre est « Les glaneurs et la glaneuse » Il s’agit d’ une sortie scolaire des 5èmes… tout le monde l’a vu et nous avons bien aimé ce film. C’est dans le cadre de collège au cinéma.

    Les glaneurs et la glaneuse est un document de la réalisatrice Agnès Varda, sorti en France en 2000. Il s’intéresse aux glaneurs qui ratissent les champs fraîchement récoltés pour y trouver des restes de récolte mangeables, et d’autres types de glanages.

    Agnès Varda rencontre différentes personnes : jeunes, moins jeunes, agriculteurs, RMIstes , salariés, retraités, en ville ou la campagne, qui vont glaner dans les champs ou grappiller dans les arbres après les récoltes, ramasser les légumes ou fruits hors calibre, récupérer de la nourriture dans les poubelles des supermarchés, des boulangeries ou à la fin des marché. Le film montre aussi les personnes récupérant des objets dans les poubelles ou dans les rues lors de la la collecte des déchets encombrants. Ces objets sont réparés, réutilisés par ces personnes dans leur vie quotidienne ou par des artistes pour leurs œuvres d’art. Ces « glaneurs», comme le dit Agnès Varda, font référence au tableau “les glaneurs” de Jean-François Millet, qui est un peintre français connu.

    Nous vous montrerons une image de ce tableau si possible.

    ALLONE ET MICKAËL

Madame Rodriguez, une professeur de l’EREA, un jeudi, en vie de classe, nous a parlé de l‘Inde, car elle est allée visiter une région, le Kerala, près du Tamil Nadu. Et elle nous a montré des photos. Elle nous a ramené des objets : de l’argent, une statuette, un éventail avec des plumes de paon, de l’artisanat indien, des vide-poches en soie représentant des éléphants.

Elle nous a parlé aussi de certains aliments :

Le riz: il y en a plusieurs sortes. Celui qu’on connait ici, par exemple mais celui du Tamil Nadu est petit et blanc.

Il y a plusieurs sauces et plats indiens, et la cuisine en général est épicée et parfumée.  Les légumes et les fruits sont variés et différents de chez nous… On en connait certains comme les bananes, les noix de cajou, le café, mais peut être pas tous. Pour lutter contre les infections de l’eau polluée, les indiens boivent de l’eau bouillie  avec du sésame jaune.

Les tissus et les vêtements : ils portent souvent des vêtements traditionnels comme le sari pour les femmes, le longhi pour les hommes. On a appris aussi que les femmes travaillent de plus en plus à l’extérieur mais emmènent leurs petits avec elles. Les hindous font brûler leurs morts et jettent les cendres à l’eau. Les femmes ne peuvent pas participer à l’enterrement. Elle nous a montré aussi des albums photos avec des photos de taxis très remplis et de bus surchargés. On a vu aussi des vaches et des chèvres …elles étaient très maigres!

Dolorès et Natanaël

On est allé voir le plus vieux château d’eau de Poitiers. C’est le plus ancien, construit au 19ème siècle en 1887, il adopte la forme d’un tronc de pyramide. L’eau est puisée à une vingtaine de kilomètres, dans la nappe de Fleury, commune de Lavausseau, à l’endroit où les romains s’approvisionnaient déjà.
Elle est conduite vers Poitiers par des aqueducs qui empruntent un parcours parallèle à celui de l’époque gallo-romaine
Une turbine installée au fond d’un puits de 40 mètres, à proximité du château d’eau, fournissait la force motrice nécessaire pour monter l’eau dans un réservoir alimentant dans le premier étage de la ville .
Fleury : c’est une source sous la terre…il n’y a aucun moteur. La CAP comprend 12 communes, et 130 000 habitants sont alimentés…pour que l’eau soit propre, elle est traitée avec des produits chimiques. Pour voir si l’eau est potable, on y met des truites. Si elles meurent,  cela veut dire que l’eau n’est pas potable.
Dans le bureau administratif, vingt châteaux d’eau restent sous le contrôle de la ville de Poitiers.
Vingt ordinateurs sont télécommandés, car il y a des “mouchards”, répartis sur les ordinateurs qui signalent les problèmes…ainsi, on peut arrêter le système de l’eau et redémarrer le fonctionnement, qui est surveillé en permanence.

Eric K. et Bastien B.

Voici les instruments vus en classe avec nos jeunes stagiaires Laura et Marine ( préparation à la semaine culturelle )… leurs renseignements sont pris dans Wikipédia.

Ils sont fort anciens et complexes. Les éléments de lutherie, les mélanges de textures (métal, bois, cuir, os, ivoire, nacre), les tambours harmoniques, font de chacun de ces instruments une œuvre d’art. Il en existe une grande variété, avec des variantes locales. L’ Inde est un continent où même les dieux sont musiciens… La musique indienne utilise des instruments qui lui sont propres mais elle a aussi intégré quelques instruments occidentaux depuis longue date comme le violon et l’harmonium, ou plus récemment: la mandoline ou le saxophone.

Voici quelques instruments traditionnels :

Le Bansurî : c’est la grande flûte traversière indienne classique et c’est probablement le plus ancien instrument de l’Inde du nord. On le nomme aussi de son ancien nom kulal. La flûte populaire, droite et à bec ou traversière, plus petite, est appelée murali. C’est un instrument qui joue un rôle particulier en Inde, car il est fortement associé au dieu Krishna. Il est fait de bambou. On en joue, assis par terre, les trous du bansurî sont obturés non pas avec la pulpe des doigts, mais avec les phalanges. Le son est très grave.

Le Shehnai : c’est le hautbois rustique de l’Inde. Il très apprécié, en bois, et a une perce conique de 50 cm de long. Il a une anche double. Les huit trous sont bouchés non pas avec la pulpe des doigts, mais avec les deuxièmes phalanges. Le souffle continu est utilisé Il se joue en ensemble avec une petite percussion double, le khurdak. il est toujours joué par les musulmans et toujours à l’occasion de tous les mariages hindous ou musulmans. Il est devenu récemment un instrument solo pour la  musique indienne classique.

Le dohol, est un tambour à deux peaux, joué avec les mains et avec une baguette, parfois. Il est joué dans de nombreux pays, comme l’Arménie ou l’Afghanistan…C’est un gros tambour couché. D’un diamètre de 30 à 60 cm et long d’un mètre, il est en bois de tun ou de manguier. Les peaux sont maintenues coincées par des cercles de fer qui eux-mêmes sont tendus par des cordes qui entourent l’instrument en les reliant entre eux. On en joue assis ou debout (avec une lanière), en frappant les peaux avec la main droite et une fine baguette tenue par la main gauche. Il est très répandu et lié aux festivités. Très sonore il est l’instrument de la rue, des festivals et des groupes folkloriques. On l’entend beaucoup dans les musiques de films. Il en existe une variante plus petite: le dholak

Le Gatham ( instrument de percussion ) a une forme de vase ou de pot. Son utilisation en Inde (et au Pakistan) remonte au 8ème siècle. Traditionnellement réalisé en terre cuite, il a en général 50 à 60 cm de diamètre et ne comporte qu’une large ouverture. C’est un ustensile culinaire dont l’emploi a été détourné. L’instrument est, soit posé sur les jambes du percussionniste assis, soit sur un anneau en fibre végétale, soit porté à l’ épaule. Le son est produit en faisant résonner le corps de l’instrument en le frappant du plat ou de la tranche des mains, du poignet ou du bout des doigts ou phalanges ou ongles. C’est l’un des instruments d’accompagnement de la musique religieuse. Il est aussi utilisé dans la musique folklorique au Nord.de l’Inde

Marie – Hélène Ducoudray

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/4b/Banshri.jpg

Oui Julie ( voir l’article ci-dessous ), je suis tout à fait d’accord pour écouter ton disque et ainsi, à mon tour, je m’envolerai vers ces contrées lointaines … histoire que tu ne voyages pas toute seule !

Je voulais aussi préciser à tous les lecteurs qu’il est toujours possible de lire les anciens textes écrits sur les pages de ce blog pédagogique en cliquant sur ARCHIVES ou en descendant en bas de page (articles plus anciens) … car il commence à y en avoir beaucoup et certains ne figurent plus sur la première page ( il y a  actuellement 5 pages ) !
Marie Hélène Ducoudray

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