Warbird

Auteurs : Virginie Orens et Mélissa Lafitte

Journée Warbird

Dimanche 30 septembre, l’aéroclub de Sainte-Soulle, qui se nomme le Club Aéromodéliste Rochelais (ou C.A.R.) organisait une journée warbird. C’est une journée annuelle réservée aux avions de guerre radio-commandés. 

La journée commençait à 10H, le matin était réservé à des vols d’échauffement et il faisait assez frais. Un membre d’un autre club d’aéromodéliste avait apporté un moteur 7 cylindres en étoile.

Il y avait sur le terrain le 3ème champion du monde d’aéromodélisme. Il y avait de très beaux avions, quelques exemples d’avions de guerre. Il y avait des «Corsaires», des « P47 », des «Spits», un «Bronco» et il y avait même un avion de chasse radio-commandé avec un réacteur à l’arrière de l’appareil. L’après-midi, c’était démonstration des appareils.

C’était une magnifique journée sans vent si ce n’est vers la fin de l’après-midi où il y a eu environ 20 km/h. A 18H tout le monde est parti. Il y avait «les mouettes rieuses», c’est le club de St Vivien, l’«A.M.C. Saintonge», c’est le club d’aéromodélisme de Trizay.

Virginie Orens et Mélissa Lafitte

Beach rugby

Auteur : Mathilde Poncelet

À l’occasion de la Journée du Sport Scolaire du mercredi 19 septembre, plus d’une vingtaine d’élèves du Collège Marc Chagall dont 3 élèves de la classe presse, ont participé à une manifestation départementale, proposée par L’UNSS 17 et totalement gratuite et sans contrainte.

C’est en effet sur la plage de Châtelaillon, site agréable et reconnu, sous un soleil généreux et une douce brise que s’est disputé ce long après-midi festif sans réel enjeu, si ce n’est celui du plaisir de l’élève. Cette manifestation a rassemblé 241 adolescents dont 40 filles.  Le collège Marc Chagall avait engagé trois équipes dans trois catégories différentes Benjamins Garçon, Minimes Garçon, Minimes Filles, mais dans le même niveau de pratique.

Les élèves, rosis par le soleil ont profité de la convivialité ambiante et même si les résultats ne comptent pas, les voici à titre indicatif :

2e /6 équipes Minimes filles

2e/ 6 équipes Benjamins garçons

5^e/ 5 équipes Minimes garçons

Avec l’aide de Mme Bouard, professeur de sport des 3e A.

RENCONTRE AVEC ÉRIC GLOVER DU 28 SEPTEMBRE 2012

Auteurs : classe de 3ème A option presse :

Est- ce que vous avez déjà été tenté de faire autre chose dans le journalisme comme la radio, la photo… ?

J’ai déjà travaillé à la radio (France Culture), créé des documentaires, ai été présentateur TV et producteur d’émissions (Euréka).

Et si vous pouviez ne faire qu’une chose dans toutes ces professions laquelle choisiriez-vous?

Aucune car j’aime toucher à tout : je vais d’ailleurs devenir professeur de plongée aux Philippines dans les prochains mois !

Quels sont les journaux dans lesquels vous avez travaillé ?

J’ai travaillé dans :

-Science et avenir

-Nature (magazine anglais)

-New Santé

-BBC (d’Angleterre)

-Courrier international

-Usine nouvelle

Pourquoi avez vous choisi de devenir journaliste ?

En réalité, c’est le journalisme qui m’a choisi. C’est grâce à ma mère que je suis devenu journaliste, car ma mère lit le télégramme de Brest. Le télégramme de Brest est un PQR (Presse Quotidienne Régionale). Un jour ma mère a vu dans le PQR un article comme quoi je pouvais commencer à faire des études de journalisme et qu’il n’y avait pas d’âge pour entamer une carrière de journalisme. Ainsi ma mère m’a prévenu et j’ai pu commencer mes études pour devenir journaliste.

Pourquoi avez-vous choisi des sujets sur l’écologie, est- ce un sujet que vous maîtrisez bien ?

Oui j’ai des facilités à informer sur ce sujet. J’ai aussi fait des recherches sur les ondes et l’archéologie.

Est-ce que vous vous déplacez souvent dans les collèges ? 

Oui souvent mais surtout dans les lycées.

Votre travail nuit-il à votre vie privée ?

Mon travail nuisait par moment à ma vie privée. En raison du respect du cadre éthique, j’ai parfois refusé certaines choses dont je n’ai pas à préciser la nature. En raisons de mes refus, j’ai été licencié à plusieurs reprises.

Qu’avez-vous fait comme études ?

J’ai fait un bac+5 économie, des études de musicologie, j’ai fait une formation de physique et d’archéométrie. J’ai eu recours aussi à des cours par correspondance.

Quand vous étiez à courrier international, occupiez-vous toujours la même place ?

Oui et non, j’ai commencé par pigiste, après cette période je suis devenu chef internet pendant 6 ans, puis chef scientifique pendant 4 ans.

Pourquoi faites-vous montrer ce documentaire sur l’eau à des Jeunes ?

Eh bien, premièrement pour élargir le regard des problèmes d’aujourd’hui à la nouvelle génération, pouvoir analyser la façon dont les jeunes interprètent ce problème. Et deuxièmement avoir l’occasion de travailler avec des collégiens et des lycéens notamment le lycée Doriole qui nous a aidés à préparer et à présenter le film « Water Makes Money ».

Si vous aviez été président, quelle loi auriez vous envisagé de faire voter ?

Je ne voudrais pas être président et je trouve qu’il y a suffisamment de lois. Au lieu d’en faire voter de nouvelles, je m’arrangerais à ce que les anciennes soient respectées.

Quelle langue traduisiez-vous pour Courrier International ?

Je ne traduisais rien pour Courrier International mais je parle tout de même couramment 4 langues ,j’en lis 2 de plus et en comprends 2 supplémentaires ce qui fait en tout 8 langues pratiquées. Malheureusement, je n’ai aucun mérite pour l’anglais ,car mon père est anglophone, ce qui m’a d’ailleurs aidé dans ma jeunesse.

Quelqu’un a-t-il déjà tenté de vous corrompre pour faire taire un article problématique ?

La corruption est un acte très rare dans le journalisme mais j’ai tout de même subi des pressions au sein de mon propre journal, ce qui m’a poussé à l’auto-censure. j’ai aussi reçu des appels me demandant si j’étais bien sûr de ce que je faisais pour me faire douter ou pour repousser l’échéance. Bien que la corruption soit quasiment inexistante dans ce milieu, la collusion est régulière.

Dessin réalisé par Alicia Djalti

Étiquettes : Journalisme

Critique du film:« Comme un air d’autoroute»

AUTEURS  : Bastien Hémon et Jordan Nurit.

Le film de Vincent Burgevin et Franck Lebon est une comédie musicale joyeuse et pleine d’humour interprétée par Boris Vigneron (Peter), Maryvette Lair (Marie), Didier Bourdon(Mr Degrand), Catherine Hosmalin (Francette), Jérôme Bruno, Jean Vocat, Patrick de Valette qui ont très bien joué leur rôle.

De faire un film sur une aire d’autoroute est une idée originale, la musique fait vivre le film, le rend plus humoristique et raconte une partie de l’histoire.

On ne s’ennuie pas pendant la durée du film qui est de 90 minutes.

Étiquettes : FictionTV

Résumé de “Comme un air d’autoroute”

   Auteurs : Bastien Dolbeau et Corentin Piteau.

Jeudi 6 septembre, à 14 Heures, Comme un air d’autoroute a été diffusé au cinéma du Dragon à La Rochelle pour la Fiction TV.

Un jour, un homme trouve un bébé abandonné sur une aire d’autoroute. Ce bébé va grandir et passer son enfance, son adolescence et jusqu’à ses 30 ans sur cette aire d’autoroute.

A ses trente ans, Peter (Boris Vigneron) devient le propriétaire de l’aire d’arrêt où monsieur Degrand (Didier Bourdon) veut lui acheter son terrain. Pour ce faire il envoie sa fille Marie (Maryvette Lair) pour que Peter tombe sous son charme pour qu’ils se marient.

Elle conclut un marché avec Peter, si elle tient le coup pendant une semaine à la caisse elle aura le droit de l’épouser.

Le jour du mariage Marie disparaît, car elle était vraiment tombée amoureuse de Peter et elle ne voulait pas le décevoir. Du coup, Peter part la retrouver et il la ramène sur l’aire d’ autoroute et ils vécurent heureux.

Étiquettes : FictionTV

Compte rendu de l’interview du film « Je vous ai compris »

AUTEURS :   Emma Guerraud et Emilie Dumaire

Le jeudi 13 septembre 2012, les élèves de 3A sont allés au cinéma de La Rochelle à l’occasion du Festival de la Fiction TV.

Notre classe a pu assister à la diffusion en avant première du film d’animation « Je vous ai compris » qui parle de la guerre d’Algérie.

Nous avons eu le privilège de rencontrer le réalisateur Franck Chiche, le co-scénariste George Fleury et l’actrice principale Karyll Elgrichi.

Voici les questions que nous leur avons posées :

Combien de temps le tournage du film a-t-il duré ?

Le tournage a duré précisément 4 semaines, ce qui est assez classique pour une fiction de télévision. Mais pour finaliser jusqu’au dernier détail il nous a fallu 12 mois.

Pourquoi avoir fait un film d’animation et non pas un film normal ?

Un film d’animation est tourné sur écran vert et grâce au travail sur l’ordinateur des effets spéciaux donnent un effet de bande dessinée. Les acteurs ont tourné avec des costumes en carton pâte, ce qui est assez encombrant. Le fait d’avoir fait un film d’animation coûte beaucoup moins cher, il suffit d’une seule pièce pour tourner toutes les scènes et nous n’avons pas pu tourner en Algérie.

Quelles études avez-vous faites ?

J’ai d’abord passé mon bac et j’ai ensuite choisi une filière de théâtre et de cinéma en université. J’ai fait de très longues études mais je me suis aussi formé tout seul en allant au cinéma régulièrement et en regardant la télévision, la culture personnelle.

Est-ce qu’il y a eu des scènes plus dures à tourner que d’autres ?

Il n’y a pas eu de scènes plus dures que d’autres même si celle du viol a été la plus délicate mais les acteurs étaient bien préparés, car la scène a été beaucoup répétée et que les acteurs se connaissaient bien.

Comment avez-vous recruté les comédiens ?

Nous avons recruté les comédiens dans une école de théâtre, les scènes ont été tournées dans le lycée et nous avons pris de bons comédiens.

Étiquettes : FictionTV

Visite de la mairie de La Rochelle

Visite à la mairie de La Rochelle

Nous somme allées à la mairie de La Rochelle. Nous avons rencontré le rédacteur en chef du journal municipal, qui est aussi directeur de la communication, Monsieur Krabal. Il nous a expliqué le fonctionnement du journal sur lequel son équipe travaille (journal bimestriel ). La création d’un journal se fait en plusieurs étapes, à la mairie, il y a 7 équipes pour ainsi pouvoir procurer aux lecteurs les informations à savoir ( événements, les Franco folies, etc …) L’ outil principal de communication de la ville à notre époque est « le site internet ». Le journal La Rochelle contient 36 pages, 48 000 exemplaires sont distribués dans toute la ville par l’intermédiaire de la poste. Il nous a expliqué que tout se faisait sur ordinateur à l’heure actuelle.
Pour crer un journal, il faut
1. une équipe
2. des sujets intéressants, pour lesquels les lecteurs se captivent et qui soient agréables à lire
Pour plus d’informations sur la conception d’un journal vous pouvez aller sur le site de la mairie de La Rochelle : http://www.ville-larochelle.fr/
Nous avons ainsi pu poser diverses questions à Monsieur Krabal sur ces sujets là.

Lafaye Andréa et Zehraoui Solène 3’ème E.

Mme Helly : la passion du théâtre !

Interview de madame Helly sur la classe théâtre

1) Pourquoi avoir choisi le projet théâtre ?
Car j’ai fait beaucoup de théâtre pendant mes études et je suis heureuse de passer de l’autre côté.

2) Avez-vous des projets de spectacle pour la classe ?
Oui, le thème sera l’Amour 

3) Pensez-vous refaire ce projet l’année prochaine ?
De façon différente, il y aura des ateliers théâtre mais pas une classe.

4) Qu’attendez-vous des élèves de la classe théâtre ?
Qu’ils soient ouverts d’esprit, qu’ils acceptent de travailler ensemble, qu’ils apprennent leur texte !

5) Pouvez-vous nous décrire cette classe en 3 mots ?
Motivation – Humilité – Représentation.

Voilà les filles, j’espère avoir répondu à vos questions.

Mina Boissinot, Laure Hemeury

Étiquettes : Personnel du collège

interview exclusive des profs du collège !

Interview

Nous avons interviewé trois professeurs en vue du brevet blanc.
Nous avons commencé par interviewer Mme DEBARRE (professeur d’histoire-géographie). Ensuite nous avons interviewé M. BOUSQUET (professeur de mathémathiques) et pour finir nous avons interviewé Mme DELAIRE (professeur de français).

1-A quoi sert le brevet blanc ?

Mme Debarre : Le brevet blanc sert à anticiper l’épreuve finale du mois de juin, vous mettre en condition d’épreuve d’examen.

Mr Bousquet : Le brevet blanc est une epreuve de simulation pour montrer aux élèves les conditions du vrai brevet, mêmes conditions d’organisation, même durée, anonymat des copies… Le brevet blanc est aussi fait pour habituer les élèves à d’autres façons de travailler au niveau des sujets.

Mme Delaire : Le brevet blanc sert à vous mettre dans les conditions de l’examen, voir votre niveau, ce que vous êtes capable de faire dans la durée, tout ça avec tous les autres élèves de 3ème.

2-Comment se déroule les épreuves ?

Mme Debarre : Chaque élève est muni de sa piece d’identité, il s’agit d’une épreuve avec une durée limitée. Les eleves n’auront pas d’autres cours ces 2 jours-ci. Dans les salles, il y aura un élève par table, pas d’échanges entre eux, pas de contacts, les élèves en retard ne seront pas admis. Le brevet blanc est une évaluation des connaissances et de comparaison des résultats par rapport aux autres élèves. La correction est anonyme.

Mr Bousquet : Il y aura un jour et demi d’épreuves, les élèves seront placés par ordre alphabétique, ils auront des copies d’examens.

Mme Delaire : Distribution du sujet, d’abord travail sur les textes, travail de réecriture + dictée, récréation et ensuite la rédaction.

3- Comment préparez vous les élèves ?

Mme Debarre : Il y a du travail de méthodologie tout au long de l’année et la plupart des exercices ont déjà été travaillés.

Mr Bousquet : Je n’ai pas préparé pas les élèves spécialement, je leur ai expliqué le programme et je leur explique le déroulement du brevet blanc.

Mme Delaire : Les élèves sont préparés depuis la 6ème. Durant les contrôles, j’insère des questions de type brevet. Les leçons sont étudiées et la méthodologie aussi (répondre, expliquer, justifier).

4- Quels conseils pourriez vous donner ?

Mme Debarre : Prendre le temps de bien lire le sujet, répondre à la question posée et pas autre chose (histoire géo : réponses souvent dans les documents), prendre le temps de relire votre copie et ne pas avoir peur.

Mr Bousquet : Au niveau des maths, ça ne sert à rien de réviser les deux derniers jours. Il faut travailler régulierement toute l’année, ne jamais laisser un exercice non compris (revoir et comprendre ses erreurs).

Mme Delaire : Je conseille aux élèves de réviser le programme de grammaire (manuel), regarder la table des matières pour voir si toutes les notions sont OK, bien se servir du brevet blanc comme un exercice, bien lire le sujet et voir ce que vous êtes capable de faire. Le brevet blanc est une initiation au vrai brevet.

Emma JOUBERT & Marie AUFFRET

Étiquettes : Personnel du collège

alternance dérogatoire

Interview d’un professeur d’alternance:

-Comment se passe les cours avec des élèves qui travaillent peu ?
C’est pareil avec tous les élèves.

-Quels sont les matières que vous leurs enseignez ? Pourquoi ?
J’enseigne le francais car j’aime éveiller les idées enfouies des élèves.

-Qu’est-ce qui vous a poussé à faire ces heures supplémentaires pour aider les élèves en difficulté ?
Car j’ai toujours aimé aider les élèves en difficulté.

-Quand à lieu l’alternance dérogatoire ?
Tous les jours quand les élèves d’alternance ont un trou dans leurs emplois du temps le midi et le soir ( après manger de 13h à 14h et le soir de 16h à 17h) sauf le jeudi.

-Trouvez-vous un changement au niveau des bulletins des élèves ?
Pour certain oui, les notes moins c’est surtout la motivation.

Théo, Raphaël, Hugo, Nicolas, Dylan